
Là où je M'emmènerai..............
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Merci de prendre connaissance de la Netiquette d'Enfine avant toute consultation ou utilisation.
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Un sourire !
Un sourire ne coute rien et produit beaucoup,
Il enrichit ceux qui le recoivent
Sans appauvrir ceux qui le donnent.
Il ne dure qu'un instant
Mais son souvenir est parfois eternel.
Personne n'est assez riche pour s'en passer,
Personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter
Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires,
Il est le signe sensible de l'amitié.
Un sourire donne du repos a l'etre fatigué,
Rend du courage aux plus découragés
Il ne peut s'acheter, se preter, ni se voler
Car c'est une chose qui n'a pas de valeur
Qu'a partir du moment ou elle se donne.
Et si quelquefois, vous rencontrez une personne
Qui ne sait plus avoir le sourire,
Soyez généreux, donnez-lui le votre
Car nul n'a besoin d'un sourire
Que celui qui ne peut en donner aux autres.
Auteur : inconnu
En amour (Parent/enfant - Mari/femme - et inversement) comme en amitié, dépendance et soumission sont à proscrire.
A l'inverse Respect et Liberté individuelle sont primordiaux pour une belle histoire.
Dans un premier temps, j'allais écrire Respect et Liberté sont signe de réussite.
Encore un mot balance : Réussite/Echec - Gros/maigre - Bien/mal -
Amour/Haïne - Manger/Jeûner - Boulimie/Anorexie - Vie/Mort - Gentille/Méchante - Puissance/Impuissance.
Je suis loin d'être parfaite, tout au moins il faudrait être prétentieux penser l'être, mais je comprends en écrivant cette phrase ci-dessus, pourquoi bien avant cette maladie, lorsqu'entre parents nous parlions de nos enfants, certains disaient : ""On a réussi ou pas réussi l'éducation de nos enfants"", et je répondais, et encore aujourd'hui : ""on fait ce que l'on peut, pas forcément ce que l'on veut ou souhaiterait. Mais on le fait du mieux qu'on peut en s'adaptant à chaque personne qu'est chacun de nos enfants.""
A l'inverse Respect et Liberté individuelle sont primordiaux pour une belle histoire.
Dans un premier temps, j'allais écrire Respect et Liberté sont signe de réussite.
Encore un mot balance : Réussite/Echec - Gros/maigre - Bien/mal -
Amour/Haïne - Manger/Jeûner - Boulimie/Anorexie - Vie/Mort - Gentille/Méchante - Puissance/Impuissance.
Je suis loin d'être parfaite, tout au moins il faudrait être prétentieux penser l'être, mais je comprends en écrivant cette phrase ci-dessus, pourquoi bien avant cette maladie, lorsqu'entre parents nous parlions de nos enfants, certains disaient : ""On a réussi ou pas réussi l'éducation de nos enfants"", et je répondais, et encore aujourd'hui : ""on fait ce que l'on peut, pas forcément ce que l'on veut ou souhaiterait. Mais on le fait du mieux qu'on peut en s'adaptant à chaque personne qu'est chacun de nos enfants.""
[center]2 textes à réfléchir [/center]
[center]La Vraie Médecine !
" Il est raisonnable de soigner les maladies physiques par des moyens physiques . Mais cela ne suffit pas .
Dans la mesure où la maladie a le plus souvent pour causes lointaines certaines erreurs que l'homme a commises dans le plan des pensées et des sentiments, tant que ce n'est pas là qu'il apporte lui-même des améliorations, il ne peut pas être définitivement guéri.
Alors, la solution, c'est qu'en même temps qu'il utilise toutes les ressources de la médecine, il s'applique à redresser en lui-même le côté affectif, mental, afin de faire disparaître les causes du mal.
Qu'il prenne des médicaments, qu'il suive des traitements, c'est bien, mais qu'il accompagne ces traitements d'un travail psychique car, à la longue, les pensées et les sentiments finissent par toucher la matière et participent à sa transformation .
Voilà la vraie médecine !
Prenez des médicaments s'il le faut, mais ajoutez-y la force de votre pensée, la force de votre amour, et ils seront plus efficaces ."
Pensée du 02/12/2004 - Omraam Mikhaël Aïvanhov[/center]
[center]Le Billet de 100 dollars
Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 100 dollars . Il demande aux gens : ¨ Qui aimerait avoir ce billet ? ¨
Les mains commencèrent à se lever , alors il dit : ¨ Je vais donner ce billet de 100 dollars à l’un d’entre vous mais avant laissez-moi faire quelque chose avec . ¨
Il chiffonne alors le billet avec force et il demande : ¨ Est-ce que vous voulez toujours ce billet ? ¨ Les mains continuèrent à se lever .
¨ Bon , d’accord , mais que se passera-t-il si je fais cela ¨ Il jette le billet froissé par terre et saute à pied joints dessus , l’écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher . Ensuite , il demande : ¨ Qui veut encore ce billet ? ¨
Évidemment , les mains continuent de se lever !
¨ Mes amis , vous venez d’apprendre une leçon … Peu importe ce que je fais avec ce billet , vous le voulez toujours parce que sa valeur n’a pas changé , il vaut toujours 100 dollars . ¨
¨ Alors pensez à vous , à votre vie . Plusieurs fois dans votre Vie vous serez froissé , rejeté , souillé par les gens ou par les événements . Vous aurez l’impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n’aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment ! La Valeur d’une Personne ne tient pas à ce que l’on a fait ou pas , vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte ¨[/center]
[center]La Vraie Médecine !
" Il est raisonnable de soigner les maladies physiques par des moyens physiques . Mais cela ne suffit pas .
Dans la mesure où la maladie a le plus souvent pour causes lointaines certaines erreurs que l'homme a commises dans le plan des pensées et des sentiments, tant que ce n'est pas là qu'il apporte lui-même des améliorations, il ne peut pas être définitivement guéri.
Alors, la solution, c'est qu'en même temps qu'il utilise toutes les ressources de la médecine, il s'applique à redresser en lui-même le côté affectif, mental, afin de faire disparaître les causes du mal.
Qu'il prenne des médicaments, qu'il suive des traitements, c'est bien, mais qu'il accompagne ces traitements d'un travail psychique car, à la longue, les pensées et les sentiments finissent par toucher la matière et participent à sa transformation .
Voilà la vraie médecine !
Prenez des médicaments s'il le faut, mais ajoutez-y la force de votre pensée, la force de votre amour, et ils seront plus efficaces ."
Pensée du 02/12/2004 - Omraam Mikhaël Aïvanhov[/center]
[center]Le Billet de 100 dollars
Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 100 dollars . Il demande aux gens : ¨ Qui aimerait avoir ce billet ? ¨
Les mains commencèrent à se lever , alors il dit : ¨ Je vais donner ce billet de 100 dollars à l’un d’entre vous mais avant laissez-moi faire quelque chose avec . ¨
Il chiffonne alors le billet avec force et il demande : ¨ Est-ce que vous voulez toujours ce billet ? ¨ Les mains continuèrent à se lever .
¨ Bon , d’accord , mais que se passera-t-il si je fais cela ¨ Il jette le billet froissé par terre et saute à pied joints dessus , l’écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher . Ensuite , il demande : ¨ Qui veut encore ce billet ? ¨
Évidemment , les mains continuent de se lever !
¨ Mes amis , vous venez d’apprendre une leçon … Peu importe ce que je fais avec ce billet , vous le voulez toujours parce que sa valeur n’a pas changé , il vaut toujours 100 dollars . ¨
¨ Alors pensez à vous , à votre vie . Plusieurs fois dans votre Vie vous serez froissé , rejeté , souillé par les gens ou par les événements . Vous aurez l’impression que vous ne valez plus rien mais en réalité votre valeur n’aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment ! La Valeur d’une Personne ne tient pas à ce que l’on a fait ou pas , vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque est toujours intacte ¨[/center]
Passage du chapitre "4 pas vers la sagesse" du livre ""Quand la Conscience s'éveille"" d'Anthony de Mello
""Vos proches n'aimeront pas du tout ce changement; ils seront terrifés lorsque vos yeux s'ouvriront, lorsque vous comprendrez. Ils ne pourront pas garder le contrôle sur une personne qui a compris. Une personne qui n'a plus besoin de personne, qui ne se sent pas menacée par les critiques, qui se fiche pas mal de ce que pensent et disent les autres. Cette personne a coupé les attaches; elle n'est plus une marionnette. C'est terrifiant. "Il faut que nous nous débarrassions de lui. Il dit la vérité ; il n'a plus peur de rien, il n'est plus humain." Humain ! alors qu'il est enfin devenu un être humain : il a brisé ses entraves, il s'est évadé de sa prison.""""
Mon point de vue : Il est tout à fait exact que dans la mesure où nous avons servi d'objet de consolation, que l'Autre a toujours eu besoin de nous pour calmer ses angoisses, que cet Autre n'est pas apte à vivre sans nous, à nous lâcher, dans ce cas cet Autre ne comprend pas notre transformation, et il ne faut pas baisser les bras si l'on veut s'en sortir, il ne faut pas céder au chantage car il fera tout ce qu'il peut pour nous interdire ou nous culpabiliser de cette transformation. L'éloignement que l'on prend n'est pas du tout accepté par cet ou ces Autres qui nous retenait(ent) prisonnière.
""Vos proches n'aimeront pas du tout ce changement; ils seront terrifés lorsque vos yeux s'ouvriront, lorsque vous comprendrez. Ils ne pourront pas garder le contrôle sur une personne qui a compris. Une personne qui n'a plus besoin de personne, qui ne se sent pas menacée par les critiques, qui se fiche pas mal de ce que pensent et disent les autres. Cette personne a coupé les attaches; elle n'est plus une marionnette. C'est terrifiant. "Il faut que nous nous débarrassions de lui. Il dit la vérité ; il n'a plus peur de rien, il n'est plus humain." Humain ! alors qu'il est enfin devenu un être humain : il a brisé ses entraves, il s'est évadé de sa prison.""""
Mon point de vue : Il est tout à fait exact que dans la mesure où nous avons servi d'objet de consolation, que l'Autre a toujours eu besoin de nous pour calmer ses angoisses, que cet Autre n'est pas apte à vivre sans nous, à nous lâcher, dans ce cas cet Autre ne comprend pas notre transformation, et il ne faut pas baisser les bras si l'on veut s'en sortir, il ne faut pas céder au chantage car il fera tout ce qu'il peut pour nous interdire ou nous culpabiliser de cette transformation. L'éloignement que l'on prend n'est pas du tout accepté par cet ou ces Autres qui nous retenait(ent) prisonnière.
Petite question
Qu'est-ce pour vous le pardon ? Comment peut-on pardonner ?
Dernièrement une personne m'a réveillée ces questions que je me pose assez souvent. Aussi je me permets de la poser sur ce forum afin de pouvoir partager vos points de vue.
En ce qui me concerne, je me suis souvent demandée et je ne comprends pas pourquoi je suis incapable de pardonner à cette mère qui m'a étouffée, à cette mère qui n'accepte pas que je m'éloigne d'elle, que je prenne mon indépendance, qui refuse que j'ai changée, à ce frère qui a abusé de moi.
J'ai l'impression que je ne peux pardonner dans la mesure où elle considère qu'elle est la mère parfaite, que cette maladie n'a rien à voir avec elle, que ce frère estime ne pas avoir à s'excuser..........
Actuellement, je comprends pourquoi ils ont agi ainsi, les souffrances qu'eux même portaient pour avoir eu ce comportement. Je les respecte. Mais suis incapable de les pardonner. Pourquoi vivent ils dans un tel déni au lieu d'ouvrir leurs yeux et leurs oreilles ?
Qu'est-ce pour vous le pardon ? Comment peut-on pardonner ?
Dernièrement une personne m'a réveillée ces questions que je me pose assez souvent. Aussi je me permets de la poser sur ce forum afin de pouvoir partager vos points de vue.
En ce qui me concerne, je me suis souvent demandée et je ne comprends pas pourquoi je suis incapable de pardonner à cette mère qui m'a étouffée, à cette mère qui n'accepte pas que je m'éloigne d'elle, que je prenne mon indépendance, qui refuse que j'ai changée, à ce frère qui a abusé de moi.
J'ai l'impression que je ne peux pardonner dans la mesure où elle considère qu'elle est la mère parfaite, que cette maladie n'a rien à voir avec elle, que ce frère estime ne pas avoir à s'excuser..........
Actuellement, je comprends pourquoi ils ont agi ainsi, les souffrances qu'eux même portaient pour avoir eu ce comportement. Je les respecte. Mais suis incapable de les pardonner. Pourquoi vivent ils dans un tel déni au lieu d'ouvrir leurs yeux et leurs oreilles ?
c'est tellement plus facile de dire moi non!! je n'ai rien fait!!
ça me fait penser au enfant
je ne peut dirent ce qu'il ressente mais une choses est sur il ne vont vivre avec cette culpabilité enfoui au fond d'eux si ils en on une
moi je sais qu'il mais pour le moment impossible de leur pardonner
mais en même temps qui somme nous pour pardonner ça veux dire que nous les jugeons a notre tour
quel cesse tête
enfin soit je ne peut répondre a ta question par ce que je ne sais pas moi même comment réagir parfois
c'est avec tout mon affection et mon amitié que je te souhaite une bonne journée

ça me fait penser au enfant
je ne peut dirent ce qu'il ressente mais une choses est sur il ne vont vivre avec cette culpabilité enfoui au fond d'eux si ils en on une
moi je sais qu'il mais pour le moment impossible de leur pardonner
mais en même temps qui somme nous pour pardonner ça veux dire que nous les jugeons a notre tour
quel cesse tête
enfin soit je ne peut répondre a ta question par ce que je ne sais pas moi même comment réagir parfois
c'est avec tout mon affection et mon amitié que je te souhaite une bonne journée

la question est: peut on tout pardonner?
je ne crois pas ,mais on peut se vider du ressentiment,laisser le poids de la faute à celui à qui il revient et essayer de cicatriser sa blessure
le pardon c'est quoi?
ne plus en vouloir,accepter l'autre tel qu'il est même si on ne "l'aime" pas,ne plus avoir de haine,de rencoeur,avoir compris le pourquoi des actes qui nous ont tant blesser,
chacun et pour chaque cas a des réponses différentes?
s'éloigner pour se différencier de l'autre et s'affirmer s'est bien,quand on est vraiment soi je crois qu'on est respecté même si au début les gens sont étonnés aprés vient le respect,le vrai
je ne crois pas ,mais on peut se vider du ressentiment,laisser le poids de la faute à celui à qui il revient et essayer de cicatriser sa blessure
le pardon c'est quoi?
ne plus en vouloir,accepter l'autre tel qu'il est même si on ne "l'aime" pas,ne plus avoir de haine,de rencoeur,avoir compris le pourquoi des actes qui nous ont tant blesser,
chacun et pour chaque cas a des réponses différentes?
s'éloigner pour se différencier de l'autre et s'affirmer s'est bien,quand on est vraiment soi je crois qu'on est respecté même si au début les gens sont étonnés aprés vient le respect,le vrai
Au fur et à mesure de ma transformation, j'ai pu me rendre compte qu'avec toutes les relations extérieures à la famille, que ce soient des ami(e)s ou seulement des rencontres, que j'avais un problème de vue. Que l'image que j'avais de l'autre était faussée. C'est à partir de ce moment là, que l'on reconnaît notre responsabilité, qu'un rendez vous chez l'ophtalmo s'avère nécessaire et indispensable. Ceci étant fait, je me suis très vite aperçu que le monde n'était pas celui que j'imaginai. Et là c'est un immense pas de fait.
On peut dire que la myopie est soignée.
Par contre la presbytie est nettement plus difficile à soigner. La famille dans laquelle j'ai été élevée je la voyais et qui m'interdisait de porter des lunettes de manière à continuer à les voir comme ça les arrangeait et non pas de voir la réalité.
A présent, que je me suis décidée à en porter et regarder de plus près, ça va nettement mieux.
Je vais imager avec des fruits de saison, ce que je ressens :
Tout d'abord, le fruit du marronnier composé de deux moitiés dans une bogue et que j'identifierai au couple, qui, par l'union, forme une famille.
Cette bogue éclate pour laisser comprendre que même unit , nous ne pouvons vivre à l'écart du monde, en fusion, que chacun a besoind de sa liberté de penser, d'agir, de parler... tout en respectant l'autre et les accords de l'union.
Puis arrive aussi la chute des châtaignes.
Quand on regarde de près, une châtaigne comprend trois parties. Deux plus importantes (les parents) et une toute """fine"" (l'enfant) car elle est serré entre les deux autres. (fine aussi car devenue anorexique par manque d'espace, ne pouvant respirer, ne pouvant s'épanouir)
Là aussi, lorsque la famille s'agrandit, il est indispensable de laisser la liberté à chacun.
Lorsque la fusion, l'union (l'anneau, l'ano) est existante, elle est dans un premier temps vécue sans rien dire. C'est alors un amour incontrolable. Puis cet amour devient tellement envahissant qu'il se transforme en haine. Cette haine est invivable et lorsqu'elle atteint l'extrême, il est nécessaire d'ouvrir les yeux. A ce moment là, j'ai compris pourquoi l'Autre était aini et ne voulait pas me laisser sortir de cette bogue, de ce blockauss.
De là, la haine se transforme en colère pour finir par se calmer et accepter l'Autre tel qu'il est, en le/la/les respectant et sans vouloir le/la/les changer. Mais en remettant les responsabilités au(x)responsable(s). Comme dit le proverbe : il faut rendre à César ce qui appartient à César.
Je pense donc avoir pardonné. Comme on peut parfois entendre qu’un proche ou qu’une victime a pardonné au responsable mais cela est nettement plus facile lorsque le responsable reconnaît sa responsabilité. Et cela sans juger, et par conséquent sans donner raison ou tort à l’un et à l’autre, sans chercher un coupable ou une victime, mais en se respectant l’un l’autre.
La plus belle image du pardon est celle du pape vis à vis de celui qui l'avait blessé et qui lui avait reconnu ses actes.
Je vais reprendre une catastrophe de l’actualité de l’an dernier pour expliquer cette dernière attache avec la maladie et qui me sert de protection, tout comme cette porte que j’ai fermée pour me protéger, sans me justifier et de toute façon sans pouvoir me justifier dans la mesure où ils n’acceptent pas ma transformation où ils ne se sentent en aucun cas concerné par cette maladie.
Souvenez-vous de cette mer – mère qui semblait calme mais qu’une tempête a fait monter sa colère qu’elle n’a pas su gérer au point que plus rien ne pouvait l’arrêter. Elle a réussi à démolir et à passer toutes les limites de territoires posées par ceux qui y habitaient. Elle a brisé les dunes, digues et barrages pour se déverser sur une région qui ne demandait qu’à vivre. Cette mer – mère a tout englouti, détruit et tué sur son passage, pour rappeler qu’elle existait et que sa puissance est énorme et que l’on ne peut rien contre cette force.
C’est de cela que j’ai encore peur, que je crains. La porte est fermée, certes. Que je la rouvre ou la laisse fermée, je pense qu’il arrivera un jour où les vagues de sa ou leur mélancolie et colère ne pourront plus être bloquées et je crains qu’elles ne me réengloutissent comme avant.
Ma transformation m’a fait comprendre qu’il me fallait poser mes limites dans la mesure où aucune n’avait été posée dans le passée et nécessaire à la liberté et l’individualité de chacun, mais cette digue et barrage est encore en construction et ne résisterait pas à l’inondation.
Il me faut encore un peu de temps pour consolider cette digue.
Il me faut aussi arriver à surmonter cette crainte d’être envahie, essayer d’oublier ce risque d’être envahie. Oui c’est cela, l’oublier, oublier. Manger et vivre. Donner et apporter à mon corps le plaisir et la nourriture dont il a besoin pour être en forme (en formes) et non rester « fine » comme cette troisième partie intérieure de la châtaigne, mais assumer cette liberté que j’ai réclamée et prise. Oui ASSUMER.
Il me reste à quitter cette mélancolie de la famille parfaite telle qu'on a toujours voulu me le faire croire, seulement pour qu'elle soit parfaite il faut que le respect soit à double sens entre chacun des membres qui la composent et non pas en sens unique.
Merci Mother, votre réponse m'a plongée sur une réflexion sur moi-même et me permettra de continuer mon chemin et peut être cette force qui me manque pour me libérer totalement
On peut dire que la myopie est soignée.
Par contre la presbytie est nettement plus difficile à soigner. La famille dans laquelle j'ai été élevée je la voyais et qui m'interdisait de porter des lunettes de manière à continuer à les voir comme ça les arrangeait et non pas de voir la réalité.
A présent, que je me suis décidée à en porter et regarder de plus près, ça va nettement mieux.
Je vais imager avec des fruits de saison, ce que je ressens :
Tout d'abord, le fruit du marronnier composé de deux moitiés dans une bogue et que j'identifierai au couple, qui, par l'union, forme une famille.
Cette bogue éclate pour laisser comprendre que même unit , nous ne pouvons vivre à l'écart du monde, en fusion, que chacun a besoind de sa liberté de penser, d'agir, de parler... tout en respectant l'autre et les accords de l'union.
Puis arrive aussi la chute des châtaignes.
Quand on regarde de près, une châtaigne comprend trois parties. Deux plus importantes (les parents) et une toute """fine"" (l'enfant) car elle est serré entre les deux autres. (fine aussi car devenue anorexique par manque d'espace, ne pouvant respirer, ne pouvant s'épanouir)
Là aussi, lorsque la famille s'agrandit, il est indispensable de laisser la liberté à chacun.
Lorsque la fusion, l'union (l'anneau, l'ano) est existante, elle est dans un premier temps vécue sans rien dire. C'est alors un amour incontrolable. Puis cet amour devient tellement envahissant qu'il se transforme en haine. Cette haine est invivable et lorsqu'elle atteint l'extrême, il est nécessaire d'ouvrir les yeux. A ce moment là, j'ai compris pourquoi l'Autre était aini et ne voulait pas me laisser sortir de cette bogue, de ce blockauss.
De là, la haine se transforme en colère pour finir par se calmer et accepter l'Autre tel qu'il est, en le/la/les respectant et sans vouloir le/la/les changer. Mais en remettant les responsabilités au(x)responsable(s). Comme dit le proverbe : il faut rendre à César ce qui appartient à César.
Je pense donc avoir pardonné. Comme on peut parfois entendre qu’un proche ou qu’une victime a pardonné au responsable mais cela est nettement plus facile lorsque le responsable reconnaît sa responsabilité. Et cela sans juger, et par conséquent sans donner raison ou tort à l’un et à l’autre, sans chercher un coupable ou une victime, mais en se respectant l’un l’autre.
La plus belle image du pardon est celle du pape vis à vis de celui qui l'avait blessé et qui lui avait reconnu ses actes.
Je vais reprendre une catastrophe de l’actualité de l’an dernier pour expliquer cette dernière attache avec la maladie et qui me sert de protection, tout comme cette porte que j’ai fermée pour me protéger, sans me justifier et de toute façon sans pouvoir me justifier dans la mesure où ils n’acceptent pas ma transformation où ils ne se sentent en aucun cas concerné par cette maladie.
Souvenez-vous de cette mer – mère qui semblait calme mais qu’une tempête a fait monter sa colère qu’elle n’a pas su gérer au point que plus rien ne pouvait l’arrêter. Elle a réussi à démolir et à passer toutes les limites de territoires posées par ceux qui y habitaient. Elle a brisé les dunes, digues et barrages pour se déverser sur une région qui ne demandait qu’à vivre. Cette mer – mère a tout englouti, détruit et tué sur son passage, pour rappeler qu’elle existait et que sa puissance est énorme et que l’on ne peut rien contre cette force.
C’est de cela que j’ai encore peur, que je crains. La porte est fermée, certes. Que je la rouvre ou la laisse fermée, je pense qu’il arrivera un jour où les vagues de sa ou leur mélancolie et colère ne pourront plus être bloquées et je crains qu’elles ne me réengloutissent comme avant.
Ma transformation m’a fait comprendre qu’il me fallait poser mes limites dans la mesure où aucune n’avait été posée dans le passée et nécessaire à la liberté et l’individualité de chacun, mais cette digue et barrage est encore en construction et ne résisterait pas à l’inondation.
Il me faut encore un peu de temps pour consolider cette digue.
Il me faut aussi arriver à surmonter cette crainte d’être envahie, essayer d’oublier ce risque d’être envahie. Oui c’est cela, l’oublier, oublier. Manger et vivre. Donner et apporter à mon corps le plaisir et la nourriture dont il a besoin pour être en forme (en formes) et non rester « fine » comme cette troisième partie intérieure de la châtaigne, mais assumer cette liberté que j’ai réclamée et prise. Oui ASSUMER.
Il me reste à quitter cette mélancolie de la famille parfaite telle qu'on a toujours voulu me le faire croire, seulement pour qu'elle soit parfaite il faut que le respect soit à double sens entre chacun des membres qui la composent et non pas en sens unique.
Merci Mother, votre réponse m'a plongée sur une réflexion sur moi-même et me permettra de continuer mon chemin et peut être cette force qui me manque pour me libérer totalement
cette réflexion est à la fois touchante et preuve d'une trés grande lucidité
pouvoir prendre ce recul face à ses problèmes c'est ce que je souhaite à chacune de celles qui fréquente ce site,et à ma fille aussi
j'aime beaucoup les images évoquées
je relève particulièrement celle de la tempète car à un moment je me suis dit;" voilà je ne crains plus les tempètes"
je sais que les murs porteurs de ma maison sont solides,
si les tuiles s'envolent,le jardin est dévasté,je sais réparer ,refaire
et même s'il faut envisager quelques modifications ça ne me fais pas peur,au contraire c'est une escuse pour changer un peu le décor même s'il faut rapporter de la terre dans le jardin ou faire un décor minéral sur la terre stérile mettre des plantes en pots,il y aura toujours une solution pour réparer,des gens prêts à me donner un coup de main,
et aptrés quel plaisir de s'asseoir sur son fauteuil et de regarder les résultats des travaux entrepris
je suis certaine que bientôt ce sera pareil pour vous,vous n'aurez plus besoin de verifier l'état de la digue
pouvoir prendre ce recul face à ses problèmes c'est ce que je souhaite à chacune de celles qui fréquente ce site,et à ma fille aussi
j'aime beaucoup les images évoquées
je relève particulièrement celle de la tempète car à un moment je me suis dit;" voilà je ne crains plus les tempètes"
je sais que les murs porteurs de ma maison sont solides,
si les tuiles s'envolent,le jardin est dévasté,je sais réparer ,refaire
et même s'il faut envisager quelques modifications ça ne me fais pas peur,au contraire c'est une escuse pour changer un peu le décor même s'il faut rapporter de la terre dans le jardin ou faire un décor minéral sur la terre stérile mettre des plantes en pots,il y aura toujours une solution pour réparer,des gens prêts à me donner un coup de main,
et aptrés quel plaisir de s'asseoir sur son fauteuil et de regarder les résultats des travaux entrepris
je suis certaine que bientôt ce sera pareil pour vous,vous n'aurez plus besoin de verifier l'état de la digue
Merci Mother, j'ai pleuré en vous lisant. Je suis très très très sensible.je sais que les murs porteurs de ma maison sont solides,
si les tuiles s'envolent,le jardin est dévasté,je sais réparer ,refaire
et même s'il faut envisager quelques modifications ça ne me fais pas peur,au contraire c'est une escuse pour changer un peu le décor même s'il faut rapporter de la terre dans le jardin ou faire un décor minéral sur la terre stérile mettre des plantes en pots,il y aura toujours une solution pour réparer,des gens prêts à me donner un coup de main,
et aptrés quel plaisir de s'asseoir sur son fauteuil et de regarder les résultats des travaux entrepris
Ce que vous dites est tellement vrai également.
J'ai toujours adoré tout ce qui vient de la nature, de la terre, du terroir....
Et ça me fait tellement plaisir.
C'est tellement plus poétique. D'écrire de cette manière, cela amène de la couleur, de la vie, de la luminosité même si on parle d'un sujet plus gris, le gris est lumineux.
Eh oui ! je suis très optimiste même si parfois la durée de cette addiction semble longue, mais la digue n'en sera que d'autant plus solide. Pas la peine de brûler les étapes, ni de les bacler.
Je vais me répéter, mais je ne peux que vous souhaiter un immense bonheur. Vous êtes une personne super.
Une maman parlant à une maman
Vivalavie à Mother..............

merci beaucoup
venant d'une personne et maman comme vous,ou toi ,ça me touche beaucoup,beaucoup
quand il y a tant d'amour,de lucidité,de sensibilité et de respect ça ne peu que donner de beaux résultats
bon être comme ça c'est pas le plus facile,
on manque un peu de blindage mais pour moi c'est ce qui est le plus interessant
ressentir,voir et savoir faire de belles rencontres,
même sur internet à cause de cette saleté de tca
y a du beau partout
venant d'une personne et maman comme vous,ou toi ,ça me touche beaucoup,beaucoup
quand il y a tant d'amour,de lucidité,de sensibilité et de respect ça ne peu que donner de beaux résultats
bon être comme ça c'est pas le plus facile,
on manque un peu de blindage mais pour moi c'est ce qui est le plus interessant
ressentir,voir et savoir faire de belles rencontres,
même sur internet à cause de cette saleté de tca
y a du beau partout

Un instant de douceur

Je marche sur la Terre au milieu de cette vie trépidante
Tout le monde semble vouloir courir pour atteindre un but imaginaire
Pas le temps d'écouter
Pas le temps de rêver
Pas le temps de sourire
Pas le temps d'accueillir
Le tourbillon s'accélère et nous nous laissons emporter par le temps
Alors je m'arrête
Je souffle
Je respire
L'air emplit mes poumons de cette Vie qui coule en douceur
des étoiles jusqu'à mon coeur
Immobile
J'écoute
J'accueille
J'observe
Je ressens
Je prends le temps et le temps disparaît
Hors du temps me voilà dans l'unique instant
L'éternel présent que la vie m'offre à chaque instant
La paix m'envahit et la douceur me submerge
La fenêtre s'ouvre et l'Amour s'engouffre comme
une rafale de vent cosmique
Et je vois tous ces coeurs qui courent, prêts a s'ouvrir
Je vous aime
Soyez doux et bons
Prenez le temps de l'instant
Avec douceur...
tendrement ninou

Je marche sur la Terre au milieu de cette vie trépidante
Tout le monde semble vouloir courir pour atteindre un but imaginaire
Pas le temps d'écouter
Pas le temps de rêver
Pas le temps de sourire
Pas le temps d'accueillir
Le tourbillon s'accélère et nous nous laissons emporter par le temps
Alors je m'arrête
Je souffle
Je respire
L'air emplit mes poumons de cette Vie qui coule en douceur
des étoiles jusqu'à mon coeur
Immobile
J'écoute
J'accueille
J'observe
Je ressens
Je prends le temps et le temps disparaît
Hors du temps me voilà dans l'unique instant
L'éternel présent que la vie m'offre à chaque instant
La paix m'envahit et la douceur me submerge
La fenêtre s'ouvre et l'Amour s'engouffre comme
une rafale de vent cosmique
Et je vois tous ces coeurs qui courent, prêts a s'ouvrir
Je vous aime
Soyez doux et bons
Prenez le temps de l'instant
Avec douceur...
tendrement ninou
Merci pour vos messages.
Moral en baisse
Contrariété au boulot - les personnes changent d'avis et d'humeur suivant le sens du vent, sont incapables de prendre des décisions une bonne fois pour toute !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! s'embrassent par devant et se tirent dans les pattes par derrière !!!!!!!!!!!!!
De vraies gamines !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Impression de gêner !!!!!!!!!!!!
Aie eu le courage de demander en face à une collègue le pourquoi de son manque d'amabilité vis à vis de moi ! quelle mouche l'avait piquée !!!!
Pas se renfermer !!!!!!!! Retrouver le sourire et Go ! c'est reparti !!!!!!!!
A bientôt
Vivalavie
Moral en baisse
Contrariété au boulot - les personnes changent d'avis et d'humeur suivant le sens du vent, sont incapables de prendre des décisions une bonne fois pour toute !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! s'embrassent par devant et se tirent dans les pattes par derrière !!!!!!!!!!!!!
De vraies gamines !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Impression de gêner !!!!!!!!!!!!
Aie eu le courage de demander en face à une collègue le pourquoi de son manque d'amabilité vis à vis de moi ! quelle mouche l'avait piquée !!!!
Pas se renfermer !!!!!!!! Retrouver le sourire et Go ! c'est reparti !!!!!!!!
A bientôt
Vivalavie
[center]Les Oiseaux Larmes
Les larmes sont une sorte d’oiseaux qui habitent des êtres.
Quelquefois , elles apparaissent en groupe ,
souvent ce n’est qu’une seule qui prend son envolée pour se poser sur le bord d’une paupière.
S’envolant de nous , ces oiseaux-larmes entraînent comme des pierres sous leurs ailes ,
la douleur qui rend le cœur si lourd à porter.
Mais pour se rendre jusqu’à nos yeux, d’où ils s’échappent,
ils doivent lutter contre les vents de l’indifférence et l’orgueil :
ceux-là qui , quelquefois attrapent les oiseaux dans un grand filet , les gardent prisonniers en une boule au de la gorge
Ne capturons jamais d’oiseaux-larmes, ce sont les messagers du monde de notre cœur .
Ils ont quelque chose à dire , à montrer aux autres . Les oiseaux-larmes chantent la beauté de notre être.
Lorsqu’une larme jaillit sur la joue , cueillez-la d’un doux baiser … Elle donnera à vos lèvres des paroles d’amour .
[/center]

Les larmes sont une sorte d’oiseaux qui habitent des êtres.
Quelquefois , elles apparaissent en groupe ,
souvent ce n’est qu’une seule qui prend son envolée pour se poser sur le bord d’une paupière.
S’envolant de nous , ces oiseaux-larmes entraînent comme des pierres sous leurs ailes ,
la douleur qui rend le cœur si lourd à porter.
Mais pour se rendre jusqu’à nos yeux, d’où ils s’échappent,
ils doivent lutter contre les vents de l’indifférence et l’orgueil :
ceux-là qui , quelquefois attrapent les oiseaux dans un grand filet , les gardent prisonniers en une boule au de la gorge
Ne capturons jamais d’oiseaux-larmes, ce sont les messagers du monde de notre cœur .
Ils ont quelque chose à dire , à montrer aux autres . Les oiseaux-larmes chantent la beauté de notre être.
Lorsqu’une larme jaillit sur la joue , cueillez-la d’un doux baiser … Elle donnera à vos lèvres des paroles d’amour .
[/center]


Je viens de réaliser quelque chose.
La réalisation d'un rêve ce n'est pas seulement le rêve en lui-même.
Mais c'est aussi tout le chemin parcouru pour y arriver...
Un rêve se travaille longtemps.
Il est longtemps mûri.
Réfléchis. Appréhendé. Espéré.
Le chemin qu'on prends pour le réaliser, ce sont tous les petits pas qu'on fait au fil des jours, des mois et parfois des années.
Croire en ses rêves c'est une façon de les réaliser.
Y croire c'est aussi tout faire pour les voir se produire.
Y mettre le temps. Les forces.
Croire en ses rêves c'est leurs donner une chance de se réaliser.
Si on n'y croit pas réellement, ils n'ont alors été que de brèves chimères.
On ne leur aura même pas donner un souffle de vie, pour leur permettre d'avancer.
Quand un rêve se réalise, on constate que tous les petits pas comptaient, même les plus banals.
Et on les savoure.
Car c'est aussi ça, le rêve.
Rêver c'est se donner le droit de croire.
En la vie.
En les gens.
En soi.
En quelque chose qui pourrait se produire.
Qu'on souhaite voir arriver.
Avoir des rêves fait vivre.
Car ces rêves donnent un idéal à atteindre, un but à se fixer et de l'énergie pour y parvenir.
Rêver c'est sourire au futur.
Lui ouvrir une porte en lui disant: "Il y a une place pour toi.
Tu n'as qu'à entrer..."
avec toute mon amitié et mon affection ninou
La réalisation d'un rêve ce n'est pas seulement le rêve en lui-même.
Mais c'est aussi tout le chemin parcouru pour y arriver...
Un rêve se travaille longtemps.
Il est longtemps mûri.
Réfléchis. Appréhendé. Espéré.
Le chemin qu'on prends pour le réaliser, ce sont tous les petits pas qu'on fait au fil des jours, des mois et parfois des années.
Croire en ses rêves c'est une façon de les réaliser.
Y croire c'est aussi tout faire pour les voir se produire.
Y mettre le temps. Les forces.
Croire en ses rêves c'est leurs donner une chance de se réaliser.
Si on n'y croit pas réellement, ils n'ont alors été que de brèves chimères.
On ne leur aura même pas donner un souffle de vie, pour leur permettre d'avancer.
Quand un rêve se réalise, on constate que tous les petits pas comptaient, même les plus banals.
Et on les savoure.
Car c'est aussi ça, le rêve.
Rêver c'est se donner le droit de croire.
En la vie.
En les gens.
En soi.
En quelque chose qui pourrait se produire.
Qu'on souhaite voir arriver.
Avoir des rêves fait vivre.
Car ces rêves donnent un idéal à atteindre, un but à se fixer et de l'énergie pour y parvenir.
Rêver c'est sourire au futur.
Lui ouvrir une porte en lui disant: "Il y a une place pour toi.
Tu n'as qu'à entrer..."
avec toute mon amitié et mon affection ninou
Je viens de réaliser quelque chose.
La réalisation d'un rêve ce n'est pas seulement le rêve en lui-même.
Mais c'est aussi tout le chemin parcouru pour y arriver...
Un rêve se travaille longtemps.
Il est longtemps mûri.
Réfléchis. Appréhendé. Espéré.
Le chemin qu'on prends pour le réaliser, ce sont tous les petits pas qu'on fait au fil des jours, des mois et parfois des années.
Croire en ses rêves c'est une façon de les réaliser.
Y croire c'est aussi tout faire pour les voir se produire.
Y mettre le temps. Les forces.
Croire en ses rêves c'est leurs donner une chance de se réaliser.
Si on n'y croit pas réellement, ils n'ont alors été que de brèves chimères.
On ne leur aura même pas donner un souffle de vie, pour leur permettre d'avancer.
Quand un rêve se réalise, on constate que tous les petits pas comptaient, même les plus banals.
Et on les savoure.
Car c'est aussi ça, le rêve.
Rêver c'est se donner le droit de croire.
En la vie.
En les gens.
En soi.
En quelque chose qui pourrait se produire.
Qu'on souhaite voir arriver.
Avoir des rêves fait vivre.
Car ces rêves donnent un idéal à atteindre, un but à se fixer et de l'énergie pour y parvenir.
Rêver c'est sourire au futur.
Lui ouvrir une porte en lui disant: "Il y a une place pour toi.
Tu n'as qu'à entrer..."
avec toute mon amitié et mon affection ninou
La réalisation d'un rêve ce n'est pas seulement le rêve en lui-même.
Mais c'est aussi tout le chemin parcouru pour y arriver...
Un rêve se travaille longtemps.
Il est longtemps mûri.
Réfléchis. Appréhendé. Espéré.
Le chemin qu'on prends pour le réaliser, ce sont tous les petits pas qu'on fait au fil des jours, des mois et parfois des années.
Croire en ses rêves c'est une façon de les réaliser.
Y croire c'est aussi tout faire pour les voir se produire.
Y mettre le temps. Les forces.
Croire en ses rêves c'est leurs donner une chance de se réaliser.
Si on n'y croit pas réellement, ils n'ont alors été que de brèves chimères.
On ne leur aura même pas donner un souffle de vie, pour leur permettre d'avancer.
Quand un rêve se réalise, on constate que tous les petits pas comptaient, même les plus banals.
Et on les savoure.
Car c'est aussi ça, le rêve.
Rêver c'est se donner le droit de croire.
En la vie.
En les gens.
En soi.
En quelque chose qui pourrait se produire.
Qu'on souhaite voir arriver.
Avoir des rêves fait vivre.
Car ces rêves donnent un idéal à atteindre, un but à se fixer et de l'énergie pour y parvenir.
Rêver c'est sourire au futur.
Lui ouvrir une porte en lui disant: "Il y a une place pour toi.
Tu n'as qu'à entrer..."
avec toute mon amitié et mon affection ninou



La nuit porte conseil. Eh bien non je ne suis pas le maillon faible.
Des indispensables y'en a plein, mais plein sur terre. et en général ces personnes là ont besoin de larbins.
Eh bien non là encore. J'ai été embauchée pour effectuer un boulot et je remplirais mes fonctions. Maintenant qu'une collègue préfère se plaindre d'avoir un retard monstre, ne pas m'informer sur les éléments essentiels d'un travail que j'ai à fournir et ce de peur que je lui pique le boulot, alors là !!!!!!!!! c'est son problème. Qu'elle se noye si elle veut c'est son problème et dans ce cas je refuse d'être le ""larbin"". Quand j'effectueuntravail, je remplis ma tâche de A à Z et n'ai pas besoin d'un ""Objet"" pour indiquer une adresse sur une enveloppe ou coller un timbre en ayant l'impression de lui avoir confié un travail énorme.
Si préférer me voir sans travail à attendre que les heures tournent et pleurer qu'elle se noye. C'est son problème.
Je ne viens pas ici pour régler mes problèmes de job. Mais ce genre de comportement est tellement courant, malheureusement, que ça me gonfle.
Je viens plus crier ma colère devant la stupidité, le comportement de gamin de personnes dites Adultes. Une fois de plus c'est se retrouver devant un mur qui n'a ni d'yeux ni d'oreilles.

Que de gens stupides sur terre !!!!!!!! alors que l'entraide est nettement plus bénéfique. Non je ne comprends pas ce monde de fous.
Dans quel monde suis-je ??????????
Est-ce moi qui suit détraquée ou le monde est ainsi !!!!!!!!!!!!!!!!!
Mais quand ces personnes vont elles se réveiller, se regarder et se rendre compte de leur stupidité ?????
Le travail que je dois en principe remplir me plait énormément. Et cette fois-ci je ne fuirais pas ce boulot. Je refuse de tourner les talons et de me faire croquer, ni de servir d'objet.
Ce n'est pas un rapport de force, c'est juste, comme d'habitude, pouvoir occupée une place qui m'a été octroyée et à laquelle j'ai droit.
Je file au boulot.
Bonne journée.
Le sourire est revenue.


Merci Ninou, je n'en dis pas plus, on se comprend.

Vivalavie
Très mal dormi - Réveillée à 3 h - Ai fini par écouter de la musique (3fois le CD) 

Place non évidente : Embauchée pour remplacer une personne qui n'est pas encore partie. Donc ............... Mais dans un sens je n'y peux rien sur cette embauche, mais position pas top, place pas évidente............... place à trouver................... Tantôt acceptée, tantôt encombrante.........

Il me faut absolument retrouver cet équilibre

et ne surtout pas retourner dans la bulle

Comme celle-ci est fine et se trouve sur un fond gai, elle éclatera facilement.
Il me faut retrouver ces petits bonheurs qui remplissent de joie et qui amènent le sourire.

En plus, un rêve révélateur sur un autre sujet - L'inconscient parle................ et me conforte dans ce que j'ai entrepris.
Vivalavie


Place non évidente : Embauchée pour remplacer une personne qui n'est pas encore partie. Donc ............... Mais dans un sens je n'y peux rien sur cette embauche, mais position pas top, place pas évidente............... place à trouver................... Tantôt acceptée, tantôt encombrante.........

Il me faut absolument retrouver cet équilibre

et ne surtout pas retourner dans la bulle

Comme celle-ci est fine et se trouve sur un fond gai, elle éclatera facilement.
Il me faut retrouver ces petits bonheurs qui remplissent de joie et qui amènent le sourire.

En plus, un rêve révélateur sur un autre sujet - L'inconscient parle................ et me conforte dans ce que j'ai entrepris.
Vivalavie
Connaissez-vous ce livre ou le film - je l'ai découvert au début de ma thérapie. Que la vie serait belle ""SI""il était possible de faire un copier-coller de la fin de cette histoire dans la mienne. Mais............ avec les SI on referait beaucoup de choses....................
Jonathan Livingston le goéland de Richard Bach
Ce livre a été écrit par un ancien pilote de l'U.S. Air force, Richard Bach qui est l'arrière, arrière petit fils du grand compositeur, J.S. Bach. Il a dit qu'il y a toujours dans la vie d'un pilote un écrivain, dans la solitude du ciel, un instant parfait où il rencontre une certaine forme divine et géniale de l'inspiration, raison pour laquelle il a écrit ce petit livre en 1970.
Il utilise dans cette oeuvre un langage très facile, accessible et universel, car quelle que soit la philosophie, la race ou la religion du lecteur, il peut suivre le fil de son histoire, la comprendre et l'aimer.
L'auteur nous décrit la vie d'un petit goéland des plus ordinaires du monde qui veut apprendre à voler mieux que ses pairs, mais ses parents l'incitent à se comporter comme tout un bon goéland qui ne vole que pour manger et qui se bat contre les autres uniquement pour une tête de poisson que les grands bateaux jètent dans les océans. Mais pour ce goéland cependant, l'important n'est pas de manger, mais de voler. Ce besoin irrésistible de savoir ce qui est possible et ce qui ne l'est pas, l'amène, après de longs et douloureux efforts, à dépasser les limites. cellesde ses congénères, qui ne vivent que pour se nourrir.
Vu qu'il ne veut pas vivre toute sa vie comme ses pairs, les goélands s'assemblent en grand conseil et ils accusent Jonathan de sa totale absence du sens des responsabilités. Alors il a été exilé et condamné à mener une vie solitaire. Cependant, c'est là-bas au-delà des falaises où il découvre non seulement la bonté et l'amour des amis, mais aussi comment dominer ses peurs et connaître ses limites. De cette manière, il commence à apprendre aux oiseaux comment voler et leur montrer une façon différente de voir la vie. Son but est de faire voir à ses congénères que le paradis se trouve en chacun de nous et qu'on peut l'obtenir en atteignant la perfection dans ce qu'on aime.
Par la suite, il retourne vers la comunauté d'où il a été exilé avec tous ses amis qu'il a rencontrés et il revient pour éveiller la communauté et monter à ses congenères qu'il y a autre chose dans la vie qui peut nous réaliser. Le grand conseil ordonne alors aux goélands de ne pas faire attention aux éxilés, car ils seront éxilés aussi. Malgré les ordres du Maître, ils ne peuvent pas s'abstenir de voir comment les goélands exilés arrivent à voler si bien et avec une telle perfection.
Alors Jonathan Livingston le Goéland réussit à convaicre tout la communauté de voler et il laisse à un de ses amis la mission de montrer aux oiseaux la grande aventure du vol. Finalement, Jonathan est heureux et il s'envole pour continuer sa vie dans les cieux.
Le message de ce livre nous dit que l'homme peut se libérer des barrières qui le limitent, elles ne sont qu'illusions.
Jonathan Livingston le goéland de Richard Bach
Ce livre a été écrit par un ancien pilote de l'U.S. Air force, Richard Bach qui est l'arrière, arrière petit fils du grand compositeur, J.S. Bach. Il a dit qu'il y a toujours dans la vie d'un pilote un écrivain, dans la solitude du ciel, un instant parfait où il rencontre une certaine forme divine et géniale de l'inspiration, raison pour laquelle il a écrit ce petit livre en 1970.
Il utilise dans cette oeuvre un langage très facile, accessible et universel, car quelle que soit la philosophie, la race ou la religion du lecteur, il peut suivre le fil de son histoire, la comprendre et l'aimer.
L'auteur nous décrit la vie d'un petit goéland des plus ordinaires du monde qui veut apprendre à voler mieux que ses pairs, mais ses parents l'incitent à se comporter comme tout un bon goéland qui ne vole que pour manger et qui se bat contre les autres uniquement pour une tête de poisson que les grands bateaux jètent dans les océans. Mais pour ce goéland cependant, l'important n'est pas de manger, mais de voler. Ce besoin irrésistible de savoir ce qui est possible et ce qui ne l'est pas, l'amène, après de longs et douloureux efforts, à dépasser les limites. cellesde ses congénères, qui ne vivent que pour se nourrir.
Vu qu'il ne veut pas vivre toute sa vie comme ses pairs, les goélands s'assemblent en grand conseil et ils accusent Jonathan de sa totale absence du sens des responsabilités. Alors il a été exilé et condamné à mener une vie solitaire. Cependant, c'est là-bas au-delà des falaises où il découvre non seulement la bonté et l'amour des amis, mais aussi comment dominer ses peurs et connaître ses limites. De cette manière, il commence à apprendre aux oiseaux comment voler et leur montrer une façon différente de voir la vie. Son but est de faire voir à ses congénères que le paradis se trouve en chacun de nous et qu'on peut l'obtenir en atteignant la perfection dans ce qu'on aime.
Par la suite, il retourne vers la comunauté d'où il a été exilé avec tous ses amis qu'il a rencontrés et il revient pour éveiller la communauté et monter à ses congenères qu'il y a autre chose dans la vie qui peut nous réaliser. Le grand conseil ordonne alors aux goélands de ne pas faire attention aux éxilés, car ils seront éxilés aussi. Malgré les ordres du Maître, ils ne peuvent pas s'abstenir de voir comment les goélands exilés arrivent à voler si bien et avec une telle perfection.
Alors Jonathan Livingston le Goéland réussit à convaicre tout la communauté de voler et il laisse à un de ses amis la mission de montrer aux oiseaux la grande aventure du vol. Finalement, Jonathan est heureux et il s'envole pour continuer sa vie dans les cieux.
Le message de ce livre nous dit que l'homme peut se libérer des barrières qui le limitent, elles ne sont qu'illusions.
A méditer :
[center]Ce n'est ni en pleurant, ni en s'affligeant que s'obtient la paix de l'esprit.
En l'affligé, au contraire, la douleur s'accroîtra et la souffrance étreindra son corps.
Il deviendra amaigri et pâle, se torturant lui-même, mais les disparus qu'il regrette ne reviendront pas.
Vaines et sans utilités sont ses lamentations.
Celui qui cherche son bonheur doit arracher lui-même la flèche
de ses lamentations, de ses plaintes, de ses chagrins.[/center]
Buddha
[center]Ce n'est ni en pleurant, ni en s'affligeant que s'obtient la paix de l'esprit.
En l'affligé, au contraire, la douleur s'accroîtra et la souffrance étreindra son corps.
Il deviendra amaigri et pâle, se torturant lui-même, mais les disparus qu'il regrette ne reviendront pas.
Vaines et sans utilités sont ses lamentations.
Celui qui cherche son bonheur doit arracher lui-même la flèche
de ses lamentations, de ses plaintes, de ses chagrins.[/center]
Buddha
- vera
- Enfinien aguerri
- Messages : 764
- Enregistré le : 10 déc. 2004, 01:00
- Localisation : au-delà du mal-a-dit
- Contact :
Il nous montre aussi qu'on ne peut reveiller et faire changer les gens malgré eux. J'adore Richard Bach dont j'ai lu presque tous les livres dont Un pont sur l'Infini (sa biographie), Le messie récalcitrant et je viens de tomber sur un livre d'occasion que je ne connaissait pas intitulé Les chroniques des Furets.vivalavie a écrit : Le message de ce livre nous dit que l'homme peut se libérer des barrières qui le limitent, elles ne sont qu'illusions

La nuit a été plus que courte........... Mais le moral est bon........ Et reste

C'est réveil nocturne ne sont plus comme dans le passé des réveils des angoisses de la journée. Par contre, j'ai l'impression d'avoir faim. Mais il est hors de question de commencer à me nourrir la nuit. Peut être que mon corps n'en a pas assez la journée !!!!!!!!!!!!
Bonne journée
Vivalavie