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t'as un coeur en or ma choupette
perdre du temps inutilement c'est vrai que des fois c'est dommage mais encore faut il savoir de quoi le temsp est fait pour ne pas le perdre, ce qu'onfait sur le chmein du temps, à quel point sommes nous, je parle au pluriel mais c'est plutôt savoir à quel point je me trouve dans l'espace temps, un présent passé ou un passé présent? le temps est mal et à la fois chance mais l'un a plus d'impact que l'aure, tjs le mal en première place...
merci choupette pour tes réponses qui tentent de me faire aller mieux,mais tout s'écroule sout s'emiète,ça deviend des grains de poissuières mal balayés...
Ma choupette
je ne sais pas si la psy peut me prendre avant, mais je peux bien attendre jeudi c'est dans deux jours ça va aller, petite question d'habitude c'est tout.
je t'embrasse avec tout pleinde zoubinours ma choupette
Vu l'image, ça n'a pas l'air d'aller mieux. C'est normal d'avoir des passages à vides, mais quand c'est trop fréquent et qu'ils sont très très vides, c'est dur à affronter. En tous cas, saches que ce n'est pas irémédiable, même si ça te paraît être un état définitif. Gardes espoir et la vie et la gaieté reprendrons le dessus. j'espère que tu vois encore un psy, prace que ça peut quand même t'aider à aller mieux.
Je t'envoie plein de pensées affectueuses, remplies de bisous.
nouvelle journée mais toujours le même mal de vivre...
en sortant de la clinque je devais faire plein de choses, j'en ressentais le besoin, aujourd'hui c'est dans l'inactivité que je me sens bien, dans un fauteuil à attendre que le temps passe, laisser mes pensées aller où elles veulent sans rien faire du tout... mes antidépresseurs ne me font plus rien, je me suis habituée au traitement et j'ai même l'impression qu'ils font l'effet inverse, je sens que tout mmon corps se vide de larmes à l'intérieur, je suis mal, je ne désire plus rien, je ne veux plus rien faire, tout me semble futil, inutile, je veux sentir le vide en moi et fermer les yeux pour être soulagée de ce monde extérieur qui me fait mal...
j'espère que vous aller passer une meilleur journée que moi
gros zoubinours
La vie... bonheur... tourment...
Qu'est-ce la vie maintenant ?
Des moments heureux, des moments blessants,
Mais comment réussir une vie pleinement ?
Faire semblant que tout va bien,
Tendre aux autres ma main...
Alors que tout est malheur en moi...
Et personne ne se doute de cela...
Je dois être forte devant mes amis,
Mais quand arrive la nuit,
Mes blessures reviennent,
Et je tombe dans une grande peine...
Mais cela, qui le voit?
Je me le demande là...
Je me perds dans un tourbillon de sentiments,
De détresse, de malheur et de tourments...
Je suis dans le désespoir...
Je suis une femme du noir...
Ô esprit, efface toutes ces pensées,
Qui font de mon âme un tourbillon,
Tourbillon de mots déchaînés,
Comme un volcan en irruption.
Je rêve d'un esprit libéré,
D'une âme moins tourmentée...
Je rêve de retrouver
Le bien-être, le joie et la gaieté...
Ne plus me cacher sous un sourire...
Ne plus faire semblant...
Ne plus avoir envie de partir...
Vouloir vivre pleinement...
Que je ferme les yeux et m'en aille à jamais...
Que Dieu m'attire vers le ciel désormais...
Mon corps et mon âme sont trop meurtris,
Pour cause de tous ces petits et mauvais esprits,
Qui m'entourent dans ma vie chaque jour,
Qui s'amusent à me blesser pour toujours...
Je veux m'évader, je veux partir,
Fuir cette terre de feu qui me fait souffrir...
Petite sœur de la douleur, tu es la mère de ces larmes qui jaillissent en silence. Je voudrais que tu me laisses me reposer, tu me fatigues tellement... Je t'en prie, n'empêche plus mes paupières de se fermer, n'habite plus ces poèmes où tu macules mes mots de tes veines grandes ouvertes. Chère, très chère Souffrance, ne contrôle plus mes mains, j'ai les yeux imbibés de toi... imbibés... tout mon moi est toi... Tu es moi, Petite Souffrance qui court dans la forêt mauve, je t'ai vu dans mon rêve. Petite Souffrance, dis-moi tes secrets, raconte-moi comment tu fais pour te percher sur les épaules déjà courbées... Petite Petite Souffrance tu deviens grande souvent dans mes entrailles. Chère Souffrance, tu me ronges. Chère Souffrance, tu me forces, tu obliges les mots à venir rompre le silence que nous consommions en secret. Ma Souffrance je te hais. Ma Souffrance j'ai besoin de toi.
Très Chère Souffrance tu m'aimes trop. Tu m'aimes trop...
raison ou tord de rester dans mon silence ? pas d'importance. mes posts restent souvent sans réponses alors je préfère rester seule avec ma meilleure ennemie, la vie... j'airai une dernière fois ce soir libéré les quelques maux de mon intérieur, je préfère vous dire aurevoir, combien de temps je ne sais pas, je ne sais pas quoi dire je ne sais pas quoi faire et cela m'indiffère complètement. on ne peut pas rester spectateur de la vie éternellement mais que peut on faire quand on ne peut pas être acteur, quel est le deuxième choix si 'il y en a un autre. je me sens partir, dériver sur une barque qui prend l'eau, qui erre dans le brouillard froid et humide, la nuit quand tout est calme, quand tout semble paisible, mais mes souffrances y sont plus intenses, elles ne sont qu'à moi je ne les partagerai pas...si ce soir je m'endormais pour ne pas me réveiller serait ce la liberté ? les larmes qui étaient devenues si sêches me brûlent aujourd'hui les yeux et coulent à flot. j'avais fais une promesse à mes parents, à ma famille, vais je la rompre ? m'en voudra-t-on ? ne suis je pas maître de mes actes ? partir la tête haute n'est ce pas ça l'essentiel...elle est devant moi toute noir, elle me tourne le dos, elle conduit la barque mais je ne sais pas où, rien ne dépasse de sa cape, ni mains ni pieds ni tête, aucune chaleur ne s'enfuit à ses côtés elle est froide et me glace les joues.
j'ai l'impression d'écrire pour rien, je tape sur mon clavier sans aucun fil conducteur mais ça me fait du bien, personne n'est obligé de continuer à lire, j'écris pour moi, pour elle en attendant de décider quand sera venu le moment où je pourrai la suivre où je pourrai lui attraper la main . Est ce qu'elle se sert de sa faux pour couper nos fils, comment si prend t elle, comment décide t elle? au bout du compte c'est elle la grande gagnate du jeu, nous ne sommes que ses pions...l'obscurité même elle est plus forte que tout, il y fait noir, même à la lumière je suis dans le noir, plus de sourire plus de joie plus d'envie, plus rien, je veux juste la paix, le silenceaurevoir la souffrance...
lilou as tu oublié le déclic que tu as eu lors de ta deuxième hospi à la clinique,le fait d'être enfermée,surveillée coupée de tout te faisait réaliser le prix de la vie de la liberté ,de tout les projets que tu as encore à faire
J'ai réfléchi à ce que je pourrai bien t'écrire, aux mots qui te réchaufferaient le coeur mais je n'ai pas trouvé. En réalité, je me sens terriblement coupable de ton état. J'ai fait naître un sentiment qui n'avait pas lieu d'être et te voilà perdue, souffrant du sentiment d'abandon, de la solitude, etc...
Je ne voulais pas ça, je te le promet.
Lilou a écrit :raison ou tord de rester dans mon silence ?
A mon humble avis, ni l'un ni l'autre Lilou , ici, chacun respecte le fait que tu n'aies pas envie de partager.
Essaie juste de continuer à t'exprimer quand tu en ressens le besoin , pour toi-même , pas pour le forum.
Non maintenant j'en ai marre archi marre
je ne veux plus reter en spectratice qui regarde toute cette merde sans savoir quoi faire
ca a
oui
mon cul oui
je ne veux plus venir espionnez tous ces poemes plus sombres les uns que les autres qui disent tout sur son état d'esprit qui un jour diront la fin
non je ne veux plus
je vais exploser je ne sais comment
magie vaudou magie noire hypnose lavage de cerveau
j'en sais rien mais je ne veux plus rester sans rien faire
tu me diras j'en ai dejà fait beaucoup et ben NON j'ai rien fait la preuve
de nouveau le mur s'élève entre nous oui c'est vrai tu me parles mieux qu'avant :j'ai pas faim.... tu mespionne quand je sors de la cuisine
alors au lieu de pleurer toutes les larmes de mon coprs comme une andouille je vais prendre le taureau par les cornes, je ne pas sais comment, mais je suis tenace je vais trouver
je ne veux plus que tu te détruise à ce point
tu es si belle, si sensilbe, si forte si tétue
je ne veux pas te perdre ded nouveau
Merci pour votre envoi de courage mais il s'est perdu en chemin...
la journée a été dure, très dure, j'ai essayée de me noyer dans le boulot, j'ai même fais du rab ce soir mais rien n'y a fait. crise de larmes en pleine matinée... je suis à l'entrée du plateau je vois donc tout le monde passer devant mon bureau, c'est un déchirement d' voir ma maman passer à chaque fois le visage meurtri par la souffrance morale. D'où je suis je l'entends tout le temps crier qu'elle fait tout de travers, qu'elle est bonne à rien, qu'elle rate tout...comment en est on arrivées là ??? Elle aussi a pleuré en pleine après midi, elle est tellement fatiguée, semble épuiser de vivre. Elle est toujours au travail à cette heure ci, il semblerait qu'elle cherche à éviter la cellule familiale...Elle maigri à vue d'oeil, ne mange plus rien et commence à faire comme moi... se brûler, mais tout ça ne me que culpabiliser encore et encore... si j'avais dis oui il y a deux ans... la vie serait différente aujourd'hui, mais aujourd'hui j'ai plus la force et je me déteste de voir ma mère se détruire à cause de moi...
Ce soir je devais aller entraîner mes filles, j'ai annulé, j'ai pas la force de voir tout ce monde dans le gymnase, de devoir transmettre mon semblant de savoir gymnique aux autres, comme si j'étais quelqu'un d'indispensable !!! ppfff
désolée je ne peux pas vous demander de vous battre, ce serait me moquer de vous puisque je ne le fais pas mais je voudrai pourtant le contraire.
c'est dur de voir son visage, toujours autant fatigué de plus en plus, hier soir elle a encore pleuré, je veux l'aider mais comment, en guérissant ? en aimant la vie ? la vie je ne l'aime pas mais peut être qu'une fois guérie je l'aimerai et pourtant guérir est plus dur qu'aimer la vie.j'arrive pas à la prendre dans mes bras, pourquoi c'est stupide, elle en aurait tellement besoin, il faut que je me force pour elle.
sinon je vous souhaite une bonne journée à tous
gros zoubinours et courage à tous
je ne veux pas que tu te rendes encore plus malade à cause de moi tu n'es pas en cause dans ma dépression
c'est un tout, ma vie ton père, mes parents,
je traverse une très mauvaise période, mais je sais qu'il y aura des périodes ou nous rigolerons encore comme des sauvages
en ce moment je me schoote pour ne pas pleurer mais cela ne va pas durer éternelleme
demande à Franck pour le F2 mais pour la bonne cause comme jete l'ai déjà dit sinon ce n'est pas la peine.
si tu souris je souris si tu vis je vis
je ne VEUX pas que tu te fasses du souci pour moi c'est à moi de m'en faire pour toi
ne CULPABILISE pas à cause de moi TU N Y ES POUR RIEN
je t'aime de tout mon être et c'est justement cet amour qui fout tout en l'air les autres ont peut etre raison, je suis trop rempli d'amour pour mes filles
Fin de journée horrible, affreuse, dégoutante, en un mot, pardonnez moi l'espression mais à gerber. Comprendront ceux qui pourront...en gros... trois boulang non quatre ! ....................
séance psy, c'était épuisant surtout après mes escales juste avant... un nouveau point jamais vu de cette façon même à la clinique :
-je ne mange pas = je suis heureuse de vivre et je m'aime et aime la vie
-je mange, non je fais des crises = je suis malheureuse, je me déteste et haie la vie
autrement dit je mange pour mourir, pour ne pas être heureuse... enfin ça vient pas de moi mais d'elle...j'aurai bien parlé d'autre chose mais il y a quand même des yeux familiers qui traînent ici (bisous maman)
à part ça mardi prochain on commence une thérapie familiale, gloups, je sens la cata
là je vais me coucher parce que pas bien du tout...
T'es sure que ca va aller ??? La psy, ça serait pas une bonne idée ?
). Do you remember ?
