Petit garçon de 2 ans 1/2 à tendance anorexique
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Petit garçon de 2 ans 1/2 à tendance anorexique
Bonjour à tous , je suis maman de trois garçons dont le dernier a des tendances anorexiques (d'après les médecins ) ; il n'a que deux ans et demi , et il y a un an et demi que le problème a commencé . Il peut refuser de s'alimenter pendant quinze jours voire trois semaines , et n'accepter que du lait . Si d'autres parents son dans le même cas que moi , pourraient-ils me donner quelques conseils ? Le quotidien est de plus en plus difficile , la vie de mon enfant est de plus en plus en danger chaque jour qui passe .
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Petite_etoile
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Serait-ce une tactique de sa part pour attirer votre attention? Si, quand il ne mange pas, vous lui donnez toute votre attention, il en retirera que c'est bien et il recommencera...elween a écrit :eh bien s'il veut bien boire du lait, il faut lui faire 5 biberons par jours comme un bébé...
Courage et bisous
Si par contre c'est un véritable problème, vous ne le règlereai pas toute seule, il faut l'aide des médecins, peut-être a-t-il des problèmes digestifs ou autre qui rendre les repas douloureux?
Bonne chance!
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perseverance
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Petite_etoile
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Je suis désolée, ce ne pas ce que je voulais dire. Je voulais mettre l'accent sur un problème physique (car chez certains enfants on parle de caprices tels que tout démolir, crier, ou être anorexique pour attirer l'attention). Je ne voulais en aucun cas poser des jugements sur cet enfant. Tu es extrêment intelligente et je crois qu tu as savoir que ce n'était pas mon intention, mais je m'excuse quand même.Parce que ce n'est pas un véritable problème, qu'un gamin de 3 ans ait besoin d'attirer l'attention de sa mère ?
Je ne fais que des suppositions, je n'ai aucune connaissance en la matière, mais j'esaie d'aider.
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Petite_etoile
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De l'info!
Les causes de l'anorexie de l'enfant sont multiples. Souvent, ce trouble du comportement a pour origine un conflit avec les parents. L'insistance de ceux-ci peut alors renforcer le refus de manger. Comment s'installe l'anorexie ? Comment la reconnaître ?
Les causes d'anorexie chez un jeune enfant sont nombreuses mais peuvent se classer en quatre groupes :
Les causes infectieuses et les maladies générales : toutes les infections virales bénignes : la grippe, la rougeole, la roséole, la rubéole, les rhino-pharyngites, les otites etc..., toutes les infections bactériennes : urinaires, digestives, pulmonaires etc..., toutes les maladies générales rares mais graves : les hémopathies, les maladies de système etc... s'accompagnent d'une perte de l'appétit.
Les intolérances digestives au gluten, aux protéines du lait de vache, au saccharose, etc... entraînent une anorexie.
Les erreurs grossières de régime : la prolongation excessive d'un régime exclusivement lacté ou lacto-farineux, un excès d'alimentation etc... peuvent se traduire par une perte d'appétit.
Les causes psychologiques sont en réalité les plus fréquentes.
L'examen médical est donc indispensable pour détecter les causes à la perte d'appétit. Ce n'est qu'après un bilan clinique et éventuellement biologique simple, que le médecin sera amené à aider les parents à déceler les causes psychologiques et les erreurs éducatives qui sont à l'origine de l'anorexie.
Comment reconnaître l'anorexie psychologique du nourrisson?
Le début de l'anorexie
C'est souvent vers 4 ou 6 mois que les difficultés commencent et qu'une réaction en chaîne s'établit. Le nourrisson laisse d'abord le fond de son biberon dont la quantité augmente progressivement. La mère commence à s'inquiéter. Puis l'enfant commence à repousser de la langue la tétine, à détourner la tête à l'approche du biberon ou de la cuillère. Si la mère insiste, il serre les gencives, tourne la tête pour fuir la cuillère, recrache au fur et à mesure ce que sa mère a réussi à introduire dans sa bouche. Des nausées puis des vomissements apparaissent et l'anorexie s'installe progressivement. La courbe de poids devient alors stationnaire mais l'enfant reste en excellent état général : il est actif, vif, éveillé, curieux, vigoureux, souriant, espiègle.
L'examen clinique est absolument normal
"Aucune altération organique ne peut être relevée chez ce bébé vif, gai, joueur, en face d'une mère inquiète, ou agacée ou désemparée. Tandis qu'il interroge et écoute, le médecin est frappé par l'aspect éveillé et presque excité de ce nourrisson qui provoque du regard et du sourire avec une facilité de contact déconcertante, ou bien par le comportement de l'enfant plus âgé, futé, agile, qui file dans le cabinet de consultation aussitôt exploité en terrain de jeu. Défilent en rang serré les doléances maternelles : chaque repas est devenu un supplice, tous les moyens ont été essayés : contrainte énergique ou déguisée, chants, histoires, jouets, batterie de cuisine, projection de films, la bouchée pour maman, pour papa, pour l'ours... Le biberon du soir donné à la sauvette à la faveur du demi-sommeil et parfois au bout d'une heure et plus d'efforts et de ruse...le vomissement provoqué avec l'aisance la plus déconcertante ".
La personnalité des parents a une importance considérable et leur comportement est presque toujours identique : inquiets, parfois anxieux, ils attachent à l'appétit de leur progéniture une importance excessive.
C'est souvent la mère qui tente de forcer le refus de l'enfant, soit par des manoeuvres de séduction (jeux, histoires, mime d'avion avec la cuillère, la "cuillère pour mémé", la "cuillère pour pépé", la cuillère pour être aussi grand que papa etc..., les chansons) soit par des mesures coercitives plus ou moins brutales : pincer le nez pour forcer l'enfant à ouvrir la bouche, le ligoter pour l'empêcher de tourner la tête, etc... soit encore en lui donnant à manger durant son sommeil...
Comment s'installe l'anorexie ?
A l'origine de la perte d'appétit, on retrouve toujours une erreur : l'enfant a été forcé à manger.
Il a souvent eu au départ un fléchissement de l'appétit au cours d'une infection banale passagère, après une vaccination ou lors de l'éruption d'une dent. Parfois, les parents n'ont pas compris les particularités physiologiques de l'enfant, son rythme de sommeil par exemple ou son petit appétit naturel. D'autres fois, l'erreur est la conséquence d'une mauvaise information. Le conflit entre la mère, murée dans son anxiété et l'enfant petit mangeur est aggravé par un certain dogmatisme avec lequel les régimes alimentaires sont prescrits. De nombreux médecins s'obstinent à imposer des horaires rigides, des quantités calculées au gramme près et ces directives sont suivies à la lettre par des mères au tempérament trop strict sinon trop obéissant...
L'introduction de nouveaux aliments, de consistances, de goûts différents, le passage du biberon à la cuillère, la modification des horaires peuvent aussi être le point de départ du conflit.
D'autres fois c'est une question de principe et de démonstration d'autorité, la mère estimant que son enfant n'a pas à choisir ses plats et qu'il n'a qu'à manger ce qu'elle lui propose. D’autres fois, c'est un sevrage mal compris, imposé sans tact ni douceur, de manière brutale et sèche.
Ces petits incidents prennent des proportions considérables car la mère, vexée dans son amour-propre, essaie de forcer son enfant. Le bébé résiste. La mère sévit. A chaque repas, la lutte reprend de plus belle. Le forcing augmente la résistance de l'enfant. Le repas, commencé avec un sourire crispé se termine dans les larmes, les cris, la colère et les grincements de dents (s'il y en a...!).
C'est la lutte
Il est certain que lorsqu'on essaie de vaincre par la force la résistance d'un enfant, aussi jeune soit-il, on déclenche de sa part une réaction d'opposition qui devient, avec la répétition des contraintes, une habitude. L'enfant refuse alors ses repas avant même d'y goûter.
Toutes les manoeuvres autoritaires sont vouées à l'échec, et les parents qui consultent le médecin le savent bien puisqu'ils les ont toutes essayées avant de consulter. Il est très pénible pour une mère de voir son enfant refuser la nourriture qu'elle a préparée avec soin et amour. Cela heurte le plus profond, le plus instinctif, le plus primitif de ses sentiments maternels.
Nourrir son enfant, c'est la première tâche de la "bonne mère". Devant son nourrisson anorexique, elle pense tout de suite aux pires maladies, l'anxiété envahit ses nuits et l'approche des repas devient un véritable calvaire.
Lorsque le repas est donné par une tierce personne (nourrice, grand-mère etc...), tout se passe le mieux du monde. Il n'en faut pas plus pour augmenter les réactions dépressives ou agressives de la malheureuse mère qui ne sait plus à quel saint se vouer...!
"A partir le plus souvent d'une diminution réelle et justifiée de l'appétit, on retrouve toujours la même erreur initiale : l'essai de contrainte, lequel a déclenché la réaction de défense, disons le mot : de légitime défense. Contrainte de la part de la mère, réaction et opposition de l'enfant, la lutte est ouverte et continuera tant que les combattants se raidiront sur leurs positions. De cette lutte, les parents sortent épuisés, et l'enfant toujours victorieux, car il possède une arme de premier ordre : l'inertie - et en dernier ressort, une ruse suprême, celle d'accepter le repas puis de se faire vomir".(M.Lelong).
Dr Lyonel Rossant, Dr Jacqueline Rossant-Lumbroso.
Les causes de l'anorexie de l'enfant sont multiples. Souvent, ce trouble du comportement a pour origine un conflit avec les parents. L'insistance de ceux-ci peut alors renforcer le refus de manger. Comment s'installe l'anorexie ? Comment la reconnaître ?
Les causes d'anorexie chez un jeune enfant sont nombreuses mais peuvent se classer en quatre groupes :
Les causes infectieuses et les maladies générales : toutes les infections virales bénignes : la grippe, la rougeole, la roséole, la rubéole, les rhino-pharyngites, les otites etc..., toutes les infections bactériennes : urinaires, digestives, pulmonaires etc..., toutes les maladies générales rares mais graves : les hémopathies, les maladies de système etc... s'accompagnent d'une perte de l'appétit.
Les intolérances digestives au gluten, aux protéines du lait de vache, au saccharose, etc... entraînent une anorexie.
Les erreurs grossières de régime : la prolongation excessive d'un régime exclusivement lacté ou lacto-farineux, un excès d'alimentation etc... peuvent se traduire par une perte d'appétit.
Les causes psychologiques sont en réalité les plus fréquentes.
L'examen médical est donc indispensable pour détecter les causes à la perte d'appétit. Ce n'est qu'après un bilan clinique et éventuellement biologique simple, que le médecin sera amené à aider les parents à déceler les causes psychologiques et les erreurs éducatives qui sont à l'origine de l'anorexie.
Comment reconnaître l'anorexie psychologique du nourrisson?
Le début de l'anorexie
C'est souvent vers 4 ou 6 mois que les difficultés commencent et qu'une réaction en chaîne s'établit. Le nourrisson laisse d'abord le fond de son biberon dont la quantité augmente progressivement. La mère commence à s'inquiéter. Puis l'enfant commence à repousser de la langue la tétine, à détourner la tête à l'approche du biberon ou de la cuillère. Si la mère insiste, il serre les gencives, tourne la tête pour fuir la cuillère, recrache au fur et à mesure ce que sa mère a réussi à introduire dans sa bouche. Des nausées puis des vomissements apparaissent et l'anorexie s'installe progressivement. La courbe de poids devient alors stationnaire mais l'enfant reste en excellent état général : il est actif, vif, éveillé, curieux, vigoureux, souriant, espiègle.
L'examen clinique est absolument normal
"Aucune altération organique ne peut être relevée chez ce bébé vif, gai, joueur, en face d'une mère inquiète, ou agacée ou désemparée. Tandis qu'il interroge et écoute, le médecin est frappé par l'aspect éveillé et presque excité de ce nourrisson qui provoque du regard et du sourire avec une facilité de contact déconcertante, ou bien par le comportement de l'enfant plus âgé, futé, agile, qui file dans le cabinet de consultation aussitôt exploité en terrain de jeu. Défilent en rang serré les doléances maternelles : chaque repas est devenu un supplice, tous les moyens ont été essayés : contrainte énergique ou déguisée, chants, histoires, jouets, batterie de cuisine, projection de films, la bouchée pour maman, pour papa, pour l'ours... Le biberon du soir donné à la sauvette à la faveur du demi-sommeil et parfois au bout d'une heure et plus d'efforts et de ruse...le vomissement provoqué avec l'aisance la plus déconcertante ".
La personnalité des parents a une importance considérable et leur comportement est presque toujours identique : inquiets, parfois anxieux, ils attachent à l'appétit de leur progéniture une importance excessive.
C'est souvent la mère qui tente de forcer le refus de l'enfant, soit par des manoeuvres de séduction (jeux, histoires, mime d'avion avec la cuillère, la "cuillère pour mémé", la "cuillère pour pépé", la cuillère pour être aussi grand que papa etc..., les chansons) soit par des mesures coercitives plus ou moins brutales : pincer le nez pour forcer l'enfant à ouvrir la bouche, le ligoter pour l'empêcher de tourner la tête, etc... soit encore en lui donnant à manger durant son sommeil...
Comment s'installe l'anorexie ?
A l'origine de la perte d'appétit, on retrouve toujours une erreur : l'enfant a été forcé à manger.
Il a souvent eu au départ un fléchissement de l'appétit au cours d'une infection banale passagère, après une vaccination ou lors de l'éruption d'une dent. Parfois, les parents n'ont pas compris les particularités physiologiques de l'enfant, son rythme de sommeil par exemple ou son petit appétit naturel. D'autres fois, l'erreur est la conséquence d'une mauvaise information. Le conflit entre la mère, murée dans son anxiété et l'enfant petit mangeur est aggravé par un certain dogmatisme avec lequel les régimes alimentaires sont prescrits. De nombreux médecins s'obstinent à imposer des horaires rigides, des quantités calculées au gramme près et ces directives sont suivies à la lettre par des mères au tempérament trop strict sinon trop obéissant...
L'introduction de nouveaux aliments, de consistances, de goûts différents, le passage du biberon à la cuillère, la modification des horaires peuvent aussi être le point de départ du conflit.
D'autres fois c'est une question de principe et de démonstration d'autorité, la mère estimant que son enfant n'a pas à choisir ses plats et qu'il n'a qu'à manger ce qu'elle lui propose. D’autres fois, c'est un sevrage mal compris, imposé sans tact ni douceur, de manière brutale et sèche.
Ces petits incidents prennent des proportions considérables car la mère, vexée dans son amour-propre, essaie de forcer son enfant. Le bébé résiste. La mère sévit. A chaque repas, la lutte reprend de plus belle. Le forcing augmente la résistance de l'enfant. Le repas, commencé avec un sourire crispé se termine dans les larmes, les cris, la colère et les grincements de dents (s'il y en a...!).
C'est la lutte
Il est certain que lorsqu'on essaie de vaincre par la force la résistance d'un enfant, aussi jeune soit-il, on déclenche de sa part une réaction d'opposition qui devient, avec la répétition des contraintes, une habitude. L'enfant refuse alors ses repas avant même d'y goûter.
Toutes les manoeuvres autoritaires sont vouées à l'échec, et les parents qui consultent le médecin le savent bien puisqu'ils les ont toutes essayées avant de consulter. Il est très pénible pour une mère de voir son enfant refuser la nourriture qu'elle a préparée avec soin et amour. Cela heurte le plus profond, le plus instinctif, le plus primitif de ses sentiments maternels.
Nourrir son enfant, c'est la première tâche de la "bonne mère". Devant son nourrisson anorexique, elle pense tout de suite aux pires maladies, l'anxiété envahit ses nuits et l'approche des repas devient un véritable calvaire.
Lorsque le repas est donné par une tierce personne (nourrice, grand-mère etc...), tout se passe le mieux du monde. Il n'en faut pas plus pour augmenter les réactions dépressives ou agressives de la malheureuse mère qui ne sait plus à quel saint se vouer...!
"A partir le plus souvent d'une diminution réelle et justifiée de l'appétit, on retrouve toujours la même erreur initiale : l'essai de contrainte, lequel a déclenché la réaction de défense, disons le mot : de légitime défense. Contrainte de la part de la mère, réaction et opposition de l'enfant, la lutte est ouverte et continuera tant que les combattants se raidiront sur leurs positions. De cette lutte, les parents sortent épuisés, et l'enfant toujours victorieux, car il possède une arme de premier ordre : l'inertie - et en dernier ressort, une ruse suprême, celle d'accepter le repas puis de se faire vomir".(M.Lelong).
Dr Lyonel Rossant, Dr Jacqueline Rossant-Lumbroso.
Le problème a débuté quand son père a du partir 4 mois a cholet pour acquérir un diplôme , il n'avait alors qu'un mois , cela s'est aggravé au retour de papa car apparement , il ne l'a pas reconnu et accepté aux cotés de maman . D'après les médecins ce n'est pas un caprice , puisqu'il est suivi a l'hôpital de bordeaux par un grand spécialiste . Ce dégout de la nourriture se reporte même sur le language et l'odeur de la nourriture lui est insupportable . Ils nous ont conseillé de lui imposer des règles , telles que lui enlever son assiette dès qu'il quitte la table , ou de l'attacher sur une chaise devant son assiette , et de ne plus lui donner de biberons entre les repas . Je ne sais plus quoi penser de tout cela et j'aimerai avoir votre avis sur ces conseils donnés par ce spécialiste . Merci .
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perseverance
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Bonjour Winnie,
un conseil : n'écoutez pas les spécialistes. Ils jouent aux apprentis sorciers avec vous.
Votre fils comprendra plus tard que vous vous soyez trompée en essayant d'être une bonne maman, mais il aura du mal à "avaler" que vous ayiez démissionné de votre rôle et appliqué bêtement les conseils des autres.
Votre fils a besoin d'une maman qui a confiance en elle. Pas d'une maman qui est la marionnette des spécialistes.
Agissez vous-même, prenez vous-même le risque de vous tromper. Vous ne pourrez pas accuser les autres, vous vous ferez les reproches à vous-même, et je sais que c'est le plus dur. Mais c'est le bon chemin.
Et toujours la même histoire : construisez votre bonheur indépendamment de vos enfants. Ils ont besoin de vous savoir autonome. Que leur existence n'est pas votre seule source de bonheur, car c'est trop écrasant, pour un enfant, d'être l'unique raison de vivre des parents.
Qu'allez-vous faire dans le quart d'heure qui vient pour être, vous même, plus heureuse ?
un conseil : n'écoutez pas les spécialistes. Ils jouent aux apprentis sorciers avec vous.
Votre fils comprendra plus tard que vous vous soyez trompée en essayant d'être une bonne maman, mais il aura du mal à "avaler" que vous ayiez démissionné de votre rôle et appliqué bêtement les conseils des autres.
Votre fils a besoin d'une maman qui a confiance en elle. Pas d'une maman qui est la marionnette des spécialistes.
Agissez vous-même, prenez vous-même le risque de vous tromper. Vous ne pourrez pas accuser les autres, vous vous ferez les reproches à vous-même, et je sais que c'est le plus dur. Mais c'est le bon chemin.
Et toujours la même histoire : construisez votre bonheur indépendamment de vos enfants. Ils ont besoin de vous savoir autonome. Que leur existence n'est pas votre seule source de bonheur, car c'est trop écrasant, pour un enfant, d'être l'unique raison de vivre des parents.
Qu'allez-vous faire dans le quart d'heure qui vient pour être, vous même, plus heureuse ?
C'est exactement ce que je pense . Car il n'y a que sonpère et moi qui le connaisons assez pour commencer à lui faire comprendre qu'il n'est pas le seul à la maison , j'ai deux autres enfants plus agés que lui , et dont l'un deux a lui aussi des problèmes de santé importants , et nous avons décidé de prendre plus de temps pour nous avec le papa . En espérant que ce soit la bonne voie , et que cela n'agravera pas la situation . Nous espérons aussi , que sa prochaine pesée nous conforte dans ce choix .
Surtout pas....winnie a écrit :de l'attacher sur une chaise devant son assiette
Moi ça m'a traumatisé...
J'etais plus grande que votre fils ( je dirais 7ans) mais le probleme part ( on remange normalement), et on en reparle pas, car " c'est du passé".
Même 10, 11ans après, je comprends pas comment ils ont pu m'attacher devant mes assiettes, et comment à l'epoque, j'ai pu rire avec eux de cette situation. Mais on en parle pas.
Je suis un peu génée de remettre en question des conseils de " grands Dr", mais je vous dit juste qu'à moi , ça m'a fait du mal.
En dehors de cela, je n'ai pas de conseils, j'en susi désolée,
mais bon courage à vous et au petit...
réponse à winnie
Je suis comme vous , une mère qui fait ce qu’elle peut , pourtant ma fille était certainement anorexique bébé et j’ai pas réussi à m’en apercevoir. A l’adolescence elle est tombée dans la boulimie avec vomissements et l’alcoolisme et à présent non seulement je ne trouve plus aucune structure pour la recevoir vu qu’elle a 25 ans mais qui plus est les psy m’expliquent qu’il est trop tard. Alors je vous conseille dès à présent d’aller voir un pédo-psychiatre et surtout d’être à l’écoute pour votre bébé qui manifeste un mal-être. Quel est ce un mal-être ?
Personne ne vous le dira , il n’y a pas de recettes mais il vous faudra comprendre. Je n’ai pas compris et j’ai été très sévère avec ma fille qui refusait toute nourriture on m’a même prescrit un médicament pour lui ouvrir l’appétit (périactine) mais en fait c’était un mal de vivre qui n’a fait que s’empirer , vous avez eu une excellente idée d’aller sur le site d’enfine , vous allez recevoir des conseils de gens qui sont dans la maladie et j’espère qu’ils vont vous éclairer , surtout ne perdez pas de temps , écoutez votre bébé , il n’arrive pas à vous expliquer pourquoi il se met en danger mais il a sûrement une cause sérieuse.
Courage….
Personne ne vous le dira , il n’y a pas de recettes mais il vous faudra comprendre. Je n’ai pas compris et j’ai été très sévère avec ma fille qui refusait toute nourriture on m’a même prescrit un médicament pour lui ouvrir l’appétit (périactine) mais en fait c’était un mal de vivre qui n’a fait que s’empirer , vous avez eu une excellente idée d’aller sur le site d’enfine , vous allez recevoir des conseils de gens qui sont dans la maladie et j’espère qu’ils vont vous éclairer , surtout ne perdez pas de temps , écoutez votre bébé , il n’arrive pas à vous expliquer pourquoi il se met en danger mais il a sûrement une cause sérieuse.
Courage….
Re: réponse à winnie
Mon garcon était pareil. Il a perdu beaucop de poids. G vu plusieurs médecins qui me conseillait n'importe koi puisqu'ils ne savait pas a quoi c du. G remarqué qu'on tournait en rond plus il maigrissait plus je m'inquiétait, plus je m'inquiétait et je lui mettait de la pression et moins il mangeait.
Alors g décidé de lacher prise. G mise un grand bol de fruit sur la table, mise tte les chose facile a manger pour un tt petit comme céréale, barre tendre, muffin sur l'étagere a sa hauteur et je lui ait dit que entre les repas ont va plus parler de nourriture ms il peut prendre tt ce qu'il veut manger.
Pendant 2 semaine c rester pareil et ensuite il a recommencer tt doucement a manger.
Si je peux me permettre 1 conseils, écoute ton coeur de mere. Personne ne peut mieux te dire ce qui est bien pour ton enfant.
Alors g décidé de lacher prise. G mise un grand bol de fruit sur la table, mise tte les chose facile a manger pour un tt petit comme céréale, barre tendre, muffin sur l'étagere a sa hauteur et je lui ait dit que entre les repas ont va plus parler de nourriture ms il peut prendre tt ce qu'il veut manger.
Pendant 2 semaine c rester pareil et ensuite il a recommencer tt doucement a manger.
Si je peux me permettre 1 conseils, écoute ton coeur de mere. Personne ne peut mieux te dire ce qui est bien pour ton enfant.