Bonjour,
Je voudrais votre avis sur le mien. Mon avis est extérieur donc je n'assimile parfois pas tout !
Voilà, pour moi les TCA sont des troubles qui doivent être soignés afin de soigner le véritable problème. Je m'explique :
Soigner l'anorexie ou la boulime est à mes yeux essentiels pour arrêter la personne à se persécuter physiquement. S'auto-mutiler, carences physiques...
Cependant, ces maladies ne sont-elles pas l'expression visible d'un autre malaise (maladie psychologique ou psychiatrique) ?
Une fois que ces TCA sont soignés, que ces troubles devenus pathologiques s'effacent de la vie de la personne, ils réaparaissent bien si le problème profond n'est lui, pas soigné ?
Pour moi, les TCA sont dons la couche supérieure des psychoses, névroses et états limites quelqu'ils soient.
Soigner le TCA pour sauver le corps, oui. Mais l'esprit ... ?
Merci de m'aider à y voir plus clair.
Biz à toutes et à tous.
C'est quoi pour vous guérir ?
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carolange
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tu as raison,laurence a écrit : Les deux approches, médicale et psychologique, sont essentielles, je crois.
Mais pour faire un bon travail sur le psychologique, il faut être capable physiquement...
Je ne suis plus envahie par l'anorexie, je n'ai plus l'obsession de la maigreur, je ne suis plus entrain de faire 10crises par jour, MAIS je continue la psy car même si physiquement tout va bien, ben il faut continuer le travail avec la psy. Je ne suis pas "guéri" pour autan...
bizz
moi je pense être guérie parce que je ne passe plus par des périodes de crises et mon poids est à peu près stable. Mais je suis toujours dans cette dialectique tordue mais obsecionnelle, je suis contente de moi, contente de réussir à manger et l'instant d'après dégoutée de tous ces trucs que j'ai avalé et persuadée d'etre énorme... J'accepte mon corps (un peu) mais tjrs pas mes 50k... Malgré tout je vais mieux, c'est sans comparaison. J'ai appris avec le temps qu'on ne redevient jamais aussi libre qu'avant... Mais au moins on en a envie c'est ça en fait être guérie... Mais c'est juste mon avis.
moi je pense être guérie parce que je ne passe plus par des périodes de crises et mon poids est à peu près stable. Mais je suis toujours dans cette dialectique tordue mais obsecionnelle, je suis contente de moi, contente de réussir à manger et l'instant d'après dégoutée de tous ces trucs que j'ai avalé et persuadée d'etre énorme... J'accepte mon corps (un peu) mais tjrs pas mes 50k... Malgré tout je vais mieux, c'est sans comparaison. J'ai appris avec le temps qu'on ne redevient jamais aussi libre qu'avant... Mais au moins on en a envie c'est ça en fait être guérie... Mais c'est juste mon avis.
moi je pense être guérie parce que je ne passe plus par des périodes de crises et mon poids est à peu près stable. Mais je suis toujours dans cette dialectique tordue mais obsecionnelle, je suis contente de moi, contente de réussir à manger et l'instant d'après dégoutée de tous ces trucs que j'ai avalé et persuadée d'etre énorme... J'accepte mon corps (un peu) mais tjrs pas mes 50k... Malgré tout je vais mieux, c'est sans comparaison. J'ai appris avec le temps qu'on ne redevient jamais aussi libre qu'avant... Mais au moins on en a envie c'est ça en fait être guérie... Mais c'est juste mon avis.
moi je me suis dis être guérie, car je mange avec appetit, plus de restriction, ni même de crise, je ne suis plus obcedee par la balance, et j'ai accepter de reprendre tous mes kilos sans deprimer, sans lutter.
j'ai fini par m'accepter " en formes" et en forme. mais la plus grande victoire, c'est que moralement je me gère mieux aussi, je ne me fais plus de mal.
c'est en allant mieux que je constate où me conduisait la maladie, j'en avais pas conscience avant.
aujourd'hui je peux mettre des mots sur mes maux qui ont duré de longues années.
j'ai fini par m'accepter " en formes" et en forme. mais la plus grande victoire, c'est que moralement je me gère mieux aussi, je ne me fais plus de mal.
c'est en allant mieux que je constate où me conduisait la maladie, j'en avais pas conscience avant.
aujourd'hui je peux mettre des mots sur mes maux qui ont duré de longues années.
Pourquoi suis je boulimique? parce que je suis mal dans mon corps et dans ma tête...a 23 ans je n'ai toujours pas trouver ma place dans la société parce que je me trouve pas asser bien pour en trouver une.
Quand je sors de chez moi j'ai l'impression d'être juger, d'être vue comme un insecte.
est ce que les TCA cachent des troubles psychologique? pour moi la réponse et oui.
sinon pourquoi se faire souffrir si tout allait bien
Quand je sors de chez moi j'ai l'impression d'être juger, d'être vue comme un insecte.
est ce que les TCA cachent des troubles psychologique? pour moi la réponse et oui.
sinon pourquoi se faire souffrir si tout allait bien
Merci pour vos réponses à toutes.
Je contnue de penser que les tca sont bien les symptômes physique d'un mal psychologique.
Or quand ils apparaissent, cela veut dire qu'ils deviennent aussi un mal à combattre en priorité pour soigner le reste.
Je souhaite courage, volonté et tenacité à toutes celles qui se battent encore, et je souhaite à celles qui ont réussi à se sortir de l'enfer la continuité et aussi, le courage de ne pas y retomber.
Biz à toutes.
Je contnue de penser que les tca sont bien les symptômes physique d'un mal psychologique.
Or quand ils apparaissent, cela veut dire qu'ils deviennent aussi un mal à combattre en priorité pour soigner le reste.
Je souhaite courage, volonté et tenacité à toutes celles qui se battent encore, et je souhaite à celles qui ont réussi à se sortir de l'enfer la continuité et aussi, le courage de ne pas y retomber.
Biz à toutes.
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Cinnamon
- Enfinien éprouvé
- Messages : 401
- Enregistré le : 12 oct. 2005, 00:00
- Localisation : dans mes pensées
Déjà pour moi, c'est parce que t'as un problème dans ta vie, dans tes relations et dans ta pitite tête que tu tombes dans les TCA. Ils sont ce qu'on pense être le remède à un mal être. Je trouve pas que guérir c'est apprendre à vivre avec les TCA. En fait, je sais pas trop si on en guérit....il faut apprendre à vivre avec c'est sûr, mais ça s'appelle pas la guérison...
J'ai peur de toujours avoir cette relation "passionnelle" avec la nourriture, et j'ai l'impression de bien m'analyser...je crois que ce qui me retient c'est que j'ai pas le courage de sortir de ça...ça demande trop de force et d'efforts, trop de remise en question, et je crois que je suis pas prête...c'est comme arrêter de fumer, faut vraiment le vouloir sinon ça marche pas!
J'ai peur de toujours avoir cette relation "passionnelle" avec la nourriture, et j'ai l'impression de bien m'analyser...je crois que ce qui me retient c'est que j'ai pas le courage de sortir de ça...ça demande trop de force et d'efforts, trop de remise en question, et je crois que je suis pas prête...c'est comme arrêter de fumer, faut vraiment le vouloir sinon ça marche pas!
je pense que les tca viennent d'un "déséquilibre" psychologique, les causes étant souvent plurielles et complexes mais se traduisent par des soucis physiques.
souvent, pour nous, atteintes de tca, le problèmes physique passe en premier bien que l'on soit mal psychologiquement.
je pense qu'il faut se soigner mentalement pour réussir à diminuer les troubles physiques mais je pense que même lorsque l'on connait les causes de la maladie, même lorsque l'on se fait suivre par un spécialiste, il est très dur de guérir.
mais même lorsque l'on guérit, je pense qu'on n'est jamais sauvé car au premier gros problème, on a un gros risque de retomber.
bref, je crois que ce sont les problèmes de toute une vie qu'il faut en permanence combattre même lorsque les tca s"endorment
souvent, pour nous, atteintes de tca, le problèmes physique passe en premier bien que l'on soit mal psychologiquement.
je pense qu'il faut se soigner mentalement pour réussir à diminuer les troubles physiques mais je pense que même lorsque l'on connait les causes de la maladie, même lorsque l'on se fait suivre par un spécialiste, il est très dur de guérir.
mais même lorsque l'on guérit, je pense qu'on n'est jamais sauvé car au premier gros problème, on a un gros risque de retomber.
bref, je crois que ce sont les problèmes de toute une vie qu'il faut en permanence combattre même lorsque les tca s"endorment
Moi, je crois que guérir, c'est faire endormir les tcas pour le reste de sa vie, qu'il ne fassent plus partis du présents. Guérir, c'est respecté ce qu'on a vécu, et tout faire pour ne pas retomber, en ne repoussant pas une aide quand on se sent fragile. Mais guérir, c'est aussi accepter de n'être plus malade.
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Cinnamon
- Enfinien éprouvé
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- Localisation : dans mes pensées
C'est sur, c'est accepter de guérir, de ne plus être malade, et c'est souvent plus dur qu'on croit.
Ma psy m'a demandé si mes règles étaient revenues. Je lui ai dit non, elle m'a demandé si je savais ce que ça signifiait...je lui ai répondu "oui, c'est que je suis encore malade, mais pas besoin de ça pour le savoir!"
Desfois, je sais pas si j'ai envie de guérir tellement le chemin me semble long, et si on y reste dans ces tca, c'est bien parce qu'on a l'impression qu'elles nous apportent qqch non?
Ma psy m'a demandé si mes règles étaient revenues. Je lui ai dit non, elle m'a demandé si je savais ce que ça signifiait...je lui ai répondu "oui, c'est que je suis encore malade, mais pas besoin de ça pour le savoir!"
Desfois, je sais pas si j'ai envie de guérir tellement le chemin me semble long, et si on y reste dans ces tca, c'est bien parce qu'on a l'impression qu'elles nous apportent qqch non?
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Cinnamon
- Enfinien éprouvé
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C'est sur, c'est accepter de guérir, de ne plus être malade, et c'est souvent plus dur qu'on croit.
Ma psy m'a demandé si mes règles étaient revenues. Je lui ai dit non, elle m'a demandé si je savais ce que ça signifiait...je lui ai répondu "oui, c'est que je suis encore malade, mais pas besoin de ça pour le savoir!"
Desfois, je sais pas si j'ai envie de guérir tellement le chemin me semble long, et si on y reste dans ces tca, c'est bien parce qu'on a l'impression qu'elles nous apportent qqch non?
Ma psy m'a demandé si mes règles étaient revenues. Je lui ai dit non, elle m'a demandé si je savais ce que ça signifiait...je lui ai répondu "oui, c'est que je suis encore malade, mais pas besoin de ça pour le savoir!"
Desfois, je sais pas si j'ai envie de guérir tellement le chemin me semble long, et si on y reste dans ces tca, c'est bien parce qu'on a l'impression qu'elles nous apportent qqch non?
Bonsoir et excuse moi Milouzzzzzz si les paroles qui vont suivrent sont un peu dures ! :oops:Milouzzzzzz a écrit :c'est bien parce qu'on a l'impression qu'elles nous apportent qqch non?
Je suis contente que tu dises "on a l'impression" parce que d'un point de vue extérieur (je n'ai pas de TCA mais des problèmes psychos), les TCA n'apportent que des choses négatives !
Petits exemples d'illustrations : dénigration de soi (du corps mais aussi la punition mentale que les TCA impliquent !), mise en danger de sa vie, détresse de l'entourage, carences physiques graves, détérioration des organes, repli sur soi... etc ... etc ...
J'ai moi l'impression (toujours d'un point de vue extérieur) que les TCA n'apportent que des choses négatives finalement. La seule chose positive que je leur reconnais est qu'ils sont le signal d'alerte pour l'entourage qui montre qu'une personne ne va pas bien !
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camille
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Si les TCA apporte beaucoup de choses...malheureusement. Mais quoi en échange de toute ces choses qu'elles apportent : un risque de mort.
Ce ne sont pas les TCA qui apporte le mal être, mais le contrair : le mal être qui engendre les TCA...
Pour moi par exemple, ce que l'anorexie m'a apporté :
_retour a l'enfance : le corps redevient celui d'un enfant dans un premier temps, on perd ses forme de femme, on est fragile, et plus vulnérable. Donc, comme une enfant, on pense que les gens vont ainsi plus s'occuper de nous,( nous aimer?).
_STOP ! Avec l'anorexie, on arrête tout. La croissance, les règles, les évolution dans les relations humaines, l'école, sa vie...le temps. On se renferme et donc on arrête tout échange avec l'extérieur devenu trop dur.
_on se protège : enfermée dans son corps, on est à l'abris de la vie. On ne peut plus penser à sa douleur car on ne pense qu'à la bouffe.
Bref, l'anorexie aporte dans un premier temps du confort, la satisfaction de perdre du poids, une impression de redevenir gosse !
Mais ensuite, le corps pourri (désolé du mot mais c'est bien ça) et au lieu d'être un enfant on devient comme une grand mère ménoposée. On se rapproche chaque jour un peu plus de la mort...
C'est pour cela qu'il faut s'en sortir. Les avantage approté dans un premier temps se payent trop cher ! Et puis...après l'anorexie vient généralement la boulimie...
Et ce que la boulimie m'apporte aujourd'hui :
_ Je comble mon sentiment de vide avec de la nourriture
_Penser a ce que je vais manger m'évite de penser à d'éventuelles autres chose qui me ferait bien plus mal (enfin je pense, je ne peux pas savoir puisque je n'y pense pas !) !
_je comble un manque, mais je ne sais pas lequel...
_je prend du plaisir à manger, le gout des aliments me 'console" et la sensation du ventre plein me rassure (mais m'inquiète aussi car l'anorexie est encore un peu là, donc très peur de prendre du poids)
Les désaventage, c'est que la boulimie devient une réelle dépendence, au début on ne sait pas, on a l'impression de controler les crises...mais non.
Mon manque est devenu physique, comme une droguée, lorsque je n'ai pas ma dose, je trezmpble, je suis énervée, je cri sur tout le monde.
Je me sens enfermé dans le procesus manger vomir
J'ai honte
Je perds beaucoup de temps a faire des crises, temps que je pourrais utiliser d'une meilleure manière !
J'abime mon corps
Je suis fatiguée
Voila, encore une fois les avantage de la boulimie sont top cher a payer...il faut s'en sortir
_
Ce ne sont pas les TCA qui apporte le mal être, mais le contrair : le mal être qui engendre les TCA...
Pour moi par exemple, ce que l'anorexie m'a apporté :
_retour a l'enfance : le corps redevient celui d'un enfant dans un premier temps, on perd ses forme de femme, on est fragile, et plus vulnérable. Donc, comme une enfant, on pense que les gens vont ainsi plus s'occuper de nous,( nous aimer?).
_STOP ! Avec l'anorexie, on arrête tout. La croissance, les règles, les évolution dans les relations humaines, l'école, sa vie...le temps. On se renferme et donc on arrête tout échange avec l'extérieur devenu trop dur.
_on se protège : enfermée dans son corps, on est à l'abris de la vie. On ne peut plus penser à sa douleur car on ne pense qu'à la bouffe.
Bref, l'anorexie aporte dans un premier temps du confort, la satisfaction de perdre du poids, une impression de redevenir gosse !
Mais ensuite, le corps pourri (désolé du mot mais c'est bien ça) et au lieu d'être un enfant on devient comme une grand mère ménoposée. On se rapproche chaque jour un peu plus de la mort...
C'est pour cela qu'il faut s'en sortir. Les avantage approté dans un premier temps se payent trop cher ! Et puis...après l'anorexie vient généralement la boulimie...
Et ce que la boulimie m'apporte aujourd'hui :
_ Je comble mon sentiment de vide avec de la nourriture
_Penser a ce que je vais manger m'évite de penser à d'éventuelles autres chose qui me ferait bien plus mal (enfin je pense, je ne peux pas savoir puisque je n'y pense pas !) !
_je comble un manque, mais je ne sais pas lequel...
_je prend du plaisir à manger, le gout des aliments me 'console" et la sensation du ventre plein me rassure (mais m'inquiète aussi car l'anorexie est encore un peu là, donc très peur de prendre du poids)
Les désaventage, c'est que la boulimie devient une réelle dépendence, au début on ne sait pas, on a l'impression de controler les crises...mais non.
Mon manque est devenu physique, comme une droguée, lorsque je n'ai pas ma dose, je trezmpble, je suis énervée, je cri sur tout le monde.
Je me sens enfermé dans le procesus manger vomir
J'ai honte
Je perds beaucoup de temps a faire des crises, temps que je pourrais utiliser d'une meilleure manière !
J'abime mon corps
Je suis fatiguée
Voila, encore une fois les avantage de la boulimie sont top cher a payer...il faut s'en sortir
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bonjour
Je suis d'accord sur le fait que les TCA cache un autre problème ou en tout cas kil y a un élément déclancheur.
Ma soeur est anorexique mais elle ne sais pas ce qui ne va pas ni ce ki a déclanché tout ca, dans son cas comment faire pour guérir?
Bon courage a tout le monde(malades et proches) on n'en a tous besoin
Bisous
Je suis d'accord sur le fait que les TCA cache un autre problème ou en tout cas kil y a un élément déclancheur.
Ma soeur est anorexique mais elle ne sais pas ce qui ne va pas ni ce ki a déclanché tout ca, dans son cas comment faire pour guérir?
Bon courage a tout le monde(malades et proches) on n'en a tous besoin
Bisous
Bonsoir,
Je crois que la raison, "l'élément déclencheur de son anorexie", apparaitra au fur et à mesure de son traitement.
Il peut s'agir de son éducation qu'elle rejète entant que personne, d'un évènement traumatisant, d'une situation d'angoisse...
Les chose se feront savoir au fur et à mesure.
Mais il faut qu'elle se soigne pour découvrir et combattre !!!
Bye courage
Je crois que la raison, "l'élément déclencheur de son anorexie", apparaitra au fur et à mesure de son traitement.
Il peut s'agir de son éducation qu'elle rejète entant que personne, d'un évènement traumatisant, d'une situation d'angoisse...
Les chose se feront savoir au fur et à mesure.
Mais il faut qu'elle se soigne pour découvrir et combattre !!!
Bye courage
s'il est vrai qu'il faut vraiment avoir la volonté de s'en sortir pour y parvenir, il n'est pas vrai que ce soit comparable à l'arrêt de la cigarette, il n'y a pas de dépendance physique ds les tca (quoique?) elle est surtout psychologique, il faut surtout réussir à se sortir de cet enfermement que crée ce comportement. Plus facile de se torturer l'esprit que de vivre? fausse croyance! mais quand on est en plein dans le piége il est difficile de l'admettre...on s'est tellement empêchée de vivre pendant des années qu'on pense ne même plus en être capable, car les tca ne sont pas la vie, c'est une sorte de parenthèse, dans laquelle on s'interdit toutes émotions,... Je ne sais pas à quel moment on peut parler de guérison peut-être vaut il mieux parler de rémission je n'en sais rien, en tout cas je vis cette phase de rémission comme un immense soulagement, ce sentiment de gâchis qui me tiraillait a disparu , chaque jour apporte son lot de surprise, c'est venu un peu du jour au lendemain, avec un cheminement intèrieur qui aura duré des années mais qui m'aura permis de me connaître mieux, de m'accepter petit à petit et surtout de me donner le droit et de croire en ma capacité à obtenir ce que je désire, et à partir du moment où l'on croit un tant soit peu en la possibilité que les choses peuvent changer/peuvent se passer comme on l'espère, on provoque inconsciemment ce changement, mais l'optimisme n'est pas forcément dans la nature il se travaille, il faut savoir le chercher, car il est vrai que ce n'est pas la tendance de notre société actuelle que de croire et d'avoir de l'espoir! ...
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milly
- Enfinien éprouvé
- Messages : 436
- Enregistré le : 29 août 2003, 00:00
- Localisation : au fond de mes pensées
je ne suis pas d'accord avec toiil n'y a pas de dépendance physique ds les tca
depuis que je suis boulimique, je ressens le besoin (et non l'envie) de manger, et tant que je n'ais pas fait ma crise, mon corps me la réclame, je tremble, j'ai des sueurs, je suis comme en manque! d'ailleurs, mon psy m'avait même dit que ma dépendance était devenue plus que physique mais neurologique, parce que le corps envoie ces p****** de messages a mon cerveau pr lui dire de se goinffrer et vite !!!
c'est un peu cru et caricatural mais malheureusement, la dépendance physique existe dans les TCA