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Bonjour,
je suis la maman d'une jeune fille anorexique mentale restritive depuis deux ans ...
J'aimerai vous poser cette question, (depuis deux ans je me déméne pour comprendre, apprendre et connaitre cette maladie ... je sais que c'est une maladie....)
- Pour vous , vous êtes dans une maladie et vous en avez conscience ou
- Pour vous c'est plutôt un mode de vie ou ça l'est devenu
- vous vous posez plus vraiment la question, c'est comme cela est ça vous dérange pas ...
- vous avez pas ou plus conscience du danger
- ou vous pensez que tout ce que j'ai noté, c'est des étapes ...
Merci de vos réponses
Bonjour,
je suis la maman d'une jeune fille anorexique mentale restritive depuis deux ans ...
J'aimerai vous poser cette question, (depuis deux ans je me déméne pour comprendre, apprendre et connaitre cette maladie ... je sais que c'est une maladie....)
- Pour vous , vous êtes dans une maladie et vous en avez conscience ou
- Pour vous c'est plutôt un mode de vie ou ça l'est devenu
- vous vous posez plus vraiment la question, c'est comme cela est ça vous dérange pas ...
- vous avez pas ou plus conscience du danger
- ou vous pensez que tout ce que j'ai noté, c'est des étapes ...
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- arkanciel
- L'étincelle d'Enfine
- Messages : 534
- Enregistré le : 25 nov. 2004, 01:00
- Localisation : Paname
Pareil, je "vis" (je devrais plutôt dire survis) avec, parce que je n'ai pas le choix. Au début j'ai cru que si j'en avais conscience (que c'était une maladie), je pouvais définitivement m'en sortir, tirer un trait. Mais ce n'est pas si simple...
J'essaie de comprendre depuis ce qu'essaie de me "dire" le symptôme, pourquoi je me détruis, quel rapport cela a avec mes proches (car cela en a un gros, inévitablement). Mais entre savoir et accepter, il y a un grand fossé, que je n'arrive malheureusement tjs pas à franchir. Alors en attendant, j'essaie de continuer, je construie tant bien que mal un pont avec l'aide de ma doc et de ma psy.
Je vous souhaite bcp de courage, car je sais que tout cela est très dur à vivre pour l'entourage aussi. Pensées.
J'essaie de comprendre depuis ce qu'essaie de me "dire" le symptôme, pourquoi je me détruis, quel rapport cela a avec mes proches (car cela en a un gros, inévitablement). Mais entre savoir et accepter, il y a un grand fossé, que je n'arrive malheureusement tjs pas à franchir. Alors en attendant, j'essaie de continuer, je construie tant bien que mal un pont avec l'aide de ma doc et de ma psy.
Je vous souhaite bcp de courage, car je sais que tout cela est très dur à vivre pour l'entourage aussi. Pensées.
-
- la 'tite Toulousaine Matinette
- Messages : 6313
- Enregistré le : 31 mars 2004, 00:00
- Localisation : la ville, rose ?
J'avais écrit une longue réponse hier puis une déconnexion m'a fait perdre mon message... je reprends aujourd'hui.
Juste d'abord ajouter que nos avis sont naturellement subjectifs, et même si nous présentons tous ici des troubles du comportement alimentaire (non je ne dis pas maladie...), nous les vivons plus ou moins différemment et avons des avis non homogènes sur la question.
Je pense que si, nous avons le choix... à nous d'avoir le courage d'accepter voir changer les choses, aussi. Même s'il est évident que tout cela n'est pas simple.
C'est généreux et témoignant de votre amour pour votre fille que de venir ici... tenter de comprendre ce que nous même ne comprenons pas forcément.
Aujourd'hui on entend parler de mouvement "pro-ana", c'est révoltant. Je n'ai jamais vu l'anorexie comme un mode de vie. Effectivement, à une période (longue), j'emploierai votre phrase "c'est comme ça, ça ne me dérange pas" parce qu'avouons-le l'anorexie provoque un sentiment de maîtrise voire d'une relative toute puissance dont il est difficile de se détacher. Maintenant il est clair que dernière ça, se cache souvent une personne perdue, et diverses choses propres à sa situation.
J'ai été anorexique, quatre ans, sévèrement, puis presque du jour au lendemain, les crises de boulimie (sans vomissements) sont apparues, sans que je ne contrôle rien me semble-t-il, et c'est encore le cas aujourd'hui...
La conscience du danger... je l'entendais assez... je le savais... delà à en avoir réellement conscience... peut-être pas.
Des étapes, peut-être aussi.
Bon courage à vous et à elle.
Juste d'abord ajouter que nos avis sont naturellement subjectifs, et même si nous présentons tous ici des troubles du comportement alimentaire (non je ne dis pas maladie...), nous les vivons plus ou moins différemment et avons des avis non homogènes sur la question.
Je pense que si, nous avons le choix... à nous d'avoir le courage d'accepter voir changer les choses, aussi. Même s'il est évident que tout cela n'est pas simple.
C'est généreux et témoignant de votre amour pour votre fille que de venir ici... tenter de comprendre ce que nous même ne comprenons pas forcément.
Aujourd'hui on entend parler de mouvement "pro-ana", c'est révoltant. Je n'ai jamais vu l'anorexie comme un mode de vie. Effectivement, à une période (longue), j'emploierai votre phrase "c'est comme ça, ça ne me dérange pas" parce qu'avouons-le l'anorexie provoque un sentiment de maîtrise voire d'une relative toute puissance dont il est difficile de se détacher. Maintenant il est clair que dernière ça, se cache souvent une personne perdue, et diverses choses propres à sa situation.
J'ai été anorexique, quatre ans, sévèrement, puis presque du jour au lendemain, les crises de boulimie (sans vomissements) sont apparues, sans que je ne contrôle rien me semble-t-il, et c'est encore le cas aujourd'hui...
La conscience du danger... je l'entendais assez... je le savais... delà à en avoir réellement conscience... peut-être pas.
Des étapes, peut-être aussi.
Bon courage à vous et à elle.
merci beaucoup de vos réposes ...
je ressens ce même " mal" cette même emprise...
Pourquoi ne pas lacher ?
Pourquoi certaine arrive et d'autres pas ?
Combien de temps ?
Avez vous l'impression que votre entourage vous a aidé ? Qu'on a pris les bonnes " méthodes " pour vous aider à vous en sentir ?
toujours des questions, je sais je suis comme celà désolé ... je veux toujours comprendre, espérer !
merci beaucoup

je ressens ce même " mal" cette même emprise...
Pourquoi ne pas lacher ?
Pourquoi certaine arrive et d'autres pas ?
Combien de temps ?
Avez vous l'impression que votre entourage vous a aidé ? Qu'on a pris les bonnes " méthodes " pour vous aider à vous en sentir ?
toujours des questions, je sais je suis comme celà désolé ... je veux toujours comprendre, espérer !
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- la 'tite Toulousaine Matinette
- Messages : 6313
- Enregistré le : 31 mars 2004, 00:00
- Localisation : la ville, rose ?
Je trouve que c'est très belle et juste phrase.Coralie a écrit :trouver plus d'intérêt dans la vie que dans les symptômes
Maintenant il faut aussi se (nous) donner les moyens (et on n'imagine pas tout ce qu'une dénutrition inhibe) de mettre en oeuvre cette "renaissance" (comme vous l'avez dit dans l'autre même post) au lieu d'attendre un déclic peut-être utopique, ou de se dire que le corps suivra quand la tête ira, c'est une façon (que j'ai pratiqué) de faire l'autruche parce que cet état peut apparaître complaisant.
- arkanciel
- L'étincelle d'Enfine
- Messages : 534
- Enregistré le : 25 nov. 2004, 01:00
- Localisation : Paname
Oui, moi aussi je trouve cette phrase très belle et très juste. Derrière le symptôme se cache surtout une profonde souffrance, plus de projets, plus de liens, plus d'envie, plus de vie. moi je dirais que le symptôme sert à "cristalliser" notre peur de vivre, nos angoisses, nos souffrances...
Je me suis mal exprimée qd j'ai dit "je n'ai pas le choix", bien sûr que nous l'avons, mais ce n'est pas conscient. Mais c'est vrai que pour moi, l'anorexie pose fondamentalement la question du choix: celui de vivre ou de mourir. Et vivre, sa prore vie, pour soi, c'est d'abord arriver à se "détacher" de ses parents. Et cela est très difficile, encore plus dans certains contextes familiaux et chez certaines personnes, plus sensibles.
Quand je disais "je n'ai pas le choix", cela ne voulait absolument pas dire que je ne crois plus guérir, bien au contraire! Simplement, je sais que ce sera encore long, et maintenant au lieu de tout laisser tomber à chaque fois que j'ai un coup dur, je me relève et j'essaie de continuer à fonctionner. De vivre le plus possible comme tout le monde.
Je me suis mal exprimée qd j'ai dit "je n'ai pas le choix", bien sûr que nous l'avons, mais ce n'est pas conscient. Mais c'est vrai que pour moi, l'anorexie pose fondamentalement la question du choix: celui de vivre ou de mourir. Et vivre, sa prore vie, pour soi, c'est d'abord arriver à se "détacher" de ses parents. Et cela est très difficile, encore plus dans certains contextes familiaux et chez certaines personnes, plus sensibles.
Quand je disais "je n'ai pas le choix", cela ne voulait absolument pas dire que je ne crois plus guérir, bien au contraire! Simplement, je sais que ce sera encore long, et maintenant au lieu de tout laisser tomber à chaque fois que j'ai un coup dur, je me relève et j'essaie de continuer à fonctionner. De vivre le plus possible comme tout le monde.
- Gwen
- Respectable Enfinien
- Messages : 1472
- Enregistré le : 01 avr. 2005, 00:00
- Localisation : Bretagne
Bonjour Jeanne!
Je suis actuellement hospitalisée pour troubles du comportement alimentaire, en autre, l'anorexie!!
Et j'ai pu lire votre temoignage concernant votre fille...
En ce qui concerne vos interrogations, je suis tout a fait d'accord ac tout ce qui vient d'etre ecrit, et surtout, oui, le plus important, c'est de retrouver des envies!!!!
Je suis arrivée le 18 juillet ds le centre ou je suis actuellement hospitalisée et ici, on nous apprend à "lacher prise"!!!
Qu'il faut bcp bcp de patience, que l'on ne peut pas aller mieux du jour au lendemain alors que ca fait tellement lgps que l'on est ds un fonctionnement qui nous rassure.....
mais vous voyez, je suis arrivée ac la ferme intention d'enrayer cette maladie, ou du moins de progresser, et pour l'instant, tout ce que j'arrive à faire, c'est de perdre encore du poids....
Parce que l'anorexie est très très presente, au dessus de ma tête en me disant, "non, non, tu ne m'auras pas!!!"
j'ai l'impression qu'elle est encore plus forte qu'avt, mais c'est parce que j'essaye de la combattre qu'elle se montre si rebelle!!! Enfin, c'est ce qu'on me dit!!
En tout cas, ce qui est sur, c'est que c'est un trouble ou une maladie (ce mot ne me derange pas) et que l'on a pas tjs choisi......
Le plus important pour le moment, c'est de prendre conscience que l'on met notre corps en danger!!
Je suis desolée, j'ai l'impression d'ecrire un peu à coté de la plaque.....non, je sais que je suis ds le sujet , c'est juste que voilà, je suis trop faible et qd j'ecris un peu trop, j'arrive plus à me concentrer.......
:sad: :sad:
bref, je reviendrai à un autre moment....de tte facon, ca va etre l'heure du dejeuner!!
ds tous les cas, patience et courage....
et surtout montrez lui que vous l'aimez votre fille, Christelle mais pas le coté anorexique!!
a bientot
:voeux: :voeux:
Je suis actuellement hospitalisée pour troubles du comportement alimentaire, en autre, l'anorexie!!
Et j'ai pu lire votre temoignage concernant votre fille...
En ce qui concerne vos interrogations, je suis tout a fait d'accord ac tout ce qui vient d'etre ecrit, et surtout, oui, le plus important, c'est de retrouver des envies!!!!
Je suis arrivée le 18 juillet ds le centre ou je suis actuellement hospitalisée et ici, on nous apprend à "lacher prise"!!!
Qu'il faut bcp bcp de patience, que l'on ne peut pas aller mieux du jour au lendemain alors que ca fait tellement lgps que l'on est ds un fonctionnement qui nous rassure.....
mais vous voyez, je suis arrivée ac la ferme intention d'enrayer cette maladie, ou du moins de progresser, et pour l'instant, tout ce que j'arrive à faire, c'est de perdre encore du poids....

Parce que l'anorexie est très très presente, au dessus de ma tête en me disant, "non, non, tu ne m'auras pas!!!"

j'ai l'impression qu'elle est encore plus forte qu'avt, mais c'est parce que j'essaye de la combattre qu'elle se montre si rebelle!!! Enfin, c'est ce qu'on me dit!!
En tout cas, ce qui est sur, c'est que c'est un trouble ou une maladie (ce mot ne me derange pas) et que l'on a pas tjs choisi......
Le plus important pour le moment, c'est de prendre conscience que l'on met notre corps en danger!!
Je suis desolée, j'ai l'impression d'ecrire un peu à coté de la plaque.....non, je sais que je suis ds le sujet , c'est juste que voilà, je suis trop faible et qd j'ecris un peu trop, j'arrive plus à me concentrer.......

bref, je reviendrai à un autre moment....de tte facon, ca va etre l'heure du dejeuner!!

ds tous les cas, patience et courage....
et surtout montrez lui que vous l'aimez votre fille, Christelle mais pas le coté anorexique!!
a bientot

- arkanciel
- L'étincelle d'Enfine
- Messages : 534
- Enregistré le : 25 nov. 2004, 01:00
- Localisation : Paname
Je pense que c'est aussi une bonne chose de ne pas (ds la mesure du possible, du vivable pour tous) "céder" au symptôme. ça vous bouffe une famille. Perso c 'est ce qu'a fait ma mère et ça m'a aidé. Elle a refusé que je passe des heures ds la cuisine à faire à manger pour les autres, à parler sans cesse de bouffe, ou à imposer à table un "menu d'ano". ça ne guérit pas bien sur, mais au moins elle me montrait qu"elle ne cautionnait pas le coté manipulateur de la maladie, et ça lui a permis aussi de ne pas sombrer elle aussi, parce qu'il n'y a rien de mieux qu'une anorexique en face de soi pour avoir l'appétit coupé et être déprimée. En me montrant qu'elle m'aimait car elle a toujours été là mais qu'elle continuait sa vie, malgré le fait que je me laisse crever, m'a fait plus vite prendre conscience que je me détruisais.
Je sais que le fait d'avoir des TCA, eh bien je sais que ça la rend malade et elle ne manque pas de le dire. En fait, j'ai un comportement spécial avec la nourriture, je ne me sens pas malade mais c'est elle qui s'en rend malade comme à chaque fois qu'un mal atteignait ses enfants.mais elle elle a pris son parti ce qui n'est pas plus mal car au bout du compte chacun vit sa vie.
J'ai l'impression qu'en ne lachant pas prise, c'est une manière de lui dire, ben débrouille toi, tu te dis être malade de mon comportement, à toi de faire en sorte d'aller mieux ce n'est pas à moi de gérer et calmer tes angoisses.
Quand elle a su que j'avais des TCA la seule chose qu'elle m'a dit connaître de la maladie c'est : Eh oui ! je sais , tu peux en mourir !
jE lui ai répondu EHHHHHHHHHHHH Zennnnn ne dramatisais pas !!!!!!!!!
Je le ressens ainsi, plus elle jouera sa déprimée plus je resterais dans les TCA.
- arkanciel
- L'étincelle d'Enfine
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- Enregistré le : 25 nov. 2004, 01:00
- Localisation : Paname
Oui, après 5 ans de maladie, c'est pareil aussiCoralie a écrit : Personne ne peut coller ses pattes dans ma bouffe ou sous mon contrôle et c très bien comme ça.

Ma mère me l'a dit d'ailleurs l'autre jour "oh ça fait longtemps que j'ai arrêté de m'occuper de ce que tu manges"

Tant pis, c'est comme ça, on partage d'autres moments. Et j'évite au maximum de lui faire subir mon symptôme ou d'en parler.
Pour les soirées entre copines (enfin, faut encore qu'elles se rappelent que je suis revenue, lol, et moi que je réponde

Bises Coralie
- arkanciel
- L'étincelle d'Enfine
- Messages : 534
- Enregistré le : 25 nov. 2004, 01:00
- Localisation : Paname
[quote="Coralie"]
finalement, je vais m'intéresser aussi bien à l'oral qu'à l'..... nan j'peux pas....
c ça le hic dans cette thérapie c qu'il faut se lâcher sur tout sans se dire, je vais dire des choses pas comme il faut....et ça j'ai du mal...dommage car dans le fond, je sais sur quoi je devrais tenter de me lâcher mais j'ai trop peur de me souiller verbalement: mais paraît que ça nettoie ça !
quote]
oui, de même, je suis "bloquée"
, pffff, quelle m****! Je sais pourtant que ça m'aiderait.Si ça veut à ce point pas "sortir" c'est bien qu'il y a quelque chose à en dire...
Sympa, l'histoire du livre, très joli, très poétique
. Puis ça me fait rudement plaisir que tu aies eu une pensée pour moi, c'est très gentil. Tellement l'impression d'etre transparente et inconsistante en ce moment.
Je t'embrasse
finalement, je vais m'intéresser aussi bien à l'oral qu'à l'..... nan j'peux pas....
c ça le hic dans cette thérapie c qu'il faut se lâcher sur tout sans se dire, je vais dire des choses pas comme il faut....et ça j'ai du mal...dommage car dans le fond, je sais sur quoi je devrais tenter de me lâcher mais j'ai trop peur de me souiller verbalement: mais paraît que ça nettoie ça !
quote]
oui, de même, je suis "bloquée"

Sympa, l'histoire du livre, très joli, très poétique

Je t'embrasse
quand la maladie de ma fille a commencé, j'ai revue ce thérapeute, qui m'a écouté. a la fin il m'a dit madame, vous n'avez pas besoin de moi, vous faites tout toutes seule ...
j'ai pas compris, maintenant oui, j'ai tout mis à plat et je continue ...
je bne suis pa parfaite, juste consciente.
chez moi c'est pas une spirale , c'est un tourbillon, la tempete de ma vie est passée. ... je pense avoir pansé mes blessures.
seule ma fille peut m'éclairer sur elle ...
j'ai pas compris, maintenant oui, j'ai tout mis à plat et je continue ...
je bne suis pa parfaite, juste consciente.
chez moi c'est pas une spirale , c'est un tourbillon, la tempete de ma vie est passée. ... je pense avoir pansé mes blessures.
seule ma fille peut m'éclairer sur elle ...
oui mais il est bon parfois d'avoir un 2eme avis par ce qu'on a beau ce remettre en question et auto-analyser etc...etc...
ben il y a quand même nos souffrances qu'elles engendre et le reste avec
c'est bien de réaliser que l'on n'ai pas parfaite mais consciente
mais ça n'enlève pas la douleur que vous ressentez et les quelques questions que vous vous posez soit sur la maladie soit sur vous
bon courage pour cette longue route déjà bien commencer
bien amicalement ninou
ben il y a quand même nos souffrances qu'elles engendre et le reste avec
c'est bien de réaliser que l'on n'ai pas parfaite mais consciente
mais ça n'enlève pas la douleur que vous ressentez et les quelques questions que vous vous posez soit sur la maladie soit sur vous
bon courage pour cette longue route déjà bien commencer
bien amicalement ninou
et puis on a tellement raconté notre vie, la mienne à tellement de gens depuis 2 ans. A vous , enfin ds d'autre forum, je crois que j'ai passé ces dernières années à parler, analyser ..;
j'ai l'impression de radoter maintenant ..;
d'ailleurs je lis beaucoup de post, et je reponds pas car, lit-on vraiment ?
Je me suis prise la tete avec une jeune femme sur un autre forum pendant longtemps; Elle voulait me faire comprendre, et moi d'une autre coté, je ne pouvais pas accepter ou laisser couler , malgré tout on s'est beaucoup aider, son discourt aujourd'hui est différent, mais elle est toujours malade. Dans le déni, mais consciente aujourd'hui ... on est devenu de véritables amies. et quand on a des personnes , une amie avec qui on parle, on analyse, c'est mieux qu'un psy ... enfin pour moi ..
bises et bon WE
j'ai l'impression de radoter maintenant ..;
d'ailleurs je lis beaucoup de post, et je reponds pas car, lit-on vraiment ?
Je me suis prise la tete avec une jeune femme sur un autre forum pendant longtemps; Elle voulait me faire comprendre, et moi d'une autre coté, je ne pouvais pas accepter ou laisser couler , malgré tout on s'est beaucoup aider, son discourt aujourd'hui est différent, mais elle est toujours malade. Dans le déni, mais consciente aujourd'hui ... on est devenu de véritables amies. et quand on a des personnes , une amie avec qui on parle, on analyse, c'est mieux qu'un psy ... enfin pour moi ..
bises et bon WE