Et voici le nouveau thème de réflexion sur lequel nous vous proposons de vous pencher : "Le bonheur, pour quoi faire ?"
Ce thème sera prochainement abordé lors du groupe de parole organisé par l'association Partage et Ecoute : le mercredi 12 octobre 2005 à Courbevoie (92) et le vendredi 21 octobre 2005 sur Marseille.
Bon allé, je m'éclipse afin de vous laisser vous exprimer ;)
Antoine
Le bonheur, pour quoi faire ?
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- Antoine
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Le bonheur, pour quoi faire ?
Modifié en dernier par Antoine le 21 oct. 2005, 22:12, modifié 1 fois.
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Le bonheur pour
Le bonheur : ça se partage, si nous, nous ne pouvons en profiter pleinement on peut en faire bénéficier les autres: en étant gentil attentionné, et lorsqu'on fait ça, nous qui avons peu de bonheur, ça nous en procure, parce qu'il faut savoir donner pour recevoir!
le bonheur c'est pas grand chose, ce sont les enfants, le partage, un sourire, une émotion .
et ce bonheur on le rencontre tous les jours et c'est ce qui fait qu'on est toujours là non ?
le bonheur c'est pas grand chose, ce sont les enfants, le partage, un sourire, une émotion .
et ce bonheur on le rencontre tous les jours et c'est ce qui fait qu'on est toujours là non ?
allez hop une petite chanson pour illustrer ce sujet ,
cettevieille chanson , je lma trouve sympa pour illustrer le thème alors je vous l'offre....je cite aussi si vous le permettez un proverbe chinois dont je me suis bien moquée quand on me l'a donné et que je n'avais que 20 ans , pourtant à présent après avoir vécu la maldie de ma fille, je trouve qu'il est très fort :"on reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait en tombant"
MC
Le petit bonheur
(Félix Leclerc)
C'était un petit bonheur que j'avais rencontré
Il était tout en pleurs sur le bord d'un fossé.
Quand il m'a vu passer, il s'est mis à crier,
Monsieur, ramassez-moi, chez vous, emmenez-moi.
Mes frères m'ont oublié, je suis tombé, je suis malade,
Si vous n' me cueillez point, je vais mourir, quelle ballade...
Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure,
Monsieur, je vous en prie, délivrez-moi de ma torture.
J'ai pris le petit bonheur, l'ai mis sous mes haillons,
J'ai dit, faut pas qu'tu meures, viens-t-en dans ma maison.
Alors le petit bonheur a fait sa guérison
Sur le bord de mon cœur, y'avait une chanson.
Mes jours, mes nuits, mes peines, mes deuils, mon mal, tout fut oublié. Ma vie de désœuvré j'avais l' dégoût d' la r' commencer.
Quand il pleuvait dehors ou qu' mes amis m' faisaient des peines,
J' prenais mon petit bonheur et j' lui disais, c'est toi ma reine.
Mon bonheur a fleuri, il a fait des bourgeons.
C'était le paradis, ça s' voyait sur mon front.
Or un matin joli que j' sifflais ce refrain
Mon bonheur est parti sans me donner la main.
J'eus beau le supplier, le cajoler, lui faire des scènes,
Lui montrer le grand trou qu'il me faisait au fond du cœur
Il s'en allait toujours la tête haute, sans joie, sans haine
Comme s'il ne pouvait plus voir le soleil dans ma demeure.
J'ai bien pensé mourir de chagrin et d'ennui,
J'avais cessé de rire, c'était toujours la nuitIl me restait l'oubli, il me restait l' mépris,
Tant pis, que j' me suis dit, il me reste la vie
J'ai repris mon bâton, mes deuils, mes peines et mes guenilles.
Et je bats la semelle dans les pays de malheureux.
Aujourd'hui quand je vois une fontaine ou une fille
Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux.
MC
Le petit bonheur
(Félix Leclerc)
C'était un petit bonheur que j'avais rencontré
Il était tout en pleurs sur le bord d'un fossé.
Quand il m'a vu passer, il s'est mis à crier,
Monsieur, ramassez-moi, chez vous, emmenez-moi.
Mes frères m'ont oublié, je suis tombé, je suis malade,
Si vous n' me cueillez point, je vais mourir, quelle ballade...
Je me ferai petit, tendre et soumis, je vous le jure,
Monsieur, je vous en prie, délivrez-moi de ma torture.
J'ai pris le petit bonheur, l'ai mis sous mes haillons,
J'ai dit, faut pas qu'tu meures, viens-t-en dans ma maison.
Alors le petit bonheur a fait sa guérison
Sur le bord de mon cœur, y'avait une chanson.
Mes jours, mes nuits, mes peines, mes deuils, mon mal, tout fut oublié. Ma vie de désœuvré j'avais l' dégoût d' la r' commencer.
Quand il pleuvait dehors ou qu' mes amis m' faisaient des peines,
J' prenais mon petit bonheur et j' lui disais, c'est toi ma reine.
Mon bonheur a fleuri, il a fait des bourgeons.
C'était le paradis, ça s' voyait sur mon front.
Or un matin joli que j' sifflais ce refrain
Mon bonheur est parti sans me donner la main.
J'eus beau le supplier, le cajoler, lui faire des scènes,
Lui montrer le grand trou qu'il me faisait au fond du cœur
Il s'en allait toujours la tête haute, sans joie, sans haine
Comme s'il ne pouvait plus voir le soleil dans ma demeure.
J'ai bien pensé mourir de chagrin et d'ennui,
J'avais cessé de rire, c'était toujours la nuitIl me restait l'oubli, il me restait l' mépris,
Tant pis, que j' me suis dit, il me reste la vie
J'ai repris mon bâton, mes deuils, mes peines et mes guenilles.
Et je bats la semelle dans les pays de malheureux.
Aujourd'hui quand je vois une fontaine ou une fille
Je fais un grand détour ou bien je me ferme les yeux.
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- la 'tite Toulousaine Matinette
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- Localisation : la ville, rose ?
"en dehors de tous les petits plaisirs de la vie" ... je crois que justement le bonheur n'est rien d'autre qu'un ensemble de ces simples moments agréables... que nous devons apprendre à davantage capter.
L'Ideal n'existe pas, ne cherchons pas à gagner le Bonheur Absolu, cette quête ne fera que nous décevoir.
Le bonheur, ça se construit. Ma mère m'a souvent dit cette phrase.
A nous de nous donner les moyens d'aimer la vie, de la rendre aimable, de nous sentir aimé et d'aimer, les autres, soi aussi...
L'Ideal n'existe pas, ne cherchons pas à gagner le Bonheur Absolu, cette quête ne fera que nous décevoir.
Le bonheur, ça se construit. Ma mère m'a souvent dit cette phrase.
A nous de nous donner les moyens d'aimer la vie, de la rendre aimable, de nous sentir aimé et d'aimer, les autres, soi aussi...