...en février de cet année on m'a diagnostiqué l'anorexie. J'ai souffre d'un TCA depuis déjà plus de 2 ans, et une amie s'est rendu compte de mon comportement et à demander à une amie a elle qui est anorexique de venir me parler...Elle m'a parlé et a dit à mon amie que j'étais anorexique. Cette fille elle est anorexique depuis bien plus de temps et a déjà dû être hospitalisé plusieurs fois. Moi je lui ai dit que je savais que j'avais un TCA mais que je n'étais pas anorexique. Mon amie était si inquiète pour moi qu'elle a envoyé une lettre à mes parents qui m'ont amenée chez un psychiatre psychologue et chez une nutritionniste et un docteur qui ont tous dit que j'étais anorexique d'après le DSM4 j'avais plus mes règles, je souffrais de l'hypotension, je me trouvait pas mince malgré mon très faible poids et ma vie tourne autour de la nourriture. Au début ca a était très difficile pour moi de l'accepter er ce qui se passe ce que je souffre couramment de dépression à propos de la mort, d'anxiété et en plus j'ai souffert du TOC toute ma vie. Aujourd'hui je suis mieux, je ne souffre pas d'autant hypotension et mon endocrinologue m'a mis sous traitement hormonale pour réguler mon système qui me permet d'avoir mes règles. Néanmoins aujourd'hui je ne me sens pas vraiment anorexique, puisque je mange suffisamment pour maintenir mon poids et je pense que pour moi il s'agit plutôt d'une obsession qui est apparu à un moment de ma vie ou j'avais souffert des nombreuses déceptions amoureuses. Je me trouve jolie, mais toujours il parait que je ne fais que repousser les gens. Aujourd'hui j'ai plus de vie sociale, je ne sors pas, je n’ai presque personne qui habite près de moi à lui confier mes secrets et surtout je ne connais vraiment personne de mon âge qui puisse comprendre. Récemment j'appris que tout le monde parler sur mon dos au lycée. Je suis dans un petit lycée on n'est que très peu par classe et les seules amies que je croyais y avoir me voyaient tomber malade et n'ont fait que parler sur mon dos sur mon aspect, et il semble que plusieurs potes a moi qui sont déjà à l'université ont aussi parlé sur mon dos. Il parait que tout le monde remarque que quelque chose ne va pas mais font rien, comme si je ne leur intéressais pas du tout. Seuls mes amies qui sont dans un autre lycée (y inclus la fille anorexique et ma copine qui a envoyé la lettre à mes parents) mais ils habitent dans une autre ville. Peut-être ici je pourrais partager. Surtout à propos de mon diagnostique est-ce qu'on peut être anorexique même si on mange assez pour maintenir son poids ?Anxiété, obsessions, solitude et anorexie...mon histoire
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Anxiété, obsessions, solitude et anorexie...mon histoire
Salut, j'ai viens de fêter mes 18 ans ...en février de cet année on m'a diagnostiqué l'anorexie. J'ai souffre d'un TCA depuis déjà plus de 2 ans, et une amie s'est rendu compte de mon comportement et à demander à une amie a elle qui est anorexique de venir me parler...Elle m'a parlé et a dit à mon amie que j'étais anorexique. Cette fille elle est anorexique depuis bien plus de temps et a déjà dû être hospitalisé plusieurs fois. Moi je lui ai dit que je savais que j'avais un TCA mais que je n'étais pas anorexique. Mon amie était si inquiète pour moi qu'elle a envoyé une lettre à mes parents qui m'ont amenée chez un psychiatre psychologue et chez une nutritionniste et un docteur qui ont tous dit que j'étais anorexique d'après le DSM4 j'avais plus mes règles, je souffrais de l'hypotension, je me trouvait pas mince malgré mon très faible poids et ma vie tourne autour de la nourriture. Au début ca a était très difficile pour moi de l'accepter er ce qui se passe ce que je souffre couramment de dépression à propos de la mort, d'anxiété et en plus j'ai souffert du TOC toute ma vie. Aujourd'hui je suis mieux, je ne souffre pas d'autant hypotension et mon endocrinologue m'a mis sous traitement hormonale pour réguler mon système qui me permet d'avoir mes règles. Néanmoins aujourd'hui je ne me sens pas vraiment anorexique, puisque je mange suffisamment pour maintenir mon poids et je pense que pour moi il s'agit plutôt d'une obsession qui est apparu à un moment de ma vie ou j'avais souffert des nombreuses déceptions amoureuses. Je me trouve jolie, mais toujours il parait que je ne fais que repousser les gens. Aujourd'hui j'ai plus de vie sociale, je ne sors pas, je n’ai presque personne qui habite près de moi à lui confier mes secrets et surtout je ne connais vraiment personne de mon âge qui puisse comprendre. Récemment j'appris que tout le monde parler sur mon dos au lycée. Je suis dans un petit lycée on n'est que très peu par classe et les seules amies que je croyais y avoir me voyaient tomber malade et n'ont fait que parler sur mon dos sur mon aspect, et il semble que plusieurs potes a moi qui sont déjà à l'université ont aussi parlé sur mon dos. Il parait que tout le monde remarque que quelque chose ne va pas mais font rien, comme si je ne leur intéressais pas du tout. Seuls mes amies qui sont dans un autre lycée (y inclus la fille anorexique et ma copine qui a envoyé la lettre à mes parents) mais ils habitent dans une autre ville. Peut-être ici je pourrais partager. Surtout à propos de mon diagnostique est-ce qu'on peut être anorexique même si on mange assez pour maintenir son poids ?
...en février de cet année on m'a diagnostiqué l'anorexie. J'ai souffre d'un TCA depuis déjà plus de 2 ans, et une amie s'est rendu compte de mon comportement et à demander à une amie a elle qui est anorexique de venir me parler...Elle m'a parlé et a dit à mon amie que j'étais anorexique. Cette fille elle est anorexique depuis bien plus de temps et a déjà dû être hospitalisé plusieurs fois. Moi je lui ai dit que je savais que j'avais un TCA mais que je n'étais pas anorexique. Mon amie était si inquiète pour moi qu'elle a envoyé une lettre à mes parents qui m'ont amenée chez un psychiatre psychologue et chez une nutritionniste et un docteur qui ont tous dit que j'étais anorexique d'après le DSM4 j'avais plus mes règles, je souffrais de l'hypotension, je me trouvait pas mince malgré mon très faible poids et ma vie tourne autour de la nourriture. Au début ca a était très difficile pour moi de l'accepter er ce qui se passe ce que je souffre couramment de dépression à propos de la mort, d'anxiété et en plus j'ai souffert du TOC toute ma vie. Aujourd'hui je suis mieux, je ne souffre pas d'autant hypotension et mon endocrinologue m'a mis sous traitement hormonale pour réguler mon système qui me permet d'avoir mes règles. Néanmoins aujourd'hui je ne me sens pas vraiment anorexique, puisque je mange suffisamment pour maintenir mon poids et je pense que pour moi il s'agit plutôt d'une obsession qui est apparu à un moment de ma vie ou j'avais souffert des nombreuses déceptions amoureuses. Je me trouve jolie, mais toujours il parait que je ne fais que repousser les gens. Aujourd'hui j'ai plus de vie sociale, je ne sors pas, je n’ai presque personne qui habite près de moi à lui confier mes secrets et surtout je ne connais vraiment personne de mon âge qui puisse comprendre. Récemment j'appris que tout le monde parler sur mon dos au lycée. Je suis dans un petit lycée on n'est que très peu par classe et les seules amies que je croyais y avoir me voyaient tomber malade et n'ont fait que parler sur mon dos sur mon aspect, et il semble que plusieurs potes a moi qui sont déjà à l'université ont aussi parlé sur mon dos. Il parait que tout le monde remarque que quelque chose ne va pas mais font rien, comme si je ne leur intéressais pas du tout. Seuls mes amies qui sont dans un autre lycée (y inclus la fille anorexique et ma copine qui a envoyé la lettre à mes parents) mais ils habitent dans une autre ville. Peut-être ici je pourrais partager. Surtout à propos de mon diagnostique est-ce qu'on peut être anorexique même si on mange assez pour maintenir son poids ?Re: Anxiété, obsessions, solitude et anorexie...mon histoire
Bonjour !
A partir du moment ou la nourriture devient une obsession, que tu penses toujours a l'avance à ce que tu vas manger, que ça te tracasse quasiment tout le temps, C'EST de l'anorexie. Peu importe que tu manges pour te stabiliser. Moi j'ai du me forcer a manger a chaque repas pendant un temps pour arrêter de perdre (perte de poids incontrôlable due à une dépression) sinon c'était hopital direct. Même si je me forçais à remanger des aliments "interdits", c'était toujours la guerre dans ma tête, et aujourd'hui j'ai retrouvé un poids "convenable" pour éviter les gros soucis de santé (cardiaques, malaises, etc) mais ce qui se passe dans ma tête est juste insupportable... Alors c'est pas pour rien qu'on appelle cette maladie "anorexie mentale", en effet même si on a une corpulence normale ou presque (c'est le cas pour pas mal de boulimiques), tout le principe de la maladie se passe dans la tête... L'image qu'on a de notre corps c'est pas vraiment la réalité, sinon on ferait pas tout ça ! Je crois (pour ma part en tout cas) que seuls les psychiatres sont en mesure de nous aider et qu'il est impossible de guérir seul(e) malheureusement...
Courage, tu n'es pas seule. N'hésite pas a me poser des questions !
A partir du moment ou la nourriture devient une obsession, que tu penses toujours a l'avance à ce que tu vas manger, que ça te tracasse quasiment tout le temps, C'EST de l'anorexie. Peu importe que tu manges pour te stabiliser. Moi j'ai du me forcer a manger a chaque repas pendant un temps pour arrêter de perdre (perte de poids incontrôlable due à une dépression) sinon c'était hopital direct. Même si je me forçais à remanger des aliments "interdits", c'était toujours la guerre dans ma tête, et aujourd'hui j'ai retrouvé un poids "convenable" pour éviter les gros soucis de santé (cardiaques, malaises, etc) mais ce qui se passe dans ma tête est juste insupportable... Alors c'est pas pour rien qu'on appelle cette maladie "anorexie mentale", en effet même si on a une corpulence normale ou presque (c'est le cas pour pas mal de boulimiques), tout le principe de la maladie se passe dans la tête... L'image qu'on a de notre corps c'est pas vraiment la réalité, sinon on ferait pas tout ça ! Je crois (pour ma part en tout cas) que seuls les psychiatres sont en mesure de nous aider et qu'il est impossible de guérir seul(e) malheureusement...
Courage, tu n'es pas seule. N'hésite pas a me poser des questions !
Re: Anxiété, obsessions, solitude et anorexie...mon histoire
bonsoir, oui bcp d'ano mange juste assez pour eux, il est difficile d'accepter, au bout de dix ans de grd tca, j'ai fini par comprendre que ce prob je l'ai tjs eu mais différement.Tes amis
non pas l'air d'etre des amis, ceux qui ne sont pas ds ds lycée le sont donc ne te préoccupe pas des autres et prend appuis sur tes vrai amis, les gens parlent tjs meme dehors ou dans le milieu pro.fais toi aidé par des pro diet psy...et pense à toi!bon courage!
non pas l'air d'etre des amis, ceux qui ne sont pas ds ds lycée le sont donc ne te préoccupe pas des autres et prend appuis sur tes vrai amis, les gens parlent tjs meme dehors ou dans le milieu pro.fais toi aidé par des pro diet psy...et pense à toi!bon courage!
Re: Anxiété, obsessions, solitude et anorexie...mon histoire
Merci de vos réponses ! Quand je vois des documentaires sur l'anorexie et je vois ce qu'elles mangent je me dis...je peux pas etre anorexique ! Mais dans ma tete c'est la guerre constante avec moi meme...je ne profite pas de la nourriture et le fait de manger me provoque du stress ! C'est bizarre car lorsque je me rends compte que j'ai perdu du poids je me sents stressée...je sais que si je vais plus loin c'est l'hopital...mais j'arrive pas a augmenter plus la quantité de nourriture que je mange. Et la par exemple ca fait plus de 5 mois que je mange la meme chose toutes les soires, pour moi la nourriture est devenu un devoir. Et de fois j'arrive meme a me dire peut etre je serait plus jolie si je prennais du poids, des jours j'arrive a le voir, et me dire: ''la il faut que tu agisse maintenant, commence a prendre un peu, tu ne peux plus rien perdre juste gagner de vie"...mais devant l'assiette la restriction recommence je cache certaines choses sur mon assiette et me sent coupable si je mange, mais stressée si je mange pas, parce que j'ai peur pour moi. Et dans ma tete c'est que sur la nourriture, tout le temps. Meme si je fais un devoir ce que j'ai mangé, ce que je vais manger plus tard et a quel heure me derrange profondement. Je peux affirmer que je peux consacrer a la cuisine au moins 3 heures par jour...meme les jours ou j'ai peu de temps et ai besoin de reviser, aller voir ma psy, ou un controle medicale je dois cuisiner ce que je vais manger et tout calculer minutieusement pour ne pas depasser... Je peux plus aller dehors, ne pas avoir tout planifié auparavant parce qu'il peut pas arriver un accident ou je me sois obligé a mangé quelque chose dont je connais l'information nutritionnelle...et la je sais plus si je vais jamais pouvoir le faire a nouveau. Qui j'etais il y a des ans me semble de plus en plus etrangere a qui je suis maintenant et difficile d'y revenir. C'est tout a fait irrationnel, mais surtout comme je souffre de panique et d'anxiété ca aggrave les choses. Des que que je sens un peu de maux de tete ou une nausée, ou du vertige je crois que je vais mourir et me sens impuissante. Meme au bac j'ai du etre dispensé de faire du sport parce que des que j'avais une chute de tension je faisais une crise de panique...
Re: Anxiété, obsessions, solitude et anorexie...mon histoire
Bonjour,
Cela fait un certain temps que je ne m'étais pas reconnectée au site. J'ai traversé, moi-même, une période bien noire où l'anorexie était mon quotidien. Aujourd'hui, j'avance et je me suis fais une alliée de la maladie. J'ai appris à l'apprivoiser et à me faire une amie de l'alimentation. Certes, cela ne s'est pas fait du jour au lendemain, mais les psys, le sport, l'amour que je porte à mes enfants et à la vie m'ont été d'un grand soutien. Cet épisode ténébreux de ma vie m'a aidé à accompagner ma propre fille dans les dédales de la maladie. J'ai su réagir et, surtout, refuser de me voiler la face. Elle a 15 ans, aujourd'hui, elle a souffert pendant plus d'un an. Quand on a été anorexo, on détecte vite ceux ou celles qui connaissent ce même enfer. Quand ce sont ses propres enfants, ce peut être plus dur, mais c'est là qu'il faut savoir déjouer, d'une certaine manière, la maladie. Nous avons beaucoup parlé et, surtout, elle a accepté de s'en remettre à un tiers, une psy extra. Elle a pu mettre à plat ce qui la faisait et peut la faire encore souffrir, sans honte en toute lucidité. Le calvaire a duré une année, et maintenant, elle va mieux, elle avance, s'alimenter ne devient plus sa hantise. Je ne l'ai jamais jugée et j'ai tenté de ne surtout pas m'identifier à elle, à ses ressentis. Chaque histoire est différente, même s'il y a un lien de filiation. Etre anorexique ce n'est pas une fatalité, on peut s'en sortir, même, si le chemin est sinueux. On peut, en tout cas, dompter la maladie. M'exprimer à travers ce forum, c'est essayer d'apporter une note d'espoir. Rien n'est perdu, tout reste à gagner.
Cela fait un certain temps que je ne m'étais pas reconnectée au site. J'ai traversé, moi-même, une période bien noire où l'anorexie était mon quotidien. Aujourd'hui, j'avance et je me suis fais une alliée de la maladie. J'ai appris à l'apprivoiser et à me faire une amie de l'alimentation. Certes, cela ne s'est pas fait du jour au lendemain, mais les psys, le sport, l'amour que je porte à mes enfants et à la vie m'ont été d'un grand soutien. Cet épisode ténébreux de ma vie m'a aidé à accompagner ma propre fille dans les dédales de la maladie. J'ai su réagir et, surtout, refuser de me voiler la face. Elle a 15 ans, aujourd'hui, elle a souffert pendant plus d'un an. Quand on a été anorexo, on détecte vite ceux ou celles qui connaissent ce même enfer. Quand ce sont ses propres enfants, ce peut être plus dur, mais c'est là qu'il faut savoir déjouer, d'une certaine manière, la maladie. Nous avons beaucoup parlé et, surtout, elle a accepté de s'en remettre à un tiers, une psy extra. Elle a pu mettre à plat ce qui la faisait et peut la faire encore souffrir, sans honte en toute lucidité. Le calvaire a duré une année, et maintenant, elle va mieux, elle avance, s'alimenter ne devient plus sa hantise. Je ne l'ai jamais jugée et j'ai tenté de ne surtout pas m'identifier à elle, à ses ressentis. Chaque histoire est différente, même s'il y a un lien de filiation. Etre anorexique ce n'est pas une fatalité, on peut s'en sortir, même, si le chemin est sinueux. On peut, en tout cas, dompter la maladie. M'exprimer à travers ce forum, c'est essayer d'apporter une note d'espoir. Rien n'est perdu, tout reste à gagner.
Re: Anxiété, obsessions, solitude et anorexie...mon histoire
bonsoir calvariam,il est difficile de retrouver ce qu'on était avant, je te l'accorde, avec le tps on oublis plus ou moins! je ne pense pas que l'on sera comme avant car on se connaitra bcp plus, notre corps pour avoir tester les limites et psychiquement aussi, j'espère que cela apportera plus de positif, prendre soins de soi! sport mais s'en trop, restau .. etre libre tout simplement! pas simple! carpe diem!
Re: Anxiété, obsessions, solitude et anorexie...mon histoire
Merci pour vos réponses ! Je ne vais pas me décourager et je sais que ca va aller de mieux en mieux ! Meme si je peut pas aller en arriere je peut certainement dans un futur etre capable de ne plus vivre autour de la nourriture, et etre finalement libre et heureuse ! 
Voici un petit vidéo que j'ai trouvé sur youtube https://www.youtube.com/watch?v=XtEYq8A-FL0 tres motivant pour toutes celles et tous ceux qui souffrent d'un TCA (:
Voici un petit vidéo que j'ai trouvé sur youtube https://www.youtube.com/watch?v=XtEYq8A-FL0 tres motivant pour toutes celles et tous ceux qui souffrent d'un TCA (: