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- vera
- Enfinien aguerri
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- Localisation : au-delà du mal-a-dit
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Robert : Le Funambule
Vêtue, gantée, masquée de noir,
Sur une trace de charbon,
Tenant le balancier du soir
Qui me disait de tenir bon
Qui me disait de reste digne
Tandis qu'entre les deux buildings
On acclamait le funambule
Et moi tout en bas minuscule
Entre deux haies de figurants
Moi, perdue au milieu du nombre
Je m'avançais en l'imitant
Je voulais entrer dans son monde
La la la ..
On acclamait le funambule,
Moi, tout en bas mimant son ombre
Je n'étais que son pâle émule
Je priais pour ne pas qu'il tombe
Et m'efforçais de rester digne
Lui, là-haut entre deux buildings
Moi, tout en bas, vêtue de soir
Tenant bon le balancier noir
Il me fallait suivre la ligne
Sous l'équilibre de son ombre,
Et jusqu'au moindre geste qu'il
Amorçait là haut sur son fil
La la la
Moi, perdue au milieu d'une ombre
Vêtue de noir, sertie de sombre,
Tandis qu'entre les deux buildings
Mon clone, là haut dans sa bulle
Discrètement, me faisait signe
De mimer sa vie funambule
Sachant que tout là-haut, il
Voulait mourir droit sur son fil
D'une mort qui fut naturelle
Tandis que, tout en bas, sans aile
Je n'étais plus que son costume
Et l'ombre d'un espoir posthume...
La la la...
Vêtue, gantée, masquée de noir,
Sur une trace de charbon,
Tenant le balancier du soir
Qui me disait de tenir bon
Qui me disait de reste digne
Tandis qu'entre les deux buildings
On acclamait le funambule
Et moi tout en bas minuscule
Entre deux haies de figurants
Moi, perdue au milieu du nombre
Je m'avançais en l'imitant
Je voulais entrer dans son monde
La la la ..
On acclamait le funambule,
Moi, tout en bas mimant son ombre
Je n'étais que son pâle émule
Je priais pour ne pas qu'il tombe
Et m'efforçais de rester digne
Lui, là-haut entre deux buildings
Moi, tout en bas, vêtue de soir
Tenant bon le balancier noir
Il me fallait suivre la ligne
Sous l'équilibre de son ombre,
Et jusqu'au moindre geste qu'il
Amorçait là haut sur son fil
La la la
Moi, perdue au milieu d'une ombre
Vêtue de noir, sertie de sombre,
Tandis qu'entre les deux buildings
Mon clone, là haut dans sa bulle
Discrètement, me faisait signe
De mimer sa vie funambule
Sachant que tout là-haut, il
Voulait mourir droit sur son fil
D'une mort qui fut naturelle
Tandis que, tout en bas, sans aile
Je n'étais plus que son costume
Et l'ombre d'un espoir posthume...
La la la...
- gwendolune
- Enfinien aguerri
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- Enregistré le : 07 mai 2003, 00:00
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- gwendolune
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- gwendolune
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- la 'tite Toulousaine Matinette
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- Localisation : la ville, rose ?

Raphaël - Et dans 150 ans
Et dans 150 ans, on s'en souviendra pas
De ta première ride, de nos mauvais choix,
De la vie qui nous baise, de tous ces marchands d'armes,
Des types qui votent les lois là bas au gouvernement,
De ce monde qui pousse, de ce monde qui crie,
Du temps qui avance, de la mélancolie,
La chaleur des baisers et cette pluie qui coule,
Et de l'amour blessé et de tout ce qu'on nous roule,
Alors souris.
Dans 150 ans, on s'en souviendra pas
De la vieillesse qui prend, de leurs signes de croix,
De l'enfant qui se meurt, des vallées du tiers monde,
Du salaud de chasseur qui descend la colombe,
De ce que t'étais belle, et des rives arrachées,
Des années sans sommeil, 100 millions de femmes et
Des portes qui se referment de t'avoir vue pleurer,
De la course solennelle qui condamne sans ciller,
Alors souris.
Et dans 150 ans, on n'y pensera même plus
A ce qu'on a aimé, à ce qu'on a perdu,
Allez vidons nos bières pour les voleurs des rues !
Finir tous dans la terre, mon dieu ! Quelle déconvenue.
Et regarde ces squelettes qui nous regardent de travers,
Et ne fais pas la tête, ne leur fais pas la guerre,
Il leur restera rien de nous, pas plus que d'eux,
J'en mettrais bien ma main à couper ou au feu,
Alors souris.
Et dans 150 ans, mon amour, toi et moi,
On sera doucement, dansant, 2 oiseaux sur la croix,
Dans ce bal des classés, encore je vois large,
P't'être qu'on sera repassés dans un très proche, un naufrage,
Mais y a rien d'autre à dire, je veux rien te faire croire,
Mon amour, mon amour, j'aurai le mal de toi,
Mais y a rien d'autre à dire, je veux rien te faire croire,
Mon amour, mon amour, j'aurai le mal de toi,
Mais que veux-tu ?...

- angelfire
- p'tit ange fan de Céline Dion
- Messages : 1646
- Enregistré le : 03 sept. 2004, 00:00
- Localisation : VERS LA VIE
- Contact :
chanson de céline dion extraite d'une film "ma nouvelle france" j'adoooore
(Theme song in 'Nouvelle-France')
(Patrick Doyle / Luc Plamondon)
Mon bel amour, mon bel amant
J'arrive au bout de tous mes tourments
Ces quelques mots du fond de ma prison
T'atteindront-ils un jour?
Garde ton corps tout contre moi
Serre-moi très fort pour la dernière fois
Ton souffle chaud brûle encore sur ma peau
Comme au premier jour
Tu m'as donné l'amour
Il sera ma lumière
Je l'emporte en moi
Et quand j'aurais trop froid
Il me rechauffera sous la terre
Et toi ma belle enfant
Je n'aurais eu le temps
Que de te montrer le mot amour
Quand j'aurais survolé le vent
Quand j'aurais traversé le néant
Pour me trouver devant le grand géant
Je veillerai sur toi
Je t'ai donné le jour
Souviens toi de ta mère
Surtout n'oublie pas
Les violences de l'amour
Sont égales aux violences de la guerre
Adieu mon tendre amant
Ma douce enfant
Mes deux amours
Adieu mon beau pays
Adieu ma Nouvelle-France
Ma Nouvelle-France
(Theme song in 'Nouvelle-France')
(Patrick Doyle / Luc Plamondon)
Mon bel amour, mon bel amant
J'arrive au bout de tous mes tourments
Ces quelques mots du fond de ma prison
T'atteindront-ils un jour?
Garde ton corps tout contre moi
Serre-moi très fort pour la dernière fois
Ton souffle chaud brûle encore sur ma peau
Comme au premier jour
Tu m'as donné l'amour
Il sera ma lumière
Je l'emporte en moi
Et quand j'aurais trop froid
Il me rechauffera sous la terre
Et toi ma belle enfant
Je n'aurais eu le temps
Que de te montrer le mot amour
Quand j'aurais survolé le vent
Quand j'aurais traversé le néant
Pour me trouver devant le grand géant
Je veillerai sur toi
Je t'ai donné le jour
Souviens toi de ta mère
Surtout n'oublie pas
Les violences de l'amour
Sont égales aux violences de la guerre
Adieu mon tendre amant
Ma douce enfant
Mes deux amours
Adieu mon beau pays
Adieu ma Nouvelle-France
Ma Nouvelle-France
- angelfire
- p'tit ange fan de Céline Dion
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- Enregistré le : 03 sept. 2004, 00:00
- Localisation : VERS LA VIE
- Contact :
Mylène Farmer
À quoi je sers
Poussière vivante, je cherche en vain ma voie lactée
Dans ma tourmente, je n'ai trouvé qu'un mausolée
Et je divague
J'ai peur du vide
Je tourne des pages
Mais ... des pages vides
Poussière errante, je n'ai pas su me diriger
Chaque heure demande pour qui, pour quoi, se redresser
Et je divague
J'ai peur du vide
Pourquoi ces larmes
Dis... à quoi bon vire
Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air
Je sers à rien du tout
Et qui peut dire dans cet enfer
Ce qu'on attend de nous, j'avoue
Ne plus savoir à quoi je sers
Sans doute à rien du tout
A présent je peux me taire
Si tout devient dégoût
Poussière brûlante, la fièvre a eu raison de moi
Je ris sans rire, je fais n'importe quoi
Et je divague
J'ai peur du vide
Je tourne des pages
Mais ... des pages vides
Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air
Je sers à rien du tout
Et qui peut dire dans cet enfer
Ce qu'on attend de nous, j'avoue
Ne plus savoir à quoi je sers
Sans doute à rien du tout
A présent je peux me taire
Si tout devient dégoût

À quoi je sers
Poussière vivante, je cherche en vain ma voie lactée
Dans ma tourmente, je n'ai trouvé qu'un mausolée
Et je divague
J'ai peur du vide
Je tourne des pages
Mais ... des pages vides
Poussière errante, je n'ai pas su me diriger
Chaque heure demande pour qui, pour quoi, se redresser
Et je divague
J'ai peur du vide
Pourquoi ces larmes
Dis... à quoi bon vire
Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air
Je sers à rien du tout
Et qui peut dire dans cet enfer
Ce qu'on attend de nous, j'avoue
Ne plus savoir à quoi je sers
Sans doute à rien du tout
A présent je peux me taire
Si tout devient dégoût
Poussière brûlante, la fièvre a eu raison de moi
Je ris sans rire, je fais n'importe quoi
Et je divague
J'ai peur du vide
Je tourne des pages
Mais ... des pages vides
Mais mon Dieu de quoi j'ai l'air
Je sers à rien du tout
Et qui peut dire dans cet enfer
Ce qu'on attend de nous, j'avoue
Ne plus savoir à quoi je sers
Sans doute à rien du tout
A présent je peux me taire
Si tout devient dégoût

- gwendolune
- Enfinien aguerri
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- Enregistré le : 07 mai 2003, 00:00
- Localisation : A Paris
- Angee
- l'Ange gardien d'Enfine
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- Enregistré le : 07 mai 2004, 00:00
- Localisation : Maisons Alfort(94 700)
- Contact :
INDOCHINE. LadyBoy
A nos joies passées
A nos ailes à nos étoiles
A la vie comme à la mort
Nous tomberons nous rêverons encore
A nos cœurs volés
A nos flèches en lambeaux
Nous serions mille
Nous serions deux
Le cœur battant
Le cœur glorieux
Nous trouverons un ciel
Un ciel sans l’amour de dieu
A nos secrets à nos trésors
A la vie comme à la mort
A nos joies oubliées
A nos flèches à nos étoiles
Nous serons mille
Nous serons deux
Le cœur battant
Le cœur glorieux
D’il était une fois jamais
D’il était une fois blessé
Mais nous saignerons encore
A la vie comme à la mort
A nos joies passées
A nos cœurs volés
Nous tomberons
Nous rêverons encore
A nos secrets à nos trésors
Nous trouverons un ciel
Un ciel sans l’amour de dieu
A nos paradis sans fin
A la vie comme à la mort
A l’azur blessé
De plus jamais plus
D’il était une fois ja ja jamais…
A nos joies passées
A nos rêves enfin
A nos paradis sans fin

A nos joies passées
A nos ailes à nos étoiles
A la vie comme à la mort
Nous tomberons nous rêverons encore
A nos cœurs volés
A nos flèches en lambeaux
Nous serions mille
Nous serions deux
Le cœur battant
Le cœur glorieux
Nous trouverons un ciel
Un ciel sans l’amour de dieu
A nos secrets à nos trésors
A la vie comme à la mort
A nos joies oubliées
A nos flèches à nos étoiles
Nous serons mille
Nous serons deux
Le cœur battant
Le cœur glorieux
D’il était une fois jamais
D’il était une fois blessé
Mais nous saignerons encore
A la vie comme à la mort
A nos joies passées
A nos cœurs volés
Nous tomberons
Nous rêverons encore
A nos secrets à nos trésors
Nous trouverons un ciel
Un ciel sans l’amour de dieu
A nos paradis sans fin
A la vie comme à la mort
A l’azur blessé
De plus jamais plus
D’il était une fois ja ja jamais…
A nos joies passées
A nos rêves enfin
A nos paradis sans fin


- vera
- Enfinien aguerri
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- Enregistré le : 10 déc. 2004, 01:00
- Localisation : au-delà du mal-a-dit
- Contact :
Personne n'aime personne
Personne ne manque à personne
Personne ne pleure personne
Pourquoi même en parler ?
Personne n'a tué personne
Personne n'est mort pour personne
Personne n'est enfant de personne
Pourquoi même en parler ?
Personne ne ment à personne
Personne ne manque à personne
Personne ne hait personne
Pourquoi même en parler ?
Personne ne dit rien à personne
Personne ne regrette rien
Et si quelqu'un en souffre
Personne n'en saura rien !
Et si personne n' est là
Autant craché sur moi
Personne ne m' en voudras
Personne ne le saura
Je n' en veux à personne
Je n' ai pas de chagrin
Et je ne hais personne
Car personne ce n' est rien
Personne n' a aimé personne
Personne ne manque à personne
Personne n' a pleuré personne
Pourquoi même en parler ?
Personne n'a tué personne
Personne n'est mort pour personne
Personne ne hait personne
Pourquoi même en parler ?
Personne ne manque à personne
Personne ne ment à personne
Et si quelqu'un en souffre
Personne n'en saura rien !
Et si quelqu'un en souffre
Personne n'en saura rien !
Et qi quelqu' un en souffre
Autant que je sois là
Autant qur ce soit moi
Personne ne le saura
Et je chante et je souffle
Et je souffle comme je souffre
Mais si mon chant est gai
Alors c' est sans regrets
Paroles et musique : RoBERT
http://ackilem.membres.jexiste.org/robert/interface.php
Une chanson que j'ai écouté en concert dimanche dernier.
Personne ne manque à personne
Personne ne pleure personne
Pourquoi même en parler ?
Personne n'a tué personne
Personne n'est mort pour personne
Personne n'est enfant de personne
Pourquoi même en parler ?
Personne ne ment à personne
Personne ne manque à personne
Personne ne hait personne
Pourquoi même en parler ?
Personne ne dit rien à personne
Personne ne regrette rien
Et si quelqu'un en souffre
Personne n'en saura rien !
Et si personne n' est là
Autant craché sur moi
Personne ne m' en voudras
Personne ne le saura
Je n' en veux à personne
Je n' ai pas de chagrin
Et je ne hais personne
Car personne ce n' est rien
Personne n' a aimé personne
Personne ne manque à personne
Personne n' a pleuré personne
Pourquoi même en parler ?
Personne n'a tué personne
Personne n'est mort pour personne
Personne ne hait personne
Pourquoi même en parler ?
Personne ne manque à personne
Personne ne ment à personne
Et si quelqu'un en souffre
Personne n'en saura rien !
Et si quelqu'un en souffre
Personne n'en saura rien !
Et qi quelqu' un en souffre
Autant que je sois là
Autant qur ce soit moi
Personne ne le saura
Et je chante et je souffle
Et je souffle comme je souffre
Mais si mon chant est gai
Alors c' est sans regrets
Paroles et musique : RoBERT
http://ackilem.membres.jexiste.org/robert/interface.php
Une chanson que j'ai écouté en concert dimanche dernier.
- vera
- Enfinien aguerri
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- Localisation : au-delà du mal-a-dit
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Toujours sur le même album
Prière pour aller au paradis
Il est un jardin
Enfoui au creux de ma mémoire
Un jardin bleu dans le matin
Où ont poussé des iris noirs
Un jardin dont j'ai tant rêvé
Oh qu'un jour je puisse y entrer
Me reposer à tout jamais
Près de la tombe abandonnée
De Laura
Je saurai le seuil
Au bruit de la grille rouillée
L'endroit du puits sous les tilleuls
On y buvait des jours d'été
En écartant les giroflées
Les mousses sombres et glacées
Les scolopendres effrayées
Près de la tombe abandonnée
De Laura
Oh je voudrais tant mourir en ce jardin
À l'ombre calme des grands pins
Que s'ouvrent enfin les roses
Closes
Depuis si longtemps
Il est un jardin
Enfoui au creux de ma mémoire
Un jardin bleu quand vient le soir
Où ont poussé deux lauriers tin
Un jardin où j'ai tant pleuré
Oh qu'un jour je puisse y entrer
Me reposer à tout jamais
Près de la tombe parfumée
De Clara
Nous aurons des rires
Comme des vols de passereaux
De grands rires clairs de jeunes filles
Des rires frais comme des ruisseaux
Comme des rires de gens heureux
Nous réinventerons le temps
Des jours où l'on avait le temps
De parler de jardins en fleurs
Et des choses du cœur
Oh je voudrais tant revivre en ce jardin
À l'ombre calme des grands pins
Que s'ouvrent enfin les roses
Closes
Depuis si longtemps
Là.

Prière pour aller au paradis
Il est un jardin
Enfoui au creux de ma mémoire
Un jardin bleu dans le matin
Où ont poussé des iris noirs
Un jardin dont j'ai tant rêvé
Oh qu'un jour je puisse y entrer
Me reposer à tout jamais
Près de la tombe abandonnée
De Laura
Je saurai le seuil
Au bruit de la grille rouillée
L'endroit du puits sous les tilleuls
On y buvait des jours d'été
En écartant les giroflées
Les mousses sombres et glacées
Les scolopendres effrayées
Près de la tombe abandonnée
De Laura
Oh je voudrais tant mourir en ce jardin
À l'ombre calme des grands pins
Que s'ouvrent enfin les roses
Closes
Depuis si longtemps
Il est un jardin
Enfoui au creux de ma mémoire
Un jardin bleu quand vient le soir
Où ont poussé deux lauriers tin
Un jardin où j'ai tant pleuré
Oh qu'un jour je puisse y entrer
Me reposer à tout jamais
Près de la tombe parfumée
De Clara
Nous aurons des rires
Comme des vols de passereaux
De grands rires clairs de jeunes filles
Des rires frais comme des ruisseaux
Comme des rires de gens heureux
Nous réinventerons le temps
Des jours où l'on avait le temps
De parler de jardins en fleurs
Et des choses du cœur
Oh je voudrais tant revivre en ce jardin
À l'ombre calme des grands pins
Que s'ouvrent enfin les roses
Closes
Depuis si longtemps
Là.
- vera
- Enfinien aguerri
- Messages : 764
- Enregistré le : 10 déc. 2004, 01:00
- Localisation : au-delà du mal-a-dit
- Contact :
Euh non, j'ai tous les CD, tu sais moi et la techniqueCoralie a écrit :Nadja, j'adore robert...tu ne les as pas en mp3 ?
merci
Diaphane


Quels albums connais-tu déjà ou as-tu ?
- mononoke
- Enfinien aguerri
- Messages : 537
- Enregistré le : 24 mars 2004, 01:00
- Localisation : si je le savais
http://www.lojo.org/ecard/ecard.htm
Lo'jo...je suis fan depuis les premieres heures...j'vais les voir bientot :-)
mono
Lo'jo...je suis fan depuis les premieres heures...j'vais les voir bientot :-)
mono
- Lottie
- Lottie mimi
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- Enregistré le : 24 mai 2003, 00:00
- Localisation : lost in a middle of nowere
- Contact :
Toutes les peines (Patrick Fiori)
De l'eau
D'un geste sans y penser
Sans sol à creuser
Du chaud
Sans braise ni cheminée
Sans arbre à couper
Du facile
Du futile
Sans malheur
Puéril
A chacun son lot de douleurs
Mais toutes les peines
Toutes les haines d'où qu'elles viennent
A quoi servent-elles
Toutes les peines Les fêlures endormies
Oh toutes les peines
Toutes les mêmes éternelles
A quoi riment-elle?
Tout ce qui saigne
Nos infimes agonies
Des jeux
Sur écran
Plat du virtuel
Et des couleurs
Du mieux
De l'argent
Du sucré
Noël à toutes les heures
Champ de mine
On se débine
Jusqu'au jour
Où tout s'écroule
Fragile à ton tour
... ton tour
Mais toutes les peines
Toutes les haines d'où qu'elles viennent
A quoi servent-elles
Toutes les peines
Nos fêlures endormies
Oh toutes les peines
Toutes les mêmes éternelles
A quoi riment-elle ?
Tout ce qui saigne
Ces infimes agonies
Mais toutes ces peines
Ces gangrènes
Lourdes au ciel qui saigne en leur coeur
Donnent-elle à nos paix les valeurs...

De l'eau
D'un geste sans y penser
Sans sol à creuser
Du chaud
Sans braise ni cheminée
Sans arbre à couper
Du facile
Du futile
Sans malheur
Puéril
A chacun son lot de douleurs
Mais toutes les peines
Toutes les haines d'où qu'elles viennent
A quoi servent-elles
Toutes les peines Les fêlures endormies
Oh toutes les peines
Toutes les mêmes éternelles
A quoi riment-elle?
Tout ce qui saigne
Nos infimes agonies
Des jeux
Sur écran
Plat du virtuel
Et des couleurs
Du mieux
De l'argent
Du sucré
Noël à toutes les heures
Champ de mine
On se débine
Jusqu'au jour
Où tout s'écroule
Fragile à ton tour
... ton tour
Mais toutes les peines
Toutes les haines d'où qu'elles viennent
A quoi servent-elles
Toutes les peines
Nos fêlures endormies
Oh toutes les peines
Toutes les mêmes éternelles
A quoi riment-elle ?
Tout ce qui saigne
Ces infimes agonies
Mais toutes ces peines
Ces gangrènes
Lourdes au ciel qui saigne en leur coeur
Donnent-elle à nos paix les valeurs...

Usé par les hommes
Par le bruit qui rend fou
Usé par la vie
Par les hurlements
Usé par le silence
Usé par le vent
Usé par l'oubli
On oublie pourtant
Qu'un jour on s'est aimé,
Qu'un jour on a vécu,
Que la vie est passée,
Que le passé n'est plus
Qu'un jour on s'est aimé
Que ce jour n'est plus
Qu'une postérité
Noyée dans l'inconnu
Usé par un monde
Qu'on ne comprends plus
Qu'on a jamais compris
Mais qu'il continue
A tourner encore
A tourner toujours plus
A faire tourner la tête
A nos âmes perdues
A nos cœurs qui appellent
Et hurlent au secours
Mais non y a plus de ciel
Et non, y a plus d'amour
Et plus que des troupeaux
Des vendus, des vautours
Des vendeurs de merveilles
Des joueurs de tambours
Usé par l'avenir
Usé par un meilleur
Qui ressemble au pire
Et oui, ça fait mal au coeur !
Usé par l'ironie
Qui tua ma jeunesse
Usé par la comédie
Usé par les promesses
Usé par la folie
Usé par le dégoût
Usé d'être incompris
De marcher à genou
Usé par l'usure
Usé par les regrets
D'avoir fui l'aventure
D'avoir fui la beauté
Te voilà qui revient
Te voilà toi mon frère
Qui me dit prends ma main
Marchons vers la lumière
Saez
Par le bruit qui rend fou
Usé par la vie
Par les hurlements
Usé par le silence
Usé par le vent
Usé par l'oubli
On oublie pourtant
Qu'un jour on s'est aimé,
Qu'un jour on a vécu,
Que la vie est passée,
Que le passé n'est plus
Qu'un jour on s'est aimé
Que ce jour n'est plus
Qu'une postérité
Noyée dans l'inconnu
Usé par un monde
Qu'on ne comprends plus
Qu'on a jamais compris
Mais qu'il continue
A tourner encore
A tourner toujours plus
A faire tourner la tête
A nos âmes perdues
A nos cœurs qui appellent
Et hurlent au secours
Mais non y a plus de ciel
Et non, y a plus d'amour
Et plus que des troupeaux
Des vendus, des vautours
Des vendeurs de merveilles
Des joueurs de tambours
Usé par l'avenir
Usé par un meilleur
Qui ressemble au pire
Et oui, ça fait mal au coeur !
Usé par l'ironie
Qui tua ma jeunesse
Usé par la comédie
Usé par les promesses
Usé par la folie
Usé par le dégoût
Usé d'être incompris
De marcher à genou
Usé par l'usure
Usé par les regrets
D'avoir fui l'aventure
D'avoir fui la beauté
Te voilà qui revient
Te voilà toi mon frère
Qui me dit prends ma main
Marchons vers la lumière
Saez
-
- la 'tite Toulousaine Matinette
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- Enregistré le : 31 mars 2004, 00:00
- Localisation : la ville, rose ?
TETARD - Au bord de l'O
Assis au bord de l'eau
Perdu dans mes pensées
Prendre un peu de repos
Tout recommencer
Ah si au bord de l'eau
On pouvait balancer
Tout son manque de peau
Sans faire de ricochet
Je n'sentirais plus l'animal
Blessé qu'il ne faut approcher
Un peu bancal un peu naze
A la ramasse éparpillé
Le nez toujours dans les étoiles
A essayer d'en décrocher
Comme si le sort que j'me trimbale
Etait bien trop lourd à porter
Assis au bord de l'eau
Perdu dans mes pensées
Prendre un peu de repos
Tout recommencer
Ah si au bord de l'eau
On pouvait balancer
Tout son manque de peau
Sans faire de ricochet
Je n'aurais plus ces envies folles
De me voir un jour partagé
Ne plus savoir quel est mon rôle
Ni à quel sein devoir me lier
Il suffirait que je les frôle
Pour arriver à les dresser
Contre moi épaule contre épaule
Gênant de générosité
Assis au bord de l'eau
Perdu dans mes pensées
Prendre un peu de repos
Tout recommencer
Ah si au bord de l'eau
On pouvait balancer
Tout son manque de peau
Sans faire de ricochet
Je n'sentirais plus l'animal
Blessé qu'il ne faut approcher
Un peu bancal un peu naze
A la ramasse éparpillé
Le nez toujours dans les étoiles
A essayer d'en décrocher
Comme si le sort que j'me trimbale
Etait bien trop lourd à porter
Assis au bord de l'eau
Perdu dans mes pensées
Prendre un peu de repos
Tout recommencer
Ah si au bord de l'eau
On pouvait balancer
Tout son manque de peau
Sans faire de ricochet
Je n'aurais plus ces envies folles
De me voir un jour partagé
Ne plus savoir quel est mon rôle
Ni à quel sein devoir me lier
Il suffirait que je les frôle
Pour arriver à les dresser
Contre moi épaule contre épaule
Gênant de générosité
- vera
- Enfinien aguerri
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- Localisation : au-delà du mal-a-dit
- Contact :
Hubert Félix Thiéfaine
Toute ma jeunesse... et un petit clin d'oeil à James Dean ;-)
Exercice de simple provocation avec 33 fois le mot coupable
Coupable, coupable
J'me sens coupable d'avoir assassiné mon double dans le ventre de ma
mère et de l'avoir mangé
J'me sens coupable d'avoir attenté à mon entité vitale en ayant tenté
de me pendre avec mon cordon ombilical
J'me sens coupable d'avoir offensé et souillé la lumière du jour en
essayant de me débarrasser du liquide amniotique qui recouvrait mes yeux
la première fois où j'ai voulu voir où j'en étais
J'me sens coupable d'avoir méprisé tous ces petits barbares débiles
insensibles, insipides et minables qui couraient en culottes courtes
derrière un ballon dans les cours de récréation
Et j'me sens coupable d'avoir continué à les mépriser beaucoup plus
tard encore alors qu'ils étaient déjà devenus des banquiers, des juges,
des dealers, des épiciers, des fonctionnaires, des proxénètes, des
évêques ou des chimpanzés névropathes
J'me sens coupable des lambeaux de leur âme déchirée par la honte et
par les ricanements cyniques et confus de mes cellules nerveuses
Je me sens coupable, coupable !
J'me sens coupable d'avoir été dans une vie antérieure l'une de ces
charmantes petites créatures que l'on rencontre au fond des bouteilles de
mescal et d'en ressentir à tout jamais un sentiment mélancolique de
paradis perdu
J'me sens coupable d'être tombé d'un tabouret de bar dans un palace
pour vieilles dames déguisées en rock-star, après avoir éclusé sept
bouteilles de Dom Pé 67 dans le seul but d'obtenir des notes de frais à
déduire de mes impôts
J'me sens coupable d'avoir arrêté de picoler alors qu'il y a des
milliers d'envapés qui continuent chaque année à souffrir d'une cirrhose ou
d'un cancer du foie ou des conséquences d'accidents provoqués par
l'alcool
De même que j'me sens coupable d'avoir arrêté de fumer alors qu'il y a
des milliers d'embrumés qui continuent chaque année à souffrir pour les
mêmes raisons à décalquer sur les poumons en suivant les pointillés
Et j'me sens aussi coupable d'être tombé de cénobite en anachorète et
d'avoir arrêté de partouzer alors qu'il y a des milliers d'obsédés qui
continuent chaque année à souffrir d'un claquage de la pénis, d'un
durillon au clitoris, d'un anthrax max aux roubignolles, d'une overdose de
chagatte folle, d'un lent pourrissement scrofuleux du scrotum et du
gland, de gono, de blenno, de tréponèmes, de chancres mous, d'HIV ou de
salpingite
Je me sens coupable, coupable !
J'me sens coupable d'être né français, de parents français,
d'arrière-arrière... etc. grands-parents français, dans un pays où les indigènes
pendant l'occupation allemande écrivirent un si grand nombre de lettres
de dénonciation que les nazis les plus compétents et les mieux
expérimentés en matière de cruauté et de crimes contre l'humanité en furent
stupéfaits et même un peu jaloux
J'me sens coupable de pouvoir affirmer qu'aujourd'hui ce genre de
pratique de délation typiquement française est toujours en usage et je
prends à témoin certains policiers compatissants, certains douaniers
écœurés, certains fonctionnaires de certaines administrations particulièrement
troublés et choqués par ce genre de pratique
J'me sens coupable d'imaginer la tête laborieuse de certains de mes
voisins, de certains de mes proches, de certaines de mes connaissances, de
certains petits vieillards crapuleux, baveux, bavards, envieux et
dérisoires, appliqués à écrire consciencieusement ce genre de chef-d'œuvre
de l'anonymat
J'me sens coupable d'avoir une gueule à être dénoncé
Je me sens coupable, coupable !
J'me sens coupable de garder mes lunettes noires de vagabond solitaire
alors que la majorité de mes très chers compatriotes ont choisi de
remettre leurs vieilles lunettes roses à travers lesquelles on peut voir
les pitreries masturbatoires de la sociale en train de chanter c'est la
turlutte finale
J'me sens coupable de remettre de jour en jour l'idée de me retirer
chez mes Nibelungen intimes et privés, dans la partie la plus sombre de
mon inconscient afin de m'y repaître de ma haine contre la race humaine
et même contre certaines espèces animales particulièrement sordides,
serviles et domestiques que sont les chiens, les chats, les chevaux, les
chè-è-vres, les Tamagochis et les poissons rouges
J'me sens coupable de ne pas être mort le 30 septembre 1955, un peu
après 17 heures 40, au volant du spyder Porsche 550 qui percuta le coupé
Ford de monsieur Donald Turnupseed
J'me sens coupable d'avoir commencé d'arrêter de respirer alors qu'il y
a quelque six milliards de joyeux fêtards crapoteux qui continuent de
se battre entre-eux et de s'accrocher à leur triste petite part de néant
cafardeux
Je me sens coupable, coupable !
Toute ma jeunesse... et un petit clin d'oeil à James Dean ;-)
Exercice de simple provocation avec 33 fois le mot coupable
Coupable, coupable
J'me sens coupable d'avoir assassiné mon double dans le ventre de ma
mère et de l'avoir mangé
J'me sens coupable d'avoir attenté à mon entité vitale en ayant tenté
de me pendre avec mon cordon ombilical
J'me sens coupable d'avoir offensé et souillé la lumière du jour en
essayant de me débarrasser du liquide amniotique qui recouvrait mes yeux
la première fois où j'ai voulu voir où j'en étais
J'me sens coupable d'avoir méprisé tous ces petits barbares débiles
insensibles, insipides et minables qui couraient en culottes courtes
derrière un ballon dans les cours de récréation
Et j'me sens coupable d'avoir continué à les mépriser beaucoup plus
tard encore alors qu'ils étaient déjà devenus des banquiers, des juges,
des dealers, des épiciers, des fonctionnaires, des proxénètes, des
évêques ou des chimpanzés névropathes
J'me sens coupable des lambeaux de leur âme déchirée par la honte et
par les ricanements cyniques et confus de mes cellules nerveuses
Je me sens coupable, coupable !
J'me sens coupable d'avoir été dans une vie antérieure l'une de ces
charmantes petites créatures que l'on rencontre au fond des bouteilles de
mescal et d'en ressentir à tout jamais un sentiment mélancolique de
paradis perdu
J'me sens coupable d'être tombé d'un tabouret de bar dans un palace
pour vieilles dames déguisées en rock-star, après avoir éclusé sept
bouteilles de Dom Pé 67 dans le seul but d'obtenir des notes de frais à
déduire de mes impôts
J'me sens coupable d'avoir arrêté de picoler alors qu'il y a des
milliers d'envapés qui continuent chaque année à souffrir d'une cirrhose ou
d'un cancer du foie ou des conséquences d'accidents provoqués par
l'alcool
De même que j'me sens coupable d'avoir arrêté de fumer alors qu'il y a
des milliers d'embrumés qui continuent chaque année à souffrir pour les
mêmes raisons à décalquer sur les poumons en suivant les pointillés
Et j'me sens aussi coupable d'être tombé de cénobite en anachorète et
d'avoir arrêté de partouzer alors qu'il y a des milliers d'obsédés qui
continuent chaque année à souffrir d'un claquage de la pénis, d'un
durillon au clitoris, d'un anthrax max aux roubignolles, d'une overdose de
chagatte folle, d'un lent pourrissement scrofuleux du scrotum et du
gland, de gono, de blenno, de tréponèmes, de chancres mous, d'HIV ou de
salpingite
Je me sens coupable, coupable !
J'me sens coupable d'être né français, de parents français,
d'arrière-arrière... etc. grands-parents français, dans un pays où les indigènes
pendant l'occupation allemande écrivirent un si grand nombre de lettres
de dénonciation que les nazis les plus compétents et les mieux
expérimentés en matière de cruauté et de crimes contre l'humanité en furent
stupéfaits et même un peu jaloux
J'me sens coupable de pouvoir affirmer qu'aujourd'hui ce genre de
pratique de délation typiquement française est toujours en usage et je
prends à témoin certains policiers compatissants, certains douaniers
écœurés, certains fonctionnaires de certaines administrations particulièrement
troublés et choqués par ce genre de pratique
J'me sens coupable d'imaginer la tête laborieuse de certains de mes
voisins, de certains de mes proches, de certaines de mes connaissances, de
certains petits vieillards crapuleux, baveux, bavards, envieux et
dérisoires, appliqués à écrire consciencieusement ce genre de chef-d'œuvre
de l'anonymat
J'me sens coupable d'avoir une gueule à être dénoncé
Je me sens coupable, coupable !
J'me sens coupable de garder mes lunettes noires de vagabond solitaire
alors que la majorité de mes très chers compatriotes ont choisi de
remettre leurs vieilles lunettes roses à travers lesquelles on peut voir
les pitreries masturbatoires de la sociale en train de chanter c'est la
turlutte finale
J'me sens coupable de remettre de jour en jour l'idée de me retirer
chez mes Nibelungen intimes et privés, dans la partie la plus sombre de
mon inconscient afin de m'y repaître de ma haine contre la race humaine
et même contre certaines espèces animales particulièrement sordides,
serviles et domestiques que sont les chiens, les chats, les chevaux, les
chè-è-vres, les Tamagochis et les poissons rouges
J'me sens coupable de ne pas être mort le 30 septembre 1955, un peu
après 17 heures 40, au volant du spyder Porsche 550 qui percuta le coupé
Ford de monsieur Donald Turnupseed
J'me sens coupable d'avoir commencé d'arrêter de respirer alors qu'il y
a quelque six milliards de joyeux fêtards crapoteux qui continuent de
se battre entre-eux et de s'accrocher à leur triste petite part de néant
cafardeux
Je me sens coupable, coupable !
- Adenydd
- Petit enfinien
- Messages : 13
- Enregistré le : 19 févr. 2006, 01:00
- Localisation : entre Liverpool et Paris
En ce moment je suis dans les BOF (bandes originales de film et pas musique nulle :) )
Un peu plus tôt, c'était celle de Lost in Translation ;
et maintenant c'est celle de "Il était une fois... la vie"
Mis à part la première qui est le générique de la série, tout le reste est de l'instrumental. 8-)
C'est très doux et positif : j'aime bien écouter ce genre de musique juste avant de dormir...
Un peu plus tôt, c'était celle de Lost in Translation ;
et maintenant c'est celle de "Il était une fois... la vie"
Mis à part la première qui est le générique de la série, tout le reste est de l'instrumental. 8-)
C'est très doux et positif : j'aime bien écouter ce genre de musique juste avant de dormir...

- vera
- Enfinien aguerri
- Messages : 764
- Enregistré le : 10 déc. 2004, 01:00
- Localisation : au-delà du mal-a-dit
- Contact :
Brigitte Bardot, idéal pour se réveiller
, suis sur radio nostalgie
Je n'ai besoin de personn'
En Harley Davidson
Je n'reconnais plus personn
En Harley Davidson
J'appuie sur le starter,
Et voici que je quitte la terre,
J'irai p't'être au Paradis,
Mais dans un train d'enfer.
Je n'ai besoin de personn'
En Harley Davidson
Je n'reconnais plus personn'
En Harley Davidson
Et si je meurs demain
C'est que tel était mon destin
Je tiens bien moins à la vie
Qu'à mon terrible engin.
Je n'ai besoin de personn'
En Harley Davidson
Je n'reconnais plus personn'
En Harley Davidson
Quand je sens en chemin
Les trépidations de ma machine,
Il me monte des désirs
Dans le creux de mes reins
Je n'ai besoin de personn'
En Harley Davidson
Je n'reconnais plus personn'
En Harley Davidson
Je vais à plus de cent,
Et je me sens à feu et à sang,
Que m'importe de mourir
Les cheveux dans le vent !
Que m'importe de mourir
Les cheveux dans le vent


Je n'ai besoin de personn'
En Harley Davidson
Je n'reconnais plus personn
En Harley Davidson
J'appuie sur le starter,
Et voici que je quitte la terre,
J'irai p't'être au Paradis,
Mais dans un train d'enfer.
Je n'ai besoin de personn'
En Harley Davidson
Je n'reconnais plus personn'
En Harley Davidson
Et si je meurs demain
C'est que tel était mon destin
Je tiens bien moins à la vie
Qu'à mon terrible engin.
Je n'ai besoin de personn'
En Harley Davidson
Je n'reconnais plus personn'
En Harley Davidson
Quand je sens en chemin
Les trépidations de ma machine,
Il me monte des désirs
Dans le creux de mes reins
Je n'ai besoin de personn'
En Harley Davidson
Je n'reconnais plus personn'
En Harley Davidson
Je vais à plus de cent,
Et je me sens à feu et à sang,
Que m'importe de mourir
Les cheveux dans le vent !
Que m'importe de mourir
Les cheveux dans le vent
- vera
- Enfinien aguerri
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- Enregistré le : 10 déc. 2004, 01:00
- Localisation : au-delà du mal-a-dit
- Contact :
Michel Berger
Il y a tant de vagues et de fumée
Qu'on arrive plus à distinguer
Le blanc du noir
Et l'énergie du désespoir
Le téléphone pourra sonner
Il n'y aura plus d'abonné
Et plus d'idée
Que le silence pour respirer
Recommencer là où le monde a commencé
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où les nuits sont si longues qu'on en oublie le temps
Tout seul avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant
Je m'en irai courir dans le paradis blanc
Loin des regards de haine
Et des combats de sang
Retrouver les baleines
Parler aux poissons d'argent
Comme, comme, comme avant
Y a tant de vagues, et tant d'idées
Qu'on arrive plus à décider
Le faux du vrai
Et qui aimer ou condamner
Le jour où j'aurai tout donné
Que mes claviers seront usés
D'avoir osé
Toujours vouloir tout essayer
Et recommencer là où le monde a commencé
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où les manchots s'amusent dès le soleil levant
Et jouent en nous montrant
Ce que c'est d'être vivant
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où l'air reste si pur
Qu'on se baigne dedans
A jouer avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant
Comme, comme, comme avant
Parler aux poissons
Et jouer avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant
Comme avant
Il y a tant de vagues et de fumée
Qu'on arrive plus à distinguer
Le blanc du noir
Et l'énergie du désespoir
Le téléphone pourra sonner
Il n'y aura plus d'abonné
Et plus d'idée
Que le silence pour respirer
Recommencer là où le monde a commencé
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où les nuits sont si longues qu'on en oublie le temps
Tout seul avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant
Je m'en irai courir dans le paradis blanc
Loin des regards de haine
Et des combats de sang
Retrouver les baleines
Parler aux poissons d'argent
Comme, comme, comme avant
Y a tant de vagues, et tant d'idées
Qu'on arrive plus à décider
Le faux du vrai
Et qui aimer ou condamner
Le jour où j'aurai tout donné
Que mes claviers seront usés
D'avoir osé
Toujours vouloir tout essayer
Et recommencer là où le monde a commencé
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où les manchots s'amusent dès le soleil levant
Et jouent en nous montrant
Ce que c'est d'être vivant
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où l'air reste si pur
Qu'on se baigne dedans
A jouer avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant
Comme, comme, comme avant
Parler aux poissons
Et jouer avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant
Comme avant
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- Enregistré le : 19 janv. 2004, 01:00
- Localisation : Toulouse
triste et beau
Triste et beau, mi classique mi rock :
Apocalyptica Fade to Black (une version similaire par Metallica mais j'aime moins).
Apocalyptica Fade to Black (une version similaire par Metallica mais j'aime moins).