laurence a écrit :
Puis ne pas nous interroger sur l'envie qu'on a de prendre soin de nous (au fond on connait la réponse pas forcément positive)
Je pense qu'au contraire, la question est là. D'ailleurs, c'est drôle, c'est la question que m'a posé le psy de "là bas" quand je l'ai eu au tel. "avez vous envie de prendre soin de vous?". C'est vrai que ça peut paraitre simpliste comme question, et en même temps tout est là: parceque pour nous, en tous cas pour moi, en ce moment précis, il est grand temps de choisir si je continue l'autodestruction massive parceq ue je continue bêtement à tenter de répondre au demandes et au désir de mes parents, ou si JE me fais passer
avant. Je choisis de me respecter. Je ne peux pas les aider, ils demandent de l'aide, mais ne l'acceptent pas. Et moi comme une idiote qui fait pareil au fond, des fois que je n'ai pas le droit, moi, de vivre. Bref, "prendre soin de soi", c'est accepter l'aide, et décider de sauver sa peau.
Pfff, je suis pô très clair, mais ds ma tête ça commence à réellement prendre forme. Comme quoi une phrase... si elle est dite au bon moment et avec le ton qu'il faut, ça peut vraiment aider.
Je t'embrasse Lau, affectueusement
Angee, tu ne me déranges pas! Au contraire, je suis toujours ravie de t'avoir au tel, alors n'hésite pas ma belle. Je voulais t'appeler, moi, mais vu mon hors forfait...

, c'est du n'importe quoi, là. Désolée
Angel, j'ai rêvé de toi cette nuit! J'étais la baby sitter d'éthan, et nous étions chez toi, dans une petite maison. C'est flou, je ne me rapelle que rarement de mes rêves, et jamais des détails, mais en tous cas, je pense à toi... même la nuit!
Tiens bon!
