Tomber enceinte et anorexie?
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Tomber enceinte et anorexie?
Bonjour à vous
je suis anorexique depuis 6 ans environ : j'ai 26 ans aujourd'hui, je suis avec mon mari (mariés depuis juillet 2005) depuis 7 ans. il est resté, en supportant mon anorexie, mon debut de guerison, ma bv, ma nouvelle anorexie... Il est formidable : oui, les filles, ça existe!
Bref, je vais mieux depuis quelques mois, je mange mieux maisje fais tjs du sport (1h par jour au moins.).
nous voulons un bébé. Le problème, c'est que je suis angoissée, j'ai peur de ne plus ovuler à cause de mon anorexie et donc de ne pouvoir donner vie... Depuis un mois, je mange diététiquement bien et je ne fais plus que 3 hde sport par semaine. Je vous jure que je prends sur moi et que ce n'est pas facile tous les jours. mais je suis super motivée parce que je veux mon bébé.
Il y en a t'il parmi vous qui ont eu des enfants malgré leur anorexie?**
Merci de vos réponses et bon courage à vous toutes!
je suis anorexique depuis 6 ans environ : j'ai 26 ans aujourd'hui, je suis avec mon mari (mariés depuis juillet 2005) depuis 7 ans. il est resté, en supportant mon anorexie, mon debut de guerison, ma bv, ma nouvelle anorexie... Il est formidable : oui, les filles, ça existe!
Bref, je vais mieux depuis quelques mois, je mange mieux maisje fais tjs du sport (1h par jour au moins.).
nous voulons un bébé. Le problème, c'est que je suis angoissée, j'ai peur de ne plus ovuler à cause de mon anorexie et donc de ne pouvoir donner vie... Depuis un mois, je mange diététiquement bien et je ne fais plus que 3 hde sport par semaine. Je vous jure que je prends sur moi et que ce n'est pas facile tous les jours. mais je suis super motivée parce que je veux mon bébé.
Il y en a t'il parmi vous qui ont eu des enfants malgré leur anorexie?**
Merci de vos réponses et bon courage à vous toutes!
J'en ai vu sur divers forum donc c'est possible oui. Le tout est de ne pas penser qu'à l'ovulation mais aussi aux neuf mois qui suivent à avoir une alimentation saine si possible sans crise. C'est ça qui m'angoisse aussi.
J'essai d'avoir un bébé également depuis mai (mariée depuis avril, ensemble depuis 10ans), mes cycles ont l'air réguliers pour le moment mais je me pose des tonnes de questions si la machine marche correctement, si je ne vais pas faire fausse couche sur fausse couche, j'ai peur que le petit bout manque de quelque chose...
Alors je ne sais pas, il faudrait arrêter d'angoisser, ce n'est pas bon non plus et il y a des femmes qui n'ont pas de tcas qui mettent des mois et des mois avant de tomber enceinte donc pas de conclusion attive.
Je crois qu'il faut prendre le problème dans un autre sens, ce dire que maintenant, avoir ce bébé est une pause sans tcas, un moment que l'on va s'accorder à être bien, ne commençont pas à voir des problèmes là où il n'y en a peut être pas.
J'essai d'avoir un bébé également depuis mai (mariée depuis avril, ensemble depuis 10ans), mes cycles ont l'air réguliers pour le moment mais je me pose des tonnes de questions si la machine marche correctement, si je ne vais pas faire fausse couche sur fausse couche, j'ai peur que le petit bout manque de quelque chose...
Alors je ne sais pas, il faudrait arrêter d'angoisser, ce n'est pas bon non plus et il y a des femmes qui n'ont pas de tcas qui mettent des mois et des mois avant de tomber enceinte donc pas de conclusion attive.
Je crois qu'il faut prendre le problème dans un autre sens, ce dire que maintenant, avoir ce bébé est une pause sans tcas, un moment que l'on va s'accorder à être bien, ne commençont pas à voir des problèmes là où il n'y en a peut être pas.
mitsuko a écrit :J'en ai vu sur divers forum donc c'est possible oui. Le tout est de ne pas penser qu'à l'ovulation mais aussi aux neuf mois qui suivent à avoir une alimentation saine si possible sans crise. C'est ça qui m'angoisse aussi.
J'essai d'avoir un bébé également depuis mai (mariée depuis avril, ensemble depuis 10ans), mes cycles ont l'air réguliers pour le moment mais je me pose des tonnes de questions si la machine marche correctement, si je ne vais pas faire fausse couche sur fausse couche, j'ai peur que le petit bout manque de quelque chose...
Alors je ne sais pas, il faudrait arrêter d'angoisser, ce n'est pas bon non plus et il y a des femmes qui n'ont pas de tcas qui mettent des mois et des mois avant de tomber enceinte donc pas de conclusion attive.
Je crois qu'il faut prendre le problème dans un autre sens, ce dire que maintenant, avoir ce bébé est une pause sans tcas, un moment que l'on va s'accorder à être bien, ne commençont pas à voir des problèmes là où il n'y en a peut être pas.
Merci pour ton message Mitsuko.
Pour ma part, j arrete la pilule en avril : depuis, pas de règles!! J'ai eu les boules, d'autant plus que j ai tjs eu mes règles régulièrement, avec la pilule et sans la pilule avant mon ano... J'ai consulté un gyneco, je prends un traitement, on verra bien....
Je crois, que comme tu le dis, il ne faut pas y penser!!
Surtout, pensons à bien nous nourrir, parce que c primordial et que un peyit bout en aura besoin!!!!
Et toi, tu as arrété la pilule quand et depuis quand es tu ano?
- kilou
- Douce brebis têtue de 1ère classe
- Messages : 2079
- Enregistré le : 08 mai 2003, 00:00
- Localisation : Près du Mont Blanc et si loin...
- Contact :
l'anorexie n'empêche effectivement pas d'avoir des enfants en pratique, l'absence de règle ne veut pas dire non plus stérile et sans règle tu peux tomber enceinte...
mais à mes yeux (et ça n'engage que moi) il n'y a pas que le soucis du possible ou non, mais celui comme le dit Mitsuko (au passage bonjour toi!) celui de tenir les 9 mois (parfois moins...) mais je dirais même les années qui suivent, environ 20 maintenant.... hum hum!
l'autre problème qui me parait important c'est aussi d'assurer une éducation, une entrée dans une vie que soi même on a du mal à accepter complètement, comment dire à un enfant de manger quand soi même on est en soucis face à une assiette, et les gamins le sentent vite....(malheureusement pr nous ;) )
comment lui dire de croquer la vie à pleines dents quand soi même on en rejette une partie...
beaucoup de points se trouvent soulevés à travers la question de la maternité, c'est complexe et matière à beaucoup de remises en questions.
donner la vie sans donner la sienne...
aimer, être aimé, être là, et pas épuisée, vivre, à 3;4;...
tendrement

mais à mes yeux (et ça n'engage que moi) il n'y a pas que le soucis du possible ou non, mais celui comme le dit Mitsuko (au passage bonjour toi!) celui de tenir les 9 mois (parfois moins...) mais je dirais même les années qui suivent, environ 20 maintenant.... hum hum!
l'autre problème qui me parait important c'est aussi d'assurer une éducation, une entrée dans une vie que soi même on a du mal à accepter complètement, comment dire à un enfant de manger quand soi même on est en soucis face à une assiette, et les gamins le sentent vite....(malheureusement pr nous ;) )
comment lui dire de croquer la vie à pleines dents quand soi même on en rejette une partie...
beaucoup de points se trouvent soulevés à travers la question de la maternité, c'est complexe et matière à beaucoup de remises en questions.
donner la vie sans donner la sienne...
aimer, être aimé, être là, et pas épuisée, vivre, à 3;4;...
tendrement

Les cycles peuvent mettre un certain temps à se remettre correctement en place aprés la pillule et puis, c'est tellement fonction de l'angoisse et du stress que tu peux les perturber par peur de ne pas les avoir.
J'ai arrêté la pillule en Avril aussi, j'ai eu un premier cycle de 35 jours et maintenant c'est régulier à 28 jours mais la dernière fois j'ai eu des douleurs attroces le premier jour des règles à rester au lit à me tordre. C'était l'une des raisons pour laquelle j'avais commencé à prendre la pillule à 16 ans sachant que je sais pertinament que c'est psychologique chez moi.
En ce moment je ne peux pas vraiment me dire anorexique, j'ai des manies qui me restent, toujours quelques obsessions, des repas qui sautent mais je fais attention à ne pas en faire un quotidien, je ne suis pas dans l'optique de me laisser glisser. Je ressors d'une phase de BV de 9-10 mois qui m'ont épuisée. La première fois que je connaissais la vraie boulimie et l'état psychologique qui va avec. Là je souffle que ce ne soit plus mon quotidien mais un fait ponctuel de décompression anecdotique. Du coup, j'ai vraiment envie de ne plus être dans la destruction. Surtout que cette phase de BV est apparue alors que ça faisait un bon moment que je n'avais plus de tcas, presqu'un an à ne plus penser bouffe-corps-chiffre-vie. J'ai pas su encaisser un moment difficile et ça a redéconné. Et le pire, c'est que j'ai sauté avec les deux pieds dedans presque avec un plaisir masochiste.
Bref, j'apprends une vie d'adulte là. J'essai d'exister devant les autres ce qui me demande d'exister à mes propres yeux. L'expression par l'art, la dance m'a aidé à me débloquer mais il manque l'interraction avec les autres, l'expression de soi par son opinion, ne plus se cacher, ne plus s'effacer, suivre la tête basse....
Désolée pour le hors sujet mais j'avais pas vraiment parlé de tout ça depuis un moment, ça me fait une mise au point.
J'ai arrêté la pillule en Avril aussi, j'ai eu un premier cycle de 35 jours et maintenant c'est régulier à 28 jours mais la dernière fois j'ai eu des douleurs attroces le premier jour des règles à rester au lit à me tordre. C'était l'une des raisons pour laquelle j'avais commencé à prendre la pillule à 16 ans sachant que je sais pertinament que c'est psychologique chez moi.
En ce moment je ne peux pas vraiment me dire anorexique, j'ai des manies qui me restent, toujours quelques obsessions, des repas qui sautent mais je fais attention à ne pas en faire un quotidien, je ne suis pas dans l'optique de me laisser glisser. Je ressors d'une phase de BV de 9-10 mois qui m'ont épuisée. La première fois que je connaissais la vraie boulimie et l'état psychologique qui va avec. Là je souffle que ce ne soit plus mon quotidien mais un fait ponctuel de décompression anecdotique. Du coup, j'ai vraiment envie de ne plus être dans la destruction. Surtout que cette phase de BV est apparue alors que ça faisait un bon moment que je n'avais plus de tcas, presqu'un an à ne plus penser bouffe-corps-chiffre-vie. J'ai pas su encaisser un moment difficile et ça a redéconné. Et le pire, c'est que j'ai sauté avec les deux pieds dedans presque avec un plaisir masochiste.
Bref, j'apprends une vie d'adulte là. J'essai d'exister devant les autres ce qui me demande d'exister à mes propres yeux. L'expression par l'art, la dance m'a aidé à me débloquer mais il manque l'interraction avec les autres, l'expression de soi par son opinion, ne plus se cacher, ne plus s'effacer, suivre la tête basse....
Désolée pour le hors sujet mais j'avais pas vraiment parlé de tout ça depuis un moment, ça me fait une mise au point.
à vous deux!
Ca fait du bien d'avoir des réponses à nos peurs!
Kilou, effectivement, tu as raison sur le fait que avoir un enfant, c'est l'assumer et l'accompagner jusqu'à la fin de sa vie, ce qui veut dire rompre définitivement avec les TCAS. j'en suis consciente et j'y travaille (parce qu'il s'agit réellement d'un tâche super dure!) ardemment. Depuis debut aout (ça fait peu de temps, mais il faut un debut), depuis ma psychose sur le fait que j'étais peut etre préménauposée ou alors stérile à cause de mes conneries (merci Internet entre parenthèses, à éviter de regarder qd on croit avoir un problème!), j'ai arrété mes conneries. Comme je l'ai dit, je mange correctement (selon les menus de ma dieteticienne, qui me suit depuis septembre 05, date à laquelle j'ai décidé de m'en sortir vraiment), je ne fais plus que 3h de sport par semaine. Et ce n'est pas pour relâcher qd j'aurais mon enfant : non, je veux que ce soit ma nouvelle vie, ne plus avoir peur de faire un repas normal, ne plus ressentir ce besoin de me dépenser après chaque repas, boire un coup avec des amis... bref, vivre!
Et Kilou, de quoi souffres tu?
Mitsuko, je vois que nous partageons toi et moi le même désir!
Je suis bien contente que tu m'aies livré un peu de ton histoire et je me retrouve dedans... En fait, ma période de forte anorexie a duré un an, après j'ai commencé à vouloir remanger, plus pour faire plaisir à mes proches qu'à moi. Sauf que je ne mangeais pratiquement rien le soir pour avoir faim le matin car au petit dej, crise de boulimie aigue, j'avalais tout ce que je pouvais jusqu'à avoir mal au ventre, puis direction WC pour V... Puis deux heures de jogging!!! Mon mari en avait ras le bol, je l'appelais après parce que je culpabilisais à mort (et ce n'est pas au sns figuré...). Le soir il revenait, il trouvait des traces de vomi dans les WC... bref, très glamour! Le pauvre, je lui en ai fait subir, entre mon anorexie, mes disputes violentes avce mes parents qui finissaient dans les larmes pour tous... bref, c une autre histoire. Ma BV m'est vite passée. ca allait "mieux", en apparence en ts cas, parce que je faisais plus de 7h de sport/ semaine, et je gardais le contrôle sr mon alimentation. J'ai remaigri ensuite, la bonne vieille ano qui revenait.. J'ai repris du poil de la bête, poussée par mon père surtout (c lui qui a été le plus fort, qui n'a jamais renoncé). J'ai eu des hauts et des bas... Mais au fil du temps, je me suis rendue compte d'une chose : on n'a qu'1 vie, et on en fait ce qu'on en veut, soit un enfer, soit une bonne vie.... Ca a mis du temps à émerger dans mon esprit : et là, apres mon mariage ( année 2005 : j'étais maigre pour ma marier, ma famille s'est demandé si je n'étais pas malade... bref, qd je revois les photos, j'ai les boules... Année rude entre la prépa du mariage et achat d'une maison), j'ai pris la décision de vivre! Donc j'ai été voir une diet, super gentille et compréhensive, et j'ai commencé à remanger, mais tt en faisant mes 7h de sport... je ne lui ai rien caché à ma diet, elle connait tout ce que je fais. J'ai repris du poids, j'étais heureuse, mon mari et mes parents aussi, ma diet super fière. Depuis, il y a eu des hauts et des bas, j'ai un peu remaigri, sans "vraiment" le vouloir, parce que je ne suivais plus trop les règles du bien manger : j'ai voulu diminuer le sport et donc insconsciemment diminuer ce que je mangeais... Mais auj ça va mieux : je m'accroche parce que ça vaut le coup!!!
Et je te jure que tout va bien aller pour toi : une rechute, qui n'en n'as pas eu? Pour tte sorte de dépendance, la clope, l'alcool... Une rechute, ce n'est rien, surtout si tu en es consciente!!
Allez, va de l'avant, pense à être heureuse, pense à toi (à ton corps, chouchoute le, il a aussi bcp souffert!), fais toi plaisir sans tomber dans l'excès. Quand on veut on peut : la volonté qu'on a eu de tt vouloir controler en est un exemple. On peut avoir cette même volonté pour s'en sortir!
Courage les filles : ON VA GAGNER et on aura notre bb!!
Ca fait du bien d'avoir des réponses à nos peurs!
Kilou, effectivement, tu as raison sur le fait que avoir un enfant, c'est l'assumer et l'accompagner jusqu'à la fin de sa vie, ce qui veut dire rompre définitivement avec les TCAS. j'en suis consciente et j'y travaille (parce qu'il s'agit réellement d'un tâche super dure!) ardemment. Depuis debut aout (ça fait peu de temps, mais il faut un debut), depuis ma psychose sur le fait que j'étais peut etre préménauposée ou alors stérile à cause de mes conneries (merci Internet entre parenthèses, à éviter de regarder qd on croit avoir un problème!), j'ai arrété mes conneries. Comme je l'ai dit, je mange correctement (selon les menus de ma dieteticienne, qui me suit depuis septembre 05, date à laquelle j'ai décidé de m'en sortir vraiment), je ne fais plus que 3h de sport par semaine. Et ce n'est pas pour relâcher qd j'aurais mon enfant : non, je veux que ce soit ma nouvelle vie, ne plus avoir peur de faire un repas normal, ne plus ressentir ce besoin de me dépenser après chaque repas, boire un coup avec des amis... bref, vivre!
Et Kilou, de quoi souffres tu?
Mitsuko, je vois que nous partageons toi et moi le même désir!
Je suis bien contente que tu m'aies livré un peu de ton histoire et je me retrouve dedans... En fait, ma période de forte anorexie a duré un an, après j'ai commencé à vouloir remanger, plus pour faire plaisir à mes proches qu'à moi. Sauf que je ne mangeais pratiquement rien le soir pour avoir faim le matin car au petit dej, crise de boulimie aigue, j'avalais tout ce que je pouvais jusqu'à avoir mal au ventre, puis direction WC pour V... Puis deux heures de jogging!!! Mon mari en avait ras le bol, je l'appelais après parce que je culpabilisais à mort (et ce n'est pas au sns figuré...). Le soir il revenait, il trouvait des traces de vomi dans les WC... bref, très glamour! Le pauvre, je lui en ai fait subir, entre mon anorexie, mes disputes violentes avce mes parents qui finissaient dans les larmes pour tous... bref, c une autre histoire. Ma BV m'est vite passée. ca allait "mieux", en apparence en ts cas, parce que je faisais plus de 7h de sport/ semaine, et je gardais le contrôle sr mon alimentation. J'ai remaigri ensuite, la bonne vieille ano qui revenait.. J'ai repris du poil de la bête, poussée par mon père surtout (c lui qui a été le plus fort, qui n'a jamais renoncé). J'ai eu des hauts et des bas... Mais au fil du temps, je me suis rendue compte d'une chose : on n'a qu'1 vie, et on en fait ce qu'on en veut, soit un enfer, soit une bonne vie.... Ca a mis du temps à émerger dans mon esprit : et là, apres mon mariage ( année 2005 : j'étais maigre pour ma marier, ma famille s'est demandé si je n'étais pas malade... bref, qd je revois les photos, j'ai les boules... Année rude entre la prépa du mariage et achat d'une maison), j'ai pris la décision de vivre! Donc j'ai été voir une diet, super gentille et compréhensive, et j'ai commencé à remanger, mais tt en faisant mes 7h de sport... je ne lui ai rien caché à ma diet, elle connait tout ce que je fais. J'ai repris du poids, j'étais heureuse, mon mari et mes parents aussi, ma diet super fière. Depuis, il y a eu des hauts et des bas, j'ai un peu remaigri, sans "vraiment" le vouloir, parce que je ne suivais plus trop les règles du bien manger : j'ai voulu diminuer le sport et donc insconsciemment diminuer ce que je mangeais... Mais auj ça va mieux : je m'accroche parce que ça vaut le coup!!!
Et je te jure que tout va bien aller pour toi : une rechute, qui n'en n'as pas eu? Pour tte sorte de dépendance, la clope, l'alcool... Une rechute, ce n'est rien, surtout si tu en es consciente!!
Allez, va de l'avant, pense à être heureuse, pense à toi (à ton corps, chouchoute le, il a aussi bcp souffert!), fais toi plaisir sans tomber dans l'excès. Quand on veut on peut : la volonté qu'on a eu de tt vouloir controler en est un exemple. On peut avoir cette même volonté pour s'en sortir!
Courage les filles : ON VA GAGNER et on aura notre bb!!
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- la 'tite Toulousaine Matinette
- Messages : 6313
- Enregistré le : 31 mars 2004, 00:00
- Localisation : la ville, rose ?
Une telle motivation fait plaisir à lire,
bien sûr que vous l'aurez, votre enfant.
On ne fait pas un bébé pour aller mieux mais on décide de donner naissance et d'élever un enfant parce qu'on va mieux... et c'est ce que je crois lire ici, bonne chance. Essayez de ne pas être trop impatiente, attendre d'être soi-même vraiment bien à tous points de vue. C'est facile à dire de ne pas focaliser...
Enfin, je ne suis pas spécialiste du sujet.
bien sûr que vous l'aurez, votre enfant.
On ne fait pas un bébé pour aller mieux mais on décide de donner naissance et d'élever un enfant parce qu'on va mieux... et c'est ce que je crois lire ici, bonne chance. Essayez de ne pas être trop impatiente, attendre d'être soi-même vraiment bien à tous points de vue. C'est facile à dire de ne pas focaliser...
Enfin, je ne suis pas spécialiste du sujet.
Bonjour laurence
Merci pour ta réponse pleine de bon sens : on ne fait pas un enfant pour guérir, mais faire un enfant est l'aboutissement de la guérison!!!
Enfin, je l'espère... je me pose tjs la même question : en guérit vraiment totalement un jour? Je pense très sincèrement que l'on garde malheureusement tjs de vieux réflexes, qu'il faut combattre au quotidien.. je ne sais pas de quoi tu souffres, mais je pense que tu seras d'accord avec moi : c un combat quotidien, et chaque petite victoire est un grand bohneur!
En tous les cas, un truc pour se motiver : même si vous êtes encore jeune (moi, j'ai 26 ans), pensez à plus tard, quand vous aurez envie d'avoir un enfant... Le corps est une machine, qui se reconstruit certes, mais ça prend du temps. Alors commencez maintenant : j'aimerai pouvoir vous donner la même volonté que je ressens actuellement. Dès que vous rendrez compte que, non seulement vous avez tout pour être heureuse acr le bohneur dépend de vous seules, et que vous n'avez pas de problèmes surtout comparé aus personnes atteintes de maladies types cancers ect, vous vous en sortirez!
COURAGE, BATTEZ VOUS CONTRE VOUS MEME!!!
Merci pour ta réponse pleine de bon sens : on ne fait pas un enfant pour guérir, mais faire un enfant est l'aboutissement de la guérison!!!
Enfin, je l'espère... je me pose tjs la même question : en guérit vraiment totalement un jour? Je pense très sincèrement que l'on garde malheureusement tjs de vieux réflexes, qu'il faut combattre au quotidien.. je ne sais pas de quoi tu souffres, mais je pense que tu seras d'accord avec moi : c un combat quotidien, et chaque petite victoire est un grand bohneur!
En tous les cas, un truc pour se motiver : même si vous êtes encore jeune (moi, j'ai 26 ans), pensez à plus tard, quand vous aurez envie d'avoir un enfant... Le corps est une machine, qui se reconstruit certes, mais ça prend du temps. Alors commencez maintenant : j'aimerai pouvoir vous donner la même volonté que je ressens actuellement. Dès que vous rendrez compte que, non seulement vous avez tout pour être heureuse acr le bohneur dépend de vous seules, et que vous n'avez pas de problèmes surtout comparé aus personnes atteintes de maladies types cancers ect, vous vous en sortirez!
COURAGE, BATTEZ VOUS CONTRE VOUS MEME!!!