Bonjour à toutes et à tous.
Tout d'abord, désolé d'avance pour l'inexactitude sur certains termes, c'est la première fois que je poste sur ce forum.
Je pense que mon histoire est malheureusement classique mais j'avais besoin de m'exprimer et, pourquoi pas, recueillir quelques conseils.
Je vis en couple depuis 5 ans, avec un enfant. Mon épouse est boulimique-vomisseuse et a des crises qui se sont intensifiées depuis quelques mois. Elle a subi des traumatismes très graves dans son enfance et ne s'est jamais faite suivre par quelqu'un. J'ai toujours essayé de la supporter, d'être présent sans être envahissant, de l'inciter à aller voir un spécialiste, sachant que lui-seul pourrait soulager ses maux, mais en vain. Depuis 2 mois, elle remet en jeu notre couple, dit ne plus trop savoir où elle en est, m'assure qu'elle m'aime mais ne sait pas si cet amour est suffisant pour continuer. Elle est persuadée que ses crises viennent du malaise du couple. Mais il est difficile de faire la part des choses entre les conséquences d'un mal-être général, de la maladie ou du couple. Aujourd'hui, je ne sais plus vraiment si je dois rester pour l'aider, me battre pour sauver notre couple, ou me protéger en anticipant une rupture. Pourtant, je l'aime. Mais j'ai l'impression que cela ne suffit pas.
Merci d'avoir pris le temps de lire ces quelques lignes...
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avez vous essayé de saisir cette occasion pour lui proposer d'aller ensemble voir un thérapeuthe pour une "thérapie" de coupe
puisqu'aujourd'hui elle dit que le problème se situe dans votre couple, qu'elle vous aime mais ne sais plus où elle en est, vous pourriez lui dire que vous voulez sauver votre union et que pour cela vous voudriez faire avec elle cette démarche
ce n'est plus pour qu'elle se remette en cause mais pour que vous vous compreniez mieux, et peut-ête ainsi acceptera -t-elle de faire de franchir le pas, ensuite avec un intermédiaire vos pourrez nouer un nouveau dialogue et forcement les problèmes individuels, parce qu'ils interfères dans le couple, seront mis en lumière
de plus vous ne serez plus seul à gerer cette situation
se serait une belle démarche,
où l'amour serait le moteur
si elle refuse, ne restez pas seul avec ce poids, cherchez un groupe de parole, quelqu'un qui puisse vous conseiller (pourquoi pas un thérapeuthe même si vous y allez seul)
puisqu'aujourd'hui elle dit que le problème se situe dans votre couple, qu'elle vous aime mais ne sais plus où elle en est, vous pourriez lui dire que vous voulez sauver votre union et que pour cela vous voudriez faire avec elle cette démarche
ce n'est plus pour qu'elle se remette en cause mais pour que vous vous compreniez mieux, et peut-ête ainsi acceptera -t-elle de faire de franchir le pas, ensuite avec un intermédiaire vos pourrez nouer un nouveau dialogue et forcement les problèmes individuels, parce qu'ils interfères dans le couple, seront mis en lumière
de plus vous ne serez plus seul à gerer cette situation
se serait une belle démarche,
où l'amour serait le moteur
si elle refuse, ne restez pas seul avec ce poids, cherchez un groupe de parole, quelqu'un qui puisse vous conseiller (pourquoi pas un thérapeuthe même si vous y allez seul)
Merci de votre réponse.
Effectivement, j'ai pensé à une thérapie de couple. Mais pour l'instant, elle ne veut entendre parler ni de ça ni de thérapie personnelle.
Ce qui est difficile à vivre, ce sont les hauts (très rares) et les bas (de plus en plus fréquents), les passages de messages d'amour enflammés à des remises en question.
Je sens aujourd'hui que je commence à perdre pied. Vous avez raison. Même si je ne connais pas du tout ce milieu, il va falloir que je songe à consulter, même seul...
Effectivement, j'ai pensé à une thérapie de couple. Mais pour l'instant, elle ne veut entendre parler ni de ça ni de thérapie personnelle.
Ce qui est difficile à vivre, ce sont les hauts (très rares) et les bas (de plus en plus fréquents), les passages de messages d'amour enflammés à des remises en question.
Je sens aujourd'hui que je commence à perdre pied. Vous avez raison. Même si je ne connais pas du tout ce milieu, il va falloir que je songe à consulter, même seul...
bonjour pascal déjà je trouve courageux de votre par tous ce que vous faite
je suis mariée et savoir trouver ca place dans le couple est difficile quand la maladie est au milieux comme un enfant capricieux de tous
la psychothérapie aide bcp a avancer mais elle ne fait pas des miracle croyez moi jai aussi un vécu assez lourd et chaque fois que je parle a ma psy d'un de ces moment ça réveille en moi des douleur que j'avais mise de coté pendant temps d'année et étant autodestructrice je veut pas vous alarmer et bien je me fait plus de mal d'avoir mal
donc c'est a double tranchant mais une bonne thérapie suivie c'est quand même bien mais si elle ne se sens pas prête la forcer serais la bloqué et la elle remettrais encore plus les tors sur vous enfin je pense je ne sais quelle solution vous proposer mais ne lâche pas bon courage bien a vous ninou
je suis mariée et savoir trouver ca place dans le couple est difficile quand la maladie est au milieux comme un enfant capricieux de tous
la psychothérapie aide bcp a avancer mais elle ne fait pas des miracle croyez moi jai aussi un vécu assez lourd et chaque fois que je parle a ma psy d'un de ces moment ça réveille en moi des douleur que j'avais mise de coté pendant temps d'année et étant autodestructrice je veut pas vous alarmer et bien je me fait plus de mal d'avoir mal
donc c'est a double tranchant mais une bonne thérapie suivie c'est quand même bien mais si elle ne se sens pas prête la forcer serais la bloqué et la elle remettrais encore plus les tors sur vous enfin je pense je ne sais quelle solution vous proposer mais ne lâche pas bon courage bien a vous ninou
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margauxsixtine
- Petit enfinien
- Messages : 5
- Enregistré le : 05 janv. 2009, 01:00
Bonsoir Pascal
Je suis toute nouvelle sur le forum et je me permets juste de préciser quelquechose et d'ailleurs je ne vais pas être originale... cela fait maintenant bientôt un an que ma famille proche me conseille d'aller voir un psy ayant perçu que j'avais des pb alimentaires. Cela fait 5 ans que mon conjoint me conseille d'aller consulter car j'ai un passé aussi douloureux.
Il a falu que mon corps lui-même tire la sonnette d'alarme et que j'en sente le besoin pour aller voir un psy !
Alors ne cesse pas de lui montrer que tu es là et effectivement tu peux faire la démarche de ton côté en lui disant que ce n'est pas facile justement d'être toujours un bon soutien et que tu sens le besoin d'en parler à quelqu'un de neutre pour te donner un peu de force. Peut-être le déclic viendra
Amicalement
Chris
Je suis toute nouvelle sur le forum et je me permets juste de préciser quelquechose et d'ailleurs je ne vais pas être originale... cela fait maintenant bientôt un an que ma famille proche me conseille d'aller voir un psy ayant perçu que j'avais des pb alimentaires. Cela fait 5 ans que mon conjoint me conseille d'aller consulter car j'ai un passé aussi douloureux.
Il a falu que mon corps lui-même tire la sonnette d'alarme et que j'en sente le besoin pour aller voir un psy !
Alors ne cesse pas de lui montrer que tu es là et effectivement tu peux faire la démarche de ton côté en lui disant que ce n'est pas facile justement d'être toujours un bon soutien et que tu sens le besoin d'en parler à quelqu'un de neutre pour te donner un peu de force. Peut-être le déclic viendra
Amicalement
Chris
on ne peut pas forcer quelqu'un à consulter, la démarche est personnelle, et puis chacun suit son chemin, et l'aide peut-être de plusieurs types, ce n'est pas forcement un psy, un fauteuil et des mots
mais vivre auprés de quelqu'un qui souffre n'est pas facile
il faut aussi faire entendre son propre besoin de se protéger de tout ça et puis on est tellement démuni que trouver un soutient pour soi, pour mieux comprendre ce qui se passe, trouver peut être d'autres façons de réagir, sachant que les mêmes comportements conduisent aux mêmes résultats, parfois changer de "réponses" permet de faire de petites avancées
c'est un peu l'effet papillon, un petit changement chez l'un permet des changements inespérés
on refait les mêmes choses, on redit les mêmes mots, parce qu'on ne pense pas à agir autrement,
et puis quelqu'un vous éclaire, on change un petit truc, on modifie son regard et la relation peut évoluer
on n'a rien a perdre à essayer....
mais vivre auprés de quelqu'un qui souffre n'est pas facile
il faut aussi faire entendre son propre besoin de se protéger de tout ça et puis on est tellement démuni que trouver un soutient pour soi, pour mieux comprendre ce qui se passe, trouver peut être d'autres façons de réagir, sachant que les mêmes comportements conduisent aux mêmes résultats, parfois changer de "réponses" permet de faire de petites avancées
c'est un peu l'effet papillon, un petit changement chez l'un permet des changements inespérés
on refait les mêmes choses, on redit les mêmes mots, parce qu'on ne pense pas à agir autrement,
et puis quelqu'un vous éclaire, on change un petit truc, on modifie son regard et la relation peut évoluer
on n'a rien a perdre à essayer....
C'est effectivement dans ce sens là que je vais avoir besoin d'une aide.
En fait, ce qui est naturel pour moi, c'est à dire de la soutenir, de la rassurer tout le temps etc etc, ne paraît pas toujours être la bonne solution. Elle me reproche d'ailleurs quelques fois d'être "trop gentil". Mais même en le sachant, je ne parviens pas à trouver les mots qui pourraient la bousculer, ou provoquer en elle un changement. C'est ça qui n'est pas forcément facile. Puisque je pense également à notre couple (peut-être de façon égoïste, c'est vrai...). Les 2 ne sont pas toujours compatibles.
En fait, ce qui est naturel pour moi, c'est à dire de la soutenir, de la rassurer tout le temps etc etc, ne paraît pas toujours être la bonne solution. Elle me reproche d'ailleurs quelques fois d'être "trop gentil". Mais même en le sachant, je ne parviens pas à trouver les mots qui pourraient la bousculer, ou provoquer en elle un changement. C'est ça qui n'est pas forcément facile. Puisque je pense également à notre couple (peut-être de façon égoïste, c'est vrai...). Les 2 ne sont pas toujours compatibles.
parfois on devient compatissant, ou bien l'autre se sent assisté, ce n'est pas toujours une bonne chose
un truc que j'ai appliqué à mes relations c'est d'écouter mais de ne pas essayer de trouver de réponses, juste écouter et ne pas forcemment donner son avis
éviter de considérer la personne qui souffre comme quelqu'un de fragile, qui a besoin d'aide, elle a aussi sa force interieure
se dire que si elle a besoin d'amour ,c'est elle qui trouvera la force de s'en sortir et qu'on ne peut lui offrir de solution
avoir confiance en sa capacité à s'en sortir, cette confiance est contagieuse
qu'elle se sente aimer telle qu'elle est
accentuer tout ce qui peut être positif, se réjouir de tous les petits instants de bonheur, les cultiver
ne pas s'occuper de son comportement alimentaire(ça ne sert à rien sinon à avoir l'effet inverse), éventuellement se charger des courses, des repas, en respectant son désir de manger parfois plus léger, sans exagérations(la nourriture est une obscession et une souffrance)
lui demander matériellement ce qui lui faciliterait la vie(chose à faire, à ne pas faire)et s'y tenir, cela une fois pour toute , en décidant ensemble de quand vous en reparlerez pour faire le point ,de façon à ce que ça ne soit pas l'unique préoccupation(en parler quand c'est le moment et pas tout le temps)
voilà des petits trucs qui nous ont aidé
un truc que j'ai appliqué à mes relations c'est d'écouter mais de ne pas essayer de trouver de réponses, juste écouter et ne pas forcemment donner son avis
éviter de considérer la personne qui souffre comme quelqu'un de fragile, qui a besoin d'aide, elle a aussi sa force interieure
se dire que si elle a besoin d'amour ,c'est elle qui trouvera la force de s'en sortir et qu'on ne peut lui offrir de solution
avoir confiance en sa capacité à s'en sortir, cette confiance est contagieuse
qu'elle se sente aimer telle qu'elle est
accentuer tout ce qui peut être positif, se réjouir de tous les petits instants de bonheur, les cultiver
ne pas s'occuper de son comportement alimentaire(ça ne sert à rien sinon à avoir l'effet inverse), éventuellement se charger des courses, des repas, en respectant son désir de manger parfois plus léger, sans exagérations(la nourriture est une obscession et une souffrance)
lui demander matériellement ce qui lui faciliterait la vie(chose à faire, à ne pas faire)et s'y tenir, cela une fois pour toute , en décidant ensemble de quand vous en reparlerez pour faire le point ,de façon à ce que ça ne soit pas l'unique préoccupation(en parler quand c'est le moment et pas tout le temps)
voilà des petits trucs qui nous ont aidé
Merci pour ces quelques conseils que je vais essayer d'appliquer...
Je suis conscient d'être trop à son écoute (dans le sens de satisfaire beaucoup de ses caprices), d'être également trop dans l'attente de choses qu'elle ne peut (ou veut) pas me donner. Ce qui provoque un enfermement sur moi-même qui n'est pas compatible avec l'image que je devrais lui donner. Changer n'est pas toujours facile... ;o)
Je suis conscient d'être trop à son écoute (dans le sens de satisfaire beaucoup de ses caprices), d'être également trop dans l'attente de choses qu'elle ne peut (ou veut) pas me donner. Ce qui provoque un enfermement sur moi-même qui n'est pas compatible avec l'image que je devrais lui donner. Changer n'est pas toujours facile... ;o)
changer semble difficile
et puis on prend conscience d'une chose qui devient évidente: comment n'y avoir pas pensé avant ....tout s'éclaire et agir autrement devient naturel
si quelqu'un vous aide à changer de point de vue , quelqu'un de compétent qui sait vous expliquer pourquoi c'est important,comment tel gestepeut être mal interprété, vous trouver que ce n'est pas si dur et les choses évoluent autour de vous
être à l'écoute signifie juste écouter et montrer que l'on sait qu'elle ne va pas bien
mais il faut lui laisser la responsabilité de ses actes, et trouver ses solutions
il est difficile de penser à la fois" c'est la maladie qui gouverne "et "elle est responsable d'elle et de ses actes", pourtant les deux sont vrais
il y a des choses qu'elle ne peut pas assumer, mais elle c'est un être responsable, et vous ne pouvez pas tout accepter
établisser des règles avec elle, évaluer ensemble ses besoins et les votres et dans le respect l'un de l'autre vous pourrez avancer
s'il y a de l'amour et du respect de part et d'autre c'est possible
et puis on prend conscience d'une chose qui devient évidente: comment n'y avoir pas pensé avant ....tout s'éclaire et agir autrement devient naturel
si quelqu'un vous aide à changer de point de vue , quelqu'un de compétent qui sait vous expliquer pourquoi c'est important,comment tel gestepeut être mal interprété, vous trouver que ce n'est pas si dur et les choses évoluent autour de vous
être à l'écoute signifie juste écouter et montrer que l'on sait qu'elle ne va pas bien
mais il faut lui laisser la responsabilité de ses actes, et trouver ses solutions
il est difficile de penser à la fois" c'est la maladie qui gouverne "et "elle est responsable d'elle et de ses actes", pourtant les deux sont vrais
il y a des choses qu'elle ne peut pas assumer, mais elle c'est un être responsable, et vous ne pouvez pas tout accepter
établisser des règles avec elle, évaluer ensemble ses besoins et les votres et dans le respect l'un de l'autre vous pourrez avancer
s'il y a de l'amour et du respect de part et d'autre c'est possible
Merci beaucoup.
Ce qui ne manque pas (au moins) dans notre couple c'est la communication. Nous avons eu une longue discussion aujourd'hui. Elle était persuadée au début du dialogue que la cause de la fréquence importante de ses crises de boulimie était dûe à son mal être par rapport à notre couple. Et puis, en discutant elle m'a avoué ne pas être vraiment consciente de sa maladie.
Pour ma part, rendez-vous est pris chez un spécialiste. Je lui en ai parlé. Elle a paru étonné mais plutôt curieuse....
Ce qui ne manque pas (au moins) dans notre couple c'est la communication. Nous avons eu une longue discussion aujourd'hui. Elle était persuadée au début du dialogue que la cause de la fréquence importante de ses crises de boulimie était dûe à son mal être par rapport à notre couple. Et puis, en discutant elle m'a avoué ne pas être vraiment consciente de sa maladie.
Pour ma part, rendez-vous est pris chez un spécialiste. Je lui en ai parlé. Elle a paru étonné mais plutôt curieuse....
Bonjour Pascal,
Je suis quasiment dans la même situation que toi dans la mesure où ma compagne a remis en question notre couple il y a peu
Je suis maintenant convaincu que le problème central n'est pas le couple mais bien la maladie
Faire la démarche de consulter est à mon avis une très bonne chose pour toi et pour ton couple : cela te permettra à coup sur d'appréhender différemment sa maladie et donc de mieux comprendre ta femme
Peut-être que la communication sera alors plus facile...
Je pense également qu'il faut continuer à présent comme tu l'es aujourd'hui, et ainsi ne pas faire le jeu de la spirale auto-destructrice dans laquelle ta femme peut s'inscrire
Je sais que la situation n'est pas facile à vivre mais il ne faut pas baisser les bras
Je vous souhaite pleins de bonnes choses pour la suite
Je suis quasiment dans la même situation que toi dans la mesure où ma compagne a remis en question notre couple il y a peu
Je suis maintenant convaincu que le problème central n'est pas le couple mais bien la maladie
Faire la démarche de consulter est à mon avis une très bonne chose pour toi et pour ton couple : cela te permettra à coup sur d'appréhender différemment sa maladie et donc de mieux comprendre ta femme
Peut-être que la communication sera alors plus facile...
Je pense également qu'il faut continuer à présent comme tu l'es aujourd'hui, et ainsi ne pas faire le jeu de la spirale auto-destructrice dans laquelle ta femme peut s'inscrire
Je sais que la situation n'est pas facile à vivre mais il ne faut pas baisser les bras
Je vous souhaite pleins de bonnes choses pour la suite
Merci pour ces quelques mots.
La consultation m'a effectivement fait du bien même s'il y a eu finalement peu de réponses apportées, à peine quelques confirmations sur ce que je pensais déjà. La prise de conscience de la part de mon épouse semble être présente mais pour l'instant insuffisante pour franchir le pas.
Baisser les bras, j'en aurais envie quelques fois, bien sûr. Mais la volonté de s'en sortir est encore la plus forte.
La consultation m'a effectivement fait du bien même s'il y a eu finalement peu de réponses apportées, à peine quelques confirmations sur ce que je pensais déjà. La prise de conscience de la part de mon épouse semble être présente mais pour l'instant insuffisante pour franchir le pas.
Baisser les bras, j'en aurais envie quelques fois, bien sûr. Mais la volonté de s'en sortir est encore la plus forte.