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 ](*,)
  ](*,)   la journée est passée assez vite et bien, elle n'est pas finie et le plus dur n'est pas ici mais une fois rentrée à la maison... ambiance pas au top depuis trois jours
  la journée est passée assez vite et bien, elle n'est pas finie et le plus dur n'est pas ici mais une fois rentrée à la maison... ambiance pas au top depuis trois jours   
  
 

 
   
   
   
   
   
   
   
   
   
   
 


 je ne faisais que répondre aux questions qu'on me posait, en bref ça ne faisais pas avancer les choses. Mais c'est vrai qu'en sortant l'ambiance était assez morne, surtout que ma mère a horreur des psy, alors imagine que là il y avait ma psychiatre, et une psychologue. Je pense que la thérapie peut parfoit aider mais il faut que tu y sois à fond pas comme je l'ai été.
  je ne faisais que répondre aux questions qu'on me posait, en bref ça ne faisais pas avancer les choses. Mais c'est vrai qu'en sortant l'ambiance était assez morne, surtout que ma mère a horreur des psy, alors imagine que là il y avait ma psychiatre, et une psychologue. Je pense que la thérapie peut parfoit aider mais il faut que tu y sois à fond pas comme je l'ai été.  
  
  

 
   
   
 
Pour l'avoir vécu ma Lilou, sache que ce qui fait le plus avancer dans ce cadre de thérapie familiale, c'est de se trouver -ensemble- dans un endroit bien plus neutre que le toit commun et de parler , pas forcément "déballer", non, car le ou les thérapeutes (ils étaient deux dans mon cas) sont justement là pour cadrer ce qui doit redevenir un échange. C'est vrai que l'ambiance d'après-séance peut être tendue, mais cela fait autant de non-dits en moins.Lilou a écrit :Je ne sais pas mais pour ceux qui en font comment arrivez vous à vivre ensuite avec vos parents après des séances ensembles à se déballer tout ce qui ne va pas ??? là j'ai du mal à imaginer l'ambiance de la maison après les séances.

 
   
   
 



 
 

 , si je me trouvais dans la même situation que toi, je pense que j'aurais le même dilemme que toi : "Quelle est ma priorité n°1, ma santé ou mon travail ?". C'est pourquoi, je ne peux pas vraiment te conseiller. Au fond de moi, je sais que ce serait ma santé, mais je ne serais pas sûr d'avoir la force de tout lâcher, ce serait pour moi synonyme d'échec et de honte ...
 , si je me trouvais dans la même situation que toi, je pense que j'aurais le même dilemme que toi : "Quelle est ma priorité n°1, ma santé ou mon travail ?". C'est pourquoi, je ne peux pas vraiment te conseiller. Au fond de moi, je sais que ce serait ma santé, mais je ne serais pas sûr d'avoir la force de tout lâcher, ce serait pour moi synonyme d'échec et de honte ... 




c'est elle même qui m'en a parlé la premiere, elle m'y encourage...As-tu parler à ta maman de peut-être devoir retourner à la clinique ? et qu'en pense-t-elle ?
je crois que tu as peut-être voulu guérir trop vite de part les espérances qui étaient placées en toi; et peut-être t'es-tu sentie nettement plus guérie que tu l'étais ?Code : Tout sélectionner
qui ne veut pas guérir vite ??? effectivement je croyais que tout se passerait bien... :(