Là où je M'emmènerai..............
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Merci de prendre connaissance de la Netiquette d'Enfine avant toute consultation ou utilisation.
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Dur dur cette semaine.
Contente qu'elle soit finie.
Mais malgré tout contente de ma semaine.
Des points positifs,
des durs durs mais qui ne me procureront que des bénéfices.
Une bonne chose, je ne peux pas dire qu'il y ait eu du négatif.
Une question qui me travaille sans cesse mais que je poserai sur un autre post.
Vie privée rien à dire.
Mais par contre !!! collègue de boulot
J'en ai déjà donné un aperçu. Elle ne changera pas.
Un copier-coller de ma mère sur de nombreux points.
Donc, de quoi tester pour le futur........
Je me rends compte qu'en quelques mois, j'ai énormément évolué sur ce point.
Je m'affirme de plus en plus, même si c'est encore difficile
Déjà, elle me fait de moins en moins peur.
J'arrive à ne plus faiblir devant elle, et ça , je sais que c'est un énorme pas.
Par contre, je l'avoue, dès qu'elle était partie j'ai craqué, je n'en pouvais plus.
Elle pense m'avoir coincé, me voir fléchir. Eh bien ! elle se trompe !!!
Elle a commencé la semaine dernière par me descendre auprès des collègues parce qu'il fallait qu'elle me rétrocède une tâche, en me narguant. Je n'ai rien relevé, resté de glace et d'une totale indifférence face à ses yeux.
Cette attitude de ma part je savais qu'elle me la facturerait d'une manière ou d'une autre. C'est aujourd'hui, qu'elle me l'a adressée.........
Ce n'est pas moi qui lui vole, c'est la direction qui lui retire et me la rétrocède, de un, parce que ce n'était pas dans ses tâches, de deux, parce que justement elle est plus que noyée et manque totalement d'organisation.
Ne pas transmettre l'information pour que je ne puisse réaliser un travail !!!!!!
M'avoir surchargé de tâches en pensant que je me sentirai noyée
Vous ne me croirez peut être pas, mais j'ai accepté tout ce qu'elle m'a filé, concernée ou pas, sans broncher, pas un mot, rien, ni oui oui , ni non , ni rien, ni M-----. Je vous dirais qu'elle pestait plus que moi !!!!!!
Mais qu'elle se trompe, j'ai appris à nager.......... et question vitesse et organisation de boulot et de reprise de souffle, j'ai une longueur d'avance sur elle.......
Qui rira bien , rira le dernier !!!!!
Je ne faiblirais pas, têtue je suis, têtue je resterais.
Surtout quand c'est pour la bonne cause.
En faisant le maximum pour ne pas faire d'erreurs, (afin de comme on dit : lui boucher un coin) je m'accorderais quand même une très très petite marge d'erreurs. Elle est humaine. Mais la perfection, reste mon objectif.
En plus, elle le sait, (je n'aime pas m'en vanter) mais j'ai le soutien et l'aide de la directrice.
Cela dit, si j'ai son appui et son aide, et ce uniquement pour me donner la possibilité de réussir dans mon travail c'est justement qu'elle n'est pas dupe. Nous sommes elle et moi nouvelles, et sommes montées à la même période sur ce bâteau qui divaguait au gré du vent.
Toutes deux, nous fonctionnons avec le même objectif, et le pire c'est que ça marche.
Il n'y a pas, des gens (méchants ou bons) se présentent sur votre chemin au bon moment.
A coté de cela que dire de ces mamies qui me disent qu'elles veulent rester dans cet établissement avec moi. Qu'elles n'aiment pas quand je pars le soir, ou le week end, qu'elles ont peur que je les abandonne.
Qu'elle m'aime bien. Que dire !!!! comment les croire, alors que ma mère ne
cesse de clamer que je la détruis, que je n'ai été que sa source de souffrances............
Non, je n'aime pas me vanter de cela, mais c'est cette comparaison
que j'ai du mal à accepter. Comment arriver à recevoir leur amour,
leur sincérité, leur naturel ?????????? Tout ceci évidemment m'est offert
sans condition, gratuitement. Alors que ma mère c'était : ""Après tout ce que j'ai fait pour toi !!!!!!!!!!!!!""" Quel est le prix maman ?????????
Quand aurai-je fini de payer ma dette ??????
Cet amour inconditionnel, enfin, je le donne comme je l'ai toujours donné,
mais voilà maintenant qu'on m'en offre, comment l'accepter ????
Oh regarder à quoi m'amène cette question :
- Comment accepter un CADEAU ??????
Un cadeau est gratuit, j'ai toujours eu beaucoup de mal à accepter un cadeau. Eh oui, je le comprends à présent , les cadeaux de ma mère n'étaient pas des cadeaux, c'était tout simplement un anneau, car ses cadeaux n'étaient pas gratuits. J'en étais toujours redevables de quelques manières que ce soit ( Après tout ce que j'ai fait pour toi !!!!!!!)
Oh dans ce job, je rencontre plusieurs types de personnes :
- Les vraies qui me veulent et me donnent du bien
- les méchantes qui me posent des obstacles sur mon chemin en espérant que je m'y casse le nez
- Les vraies qui viennent puiser en moi ce qui leur manque et que je leur offre naturellement sans me poser de questions
- les vraies qui m'offrent gratuitement leur aide, qui me reconnaissent des qualités.
Tout ce que je viens de dire de moi, ce n'est pas me vanter. Ce sont ces personnes vraies qui m'aident sans le savoir, à ce que je trouve en moi cette confiance que je n'ai jamais eu......... cette confiance à laquelle je n'y croyais pas........ un peu à la fois, je me rends compte que je vaux quelque chose, que j'ai quelques qualités (même si j'ai des défauts).
Ces personnes sont là pour m'aider à me reconstruire mais aussi à trouver la force pour ne pas céder aux autres qui n'aspirent qu'à l'inverse.
Pourquoi des gens aussi méchants, pourquoi, pourquoi ??????????
J'ai déversé beaucoup de mes réflexions, j'en avais besoin.
Vivalavie
Contente qu'elle soit finie.
Mais malgré tout contente de ma semaine.
Des points positifs,
des durs durs mais qui ne me procureront que des bénéfices.
Une bonne chose, je ne peux pas dire qu'il y ait eu du négatif.
Une question qui me travaille sans cesse mais que je poserai sur un autre post.
Vie privée rien à dire.
Mais par contre !!! collègue de boulot
J'en ai déjà donné un aperçu. Elle ne changera pas.
Un copier-coller de ma mère sur de nombreux points.
Donc, de quoi tester pour le futur........
Je me rends compte qu'en quelques mois, j'ai énormément évolué sur ce point.
Je m'affirme de plus en plus, même si c'est encore difficile
Déjà, elle me fait de moins en moins peur.
J'arrive à ne plus faiblir devant elle, et ça , je sais que c'est un énorme pas.
Par contre, je l'avoue, dès qu'elle était partie j'ai craqué, je n'en pouvais plus.
Elle pense m'avoir coincé, me voir fléchir. Eh bien ! elle se trompe !!!
Elle a commencé la semaine dernière par me descendre auprès des collègues parce qu'il fallait qu'elle me rétrocède une tâche, en me narguant. Je n'ai rien relevé, resté de glace et d'une totale indifférence face à ses yeux.
Cette attitude de ma part je savais qu'elle me la facturerait d'une manière ou d'une autre. C'est aujourd'hui, qu'elle me l'a adressée.........
Ce n'est pas moi qui lui vole, c'est la direction qui lui retire et me la rétrocède, de un, parce que ce n'était pas dans ses tâches, de deux, parce que justement elle est plus que noyée et manque totalement d'organisation.
Ne pas transmettre l'information pour que je ne puisse réaliser un travail !!!!!!
M'avoir surchargé de tâches en pensant que je me sentirai noyée
Vous ne me croirez peut être pas, mais j'ai accepté tout ce qu'elle m'a filé, concernée ou pas, sans broncher, pas un mot, rien, ni oui oui , ni non , ni rien, ni M-----. Je vous dirais qu'elle pestait plus que moi !!!!!!
Mais qu'elle se trompe, j'ai appris à nager.......... et question vitesse et organisation de boulot et de reprise de souffle, j'ai une longueur d'avance sur elle.......
Qui rira bien , rira le dernier !!!!!
Je ne faiblirais pas, têtue je suis, têtue je resterais.
Surtout quand c'est pour la bonne cause.
En faisant le maximum pour ne pas faire d'erreurs, (afin de comme on dit : lui boucher un coin) je m'accorderais quand même une très très petite marge d'erreurs. Elle est humaine. Mais la perfection, reste mon objectif.
En plus, elle le sait, (je n'aime pas m'en vanter) mais j'ai le soutien et l'aide de la directrice.
Cela dit, si j'ai son appui et son aide, et ce uniquement pour me donner la possibilité de réussir dans mon travail c'est justement qu'elle n'est pas dupe. Nous sommes elle et moi nouvelles, et sommes montées à la même période sur ce bâteau qui divaguait au gré du vent.
Toutes deux, nous fonctionnons avec le même objectif, et le pire c'est que ça marche.
Il n'y a pas, des gens (méchants ou bons) se présentent sur votre chemin au bon moment.
A coté de cela que dire de ces mamies qui me disent qu'elles veulent rester dans cet établissement avec moi. Qu'elles n'aiment pas quand je pars le soir, ou le week end, qu'elles ont peur que je les abandonne.
Qu'elle m'aime bien. Que dire !!!! comment les croire, alors que ma mère ne
cesse de clamer que je la détruis, que je n'ai été que sa source de souffrances............
Non, je n'aime pas me vanter de cela, mais c'est cette comparaison
que j'ai du mal à accepter. Comment arriver à recevoir leur amour,
leur sincérité, leur naturel ?????????? Tout ceci évidemment m'est offert
sans condition, gratuitement. Alors que ma mère c'était : ""Après tout ce que j'ai fait pour toi !!!!!!!!!!!!!""" Quel est le prix maman ?????????
Quand aurai-je fini de payer ma dette ??????
Cet amour inconditionnel, enfin, je le donne comme je l'ai toujours donné,
mais voilà maintenant qu'on m'en offre, comment l'accepter ????
Oh regarder à quoi m'amène cette question :
- Comment accepter un CADEAU ??????
Un cadeau est gratuit, j'ai toujours eu beaucoup de mal à accepter un cadeau. Eh oui, je le comprends à présent , les cadeaux de ma mère n'étaient pas des cadeaux, c'était tout simplement un anneau, car ses cadeaux n'étaient pas gratuits. J'en étais toujours redevables de quelques manières que ce soit ( Après tout ce que j'ai fait pour toi !!!!!!!)
Oh dans ce job, je rencontre plusieurs types de personnes :
- Les vraies qui me veulent et me donnent du bien
- les méchantes qui me posent des obstacles sur mon chemin en espérant que je m'y casse le nez
- Les vraies qui viennent puiser en moi ce qui leur manque et que je leur offre naturellement sans me poser de questions
- les vraies qui m'offrent gratuitement leur aide, qui me reconnaissent des qualités.
Tout ce que je viens de dire de moi, ce n'est pas me vanter. Ce sont ces personnes vraies qui m'aident sans le savoir, à ce que je trouve en moi cette confiance que je n'ai jamais eu......... cette confiance à laquelle je n'y croyais pas........ un peu à la fois, je me rends compte que je vaux quelque chose, que j'ai quelques qualités (même si j'ai des défauts).
Ces personnes sont là pour m'aider à me reconstruire mais aussi à trouver la force pour ne pas céder aux autres qui n'aspirent qu'à l'inverse.
Pourquoi des gens aussi méchants, pourquoi, pourquoi ??????????
J'ai déversé beaucoup de mes réflexions, j'en avais besoin.
Vivalavie
Merci Choubi
Je ne suis en aucun cas une Wonder Woman
Je suis Moi, rien de prétentieux, juste Moi le plus simplement du monde
Mais ce matin :
Même si j'arrive à prendre de la distance par rapport à cette personne,
l'inconscient lui n'est pas totalement convaincu.
Eh oui!!!! à deux heures du matin, il m'a tapé sur l'épaule et m'a
demandé ce que je déduisais de cette journée d'hier.
Ah cet inconscient, mais qui est conscient..........
Donc ce que j'en déduis, c'est que je me battrai, je ne lui laisserai pas cette victoire, comme ma mère...........
Bisous
Vivalavie
Je ne suis en aucun cas une Wonder Woman
Je suis Moi, rien de prétentieux, juste Moi le plus simplement du monde
Mais ce matin :
Même si j'arrive à prendre de la distance par rapport à cette personne,
l'inconscient lui n'est pas totalement convaincu.
Eh oui!!!! à deux heures du matin, il m'a tapé sur l'épaule et m'a
demandé ce que je déduisais de cette journée d'hier.
Ah cet inconscient, mais qui est conscient..........
Donc ce que j'en déduis, c'est que je me battrai, je ne lui laisserai pas cette victoire, comme ma mère...........
Bisous
Vivalavie
- vera
- Enfinien aguerri
- Messages : 764
- Enregistré le : 10 déc. 2004, 01:00
- Localisation : au-delà du mal-a-dit
- Contact :
Beaucoup d'interrogations auxquelles je n'ai pas de reponse.
Peut-être qu'il y a des "méchants" qui rejouent avec nous ce que d'autres leur a fait. Tu vois un copié collé de ta mère à travers ta collègue et peut-être qu'elle te voit comme sa mère ou une autre personne.
Oui, il on refait les mêmes types d'experience avec le même type de personne jusqu'à qu'on ait appris la "leçon" qui mettra en valeur certaines de nos qualités (la perseverance... etc).
Je pense que tu tiens le bon bout mais essaie de prendre du recul quand même.
Peut-être qu'il y a des "méchants" qui rejouent avec nous ce que d'autres leur a fait. Tu vois un copié collé de ta mère à travers ta collègue et peut-être qu'elle te voit comme sa mère ou une autre personne.
Oui, il on refait les mêmes types d'experience avec le même type de personne jusqu'à qu'on ait appris la "leçon" qui mettra en valeur certaines de nos qualités (la perseverance... etc).
Je pense que tu tiens le bon bout mais essaie de prendre du recul quand même.
- vera
- Enfinien aguerri
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- Enregistré le : 10 déc. 2004, 01:00
- Localisation : au-delà du mal-a-dit
- Contact :
En ce qui concerne la dette et les cadeaux, j'avais lu un livre interessant (j'avais travaillé sur le don et la dette en fac) :
La haine de la dette
Genre : Psychanalyse
Collection : Essais Payot
Pourquoi certaines personnes ont-elles le sentiment que tout leur est dû sans contrepartie ? Et pourquoi d’autres, au contraire, se vivent-elles comme d’éternelles débitrices ? Qu’il soit matériel (un cadeau) ou psychique (l’amour d’une mère pour son enfant), tout don crée une dette qui doit être apurée. Quand elle ne l’est pas, les ennuis commencent. Le plus à plaindre, alors, n’est pas forcément celui qu’on croit…
Gabrielle Rubin
Gabrielle Rubin, psychanalyste, membre de la Société psychanalytique de Paris, est notamment l’auteur, aux Éditions Payot, du Roman familial de Freud.
Bibliographie :
bon usage de la haine et du pardon (Du)
Pourquoi on en veut aux gens qui nous font du bien
La haine de la dette
Genre : Psychanalyse
Collection : Essais Payot
Pourquoi certaines personnes ont-elles le sentiment que tout leur est dû sans contrepartie ? Et pourquoi d’autres, au contraire, se vivent-elles comme d’éternelles débitrices ? Qu’il soit matériel (un cadeau) ou psychique (l’amour d’une mère pour son enfant), tout don crée une dette qui doit être apurée. Quand elle ne l’est pas, les ennuis commencent. Le plus à plaindre, alors, n’est pas forcément celui qu’on croit…
Gabrielle Rubin
Gabrielle Rubin, psychanalyste, membre de la Société psychanalytique de Paris, est notamment l’auteur, aux Éditions Payot, du Roman familial de Freud.
Bibliographie :
bon usage de la haine et du pardon (Du)
Pourquoi on en veut aux gens qui nous font du bien
Butterfly Kiss dit
Je suis maman moi aussi, et j'ai souvent "pester" car je faisais avec mes enfants ce que ma mère faisait ou avait fait avec moi. Parfois, les mêmes mots, les mêmes insultes, les mêmes comportements face à eux.
Je ne me culpabilise plus là dessus, je regrette oui, bien sûr, c'est évident.
Mais la thérapie m'a aidée, et il n'est jamais trop tard pour changer.
C'est cela le bon coté des choses. Cesser de reproduire sur les autres ce que d'autres ont fait sur nous et que nous n'acceptions pas.
Un jour elle m'avait parlé un peu de sa vie privé, avec ses parents......
Elle m'a aussi parlé du comportement de sa collègue supérieure vis à vis d'elle. Et c'est là , justement, elle n'a pas à reproduire sur moi ce qu'elle a vécu.
Comme tu as lu le livre d'Antony de Mello, tu comprendras mon expression : ""elle est endormie, et ne veut pas s'éveiller. ""
Elle avait déjà ""fait fuir" celle que je remplace à ce jour et qui m'avait confié qu'elle pleurait tous les soirs quand elle rentrait chez elle.
Elle m'avait souhaité, au moment de son départ, "bonne chance"
Eh oui, cette collègue devra choisir quelqu'un d'autre pour poser ses griffes.
Elle ne s'est pas encore bien rendu compte que j'avais, à présent et grâce à cette maladie et thérapie, des armes bien plus honnêtes et vraies, authentiques, qui ne sont pas là pour attaquer mais pour me protéger.
Mon bouclier est au fil des jours et des mois de plus en plus protecteur.
Je sais aussi, (de par le comportement de ma mère) que lorsqu'on s'oppose à ces personnes là, elles peuvent être très méchantes.
Donc, je reste sur mes gardes, mais ne chercherais nullement la lutte, ni la bagarre.
Ne jamais répondre à leurs attaques, rester indifférente les fais rager bien plus qu'on ne le penserait.
C'est cette confrontation avec le monde extérieur tout en étant encore épaulée, qui permet d'arriver à affronter ces duretés de la vie et/ou à l'inverse profiter des petits bonheurs.
Comme tu le dis, je le pense aussi, je tiens le bon bout.
Parfois je doute encore, il me semble bien loin.
Ces étapes de la vie permettent justement de pouvoir s'en approcher, pour finir, je l'espère, à l'atteindre.
Avide de lecture, je prends note du livre de Gabrielle Rubin.
Bisou amical
Vivalavie
Oui c'est un copier-coller.il y a des "méchants" qui rejouent avec nous ce que d'autres leur a fait. Tu vois un copié collé de ta mère à travers ta collègue et peut-être qu'elle te voit comme sa mère ou une autre personne.
Je suis maman moi aussi, et j'ai souvent "pester" car je faisais avec mes enfants ce que ma mère faisait ou avait fait avec moi. Parfois, les mêmes mots, les mêmes insultes, les mêmes comportements face à eux.
Je ne me culpabilise plus là dessus, je regrette oui, bien sûr, c'est évident.
Mais la thérapie m'a aidée, et il n'est jamais trop tard pour changer.
C'est cela le bon coté des choses. Cesser de reproduire sur les autres ce que d'autres ont fait sur nous et que nous n'acceptions pas.
Un jour elle m'avait parlé un peu de sa vie privé, avec ses parents......
Elle m'a aussi parlé du comportement de sa collègue supérieure vis à vis d'elle. Et c'est là , justement, elle n'a pas à reproduire sur moi ce qu'elle a vécu.
Comme tu as lu le livre d'Antony de Mello, tu comprendras mon expression : ""elle est endormie, et ne veut pas s'éveiller. ""
Elle avait déjà ""fait fuir" celle que je remplace à ce jour et qui m'avait confié qu'elle pleurait tous les soirs quand elle rentrait chez elle.
Elle m'avait souhaité, au moment de son départ, "bonne chance"
Eh oui, cette collègue devra choisir quelqu'un d'autre pour poser ses griffes.
Elle ne s'est pas encore bien rendu compte que j'avais, à présent et grâce à cette maladie et thérapie, des armes bien plus honnêtes et vraies, authentiques, qui ne sont pas là pour attaquer mais pour me protéger.
Mon bouclier est au fil des jours et des mois de plus en plus protecteur.
Je sais aussi, (de par le comportement de ma mère) que lorsqu'on s'oppose à ces personnes là, elles peuvent être très méchantes.
Donc, je reste sur mes gardes, mais ne chercherais nullement la lutte, ni la bagarre.
Ne jamais répondre à leurs attaques, rester indifférente les fais rager bien plus qu'on ne le penserait.
C'est cette confrontation avec le monde extérieur tout en étant encore épaulée, qui permet d'arriver à affronter ces duretés de la vie et/ou à l'inverse profiter des petits bonheurs.
Comme tu le dis, je le pense aussi, je tiens le bon bout.
Parfois je doute encore, il me semble bien loin.
Ces étapes de la vie permettent justement de pouvoir s'en approcher, pour finir, je l'espère, à l'atteindre.
Avide de lecture, je prends note du livre de Gabrielle Rubin.
Bisou amical
Vivalavie
Journée horrible hier.
La migraine a commencé du matin, sans que j'y prête attention.
Une douleur dans le haut du dos (faux mouvement) plus la migraine,
les deux conjugés ont fait que la seconde moitié de la journée a été l'horreur.
Rentrée du boulot, d'abord soulager l'estomac qui, comme d'hab, ne fonctionne pas
convenablement avec la migraine,
puis au lit. Une tête comme une caisse de résonance.
Tout le charivari des derniers jours en sont probablement pour quelque chose.......
Et pour finir.......... Ce matin, un peu gueule de bois mais ça va aller pour bosser.
C'est reparti pour un tour........ allez GO...............
Vivalavie
La migraine a commencé du matin, sans que j'y prête attention.
Une douleur dans le haut du dos (faux mouvement) plus la migraine,
les deux conjugés ont fait que la seconde moitié de la journée a été l'horreur.
Rentrée du boulot, d'abord soulager l'estomac qui, comme d'hab, ne fonctionne pas
convenablement avec la migraine,
puis au lit. Une tête comme une caisse de résonance.
Tout le charivari des derniers jours en sont probablement pour quelque chose.......
Et pour finir.......... Ce matin, un peu gueule de bois mais ça va aller pour bosser.
C'est reparti pour un tour........ allez GO...............
Vivalavie
Ben voilà
Hier encore une douleur horrible dans le dos et l'épaule.
Ce qui est identique au nerf sciatique mais du haut du dos
J'ai quand même tenu la journée au boulot
mais après être parti, c'était l'inondation . Toutes les larmes que j'avais retenues depuis plus de deux mois se sont vidées.....
J'ai pleuré tout ce que j'ai pu, le moindre mouvement du bras me faisait hurler.
Ce matin, vous ne me croirez pas : PLUS RIEN DE RIEN !!!!!!!!!!
Ce que j'en déduis :
- Stress accumulé depuis des semaines (2mois) par rapport à ma mère, mon père et mes soeurs
- Stress de la tension au boulot
- mais surtout, et là c'est surement la cause principale : mon anniversaire !!!!!!!
Eh oui !!! d'un coté, je ne voulais en aucun cas recevoir signe de vie de ma mère, étant donné que j'ai fermé la porte. c'était une manière de me dire qu'elle respectait mon choix, bien qu'elle le voit d'un autre oeil.
par contre, j'espérais quand même un signe de vie, où elle m'aurait dit : ben j'me rends compte que j'ai peut être une part de responsabilité et suis prête à t'écouter...............
Ben rien , rien de rien.......... Ni de mes parents ni mes soeurs........
Donc je continue mon chemin, et comprends que je ne dois plus attendre.
Mon bonheur se trouve ailleurs.
Les bonnes nouvelles :
- mail reçu de ma nièce dont je parlais dans l'autre post (je lui ai demandé quand la joindre pour lui parler.............. Donc dans un sens soulagement, un pas de franchi, reste à lui parler, mais ça ira.....)
- d'autres coups de fil et mail pour mon anniv
- vos messages sur mon anniv
- une amie qui m'a écouté pleurer et crier toute la douleur que j'avais
- et aujourd'hui j'ai réussi à clôturer ce boulot nickel, et j'en suis plus que ravie
- et ce soir !!!!!!!! une carte au courrier , de ma marraine pour mon anniv.... que je pensais ne pas recevoir cette année. Comme quoi, faut parfois laisser faire les choses plutôt que d'imaginer d'avance........... On peut se tromper.........
Donc ce mal de ""dos"" qui m'a fait tant souffrir et verser de larmes ces deux derniers jours, je suis persuadée que ce n'était que la souffrance d'une maman qui me manque........... Pourquoi ?????????
Je ne pouvais lui laisser l'occasion de me souhaiter cet anniv après les mots aiguisés : ""après tout ce que j'ai fait pour toi""" """ tu m'as toujours fait tant souffrir """" """ j'aurai préféré ne pas te mettre au monde ou mourrir à ta naissance""" .............. Je n'arrive pas à oublier cette dernière remarque..........
Reste encore à passer les fêtes de fin d'année sans eux...........
BIsous à toutes
Vivalavie
Hier encore une douleur horrible dans le dos et l'épaule.
Ce qui est identique au nerf sciatique mais du haut du dos
J'ai quand même tenu la journée au boulot
mais après être parti, c'était l'inondation . Toutes les larmes que j'avais retenues depuis plus de deux mois se sont vidées.....
J'ai pleuré tout ce que j'ai pu, le moindre mouvement du bras me faisait hurler.
Ce matin, vous ne me croirez pas : PLUS RIEN DE RIEN !!!!!!!!!!
Ce que j'en déduis :
- Stress accumulé depuis des semaines (2mois) par rapport à ma mère, mon père et mes soeurs
- Stress de la tension au boulot
- mais surtout, et là c'est surement la cause principale : mon anniversaire !!!!!!!
Eh oui !!! d'un coté, je ne voulais en aucun cas recevoir signe de vie de ma mère, étant donné que j'ai fermé la porte. c'était une manière de me dire qu'elle respectait mon choix, bien qu'elle le voit d'un autre oeil.
par contre, j'espérais quand même un signe de vie, où elle m'aurait dit : ben j'me rends compte que j'ai peut être une part de responsabilité et suis prête à t'écouter...............
Ben rien , rien de rien.......... Ni de mes parents ni mes soeurs........
Donc je continue mon chemin, et comprends que je ne dois plus attendre.
Mon bonheur se trouve ailleurs.
Les bonnes nouvelles :
- mail reçu de ma nièce dont je parlais dans l'autre post (je lui ai demandé quand la joindre pour lui parler.............. Donc dans un sens soulagement, un pas de franchi, reste à lui parler, mais ça ira.....)
- d'autres coups de fil et mail pour mon anniv
- vos messages sur mon anniv
- une amie qui m'a écouté pleurer et crier toute la douleur que j'avais
- et aujourd'hui j'ai réussi à clôturer ce boulot nickel, et j'en suis plus que ravie
- et ce soir !!!!!!!! une carte au courrier , de ma marraine pour mon anniv.... que je pensais ne pas recevoir cette année. Comme quoi, faut parfois laisser faire les choses plutôt que d'imaginer d'avance........... On peut se tromper.........
Donc ce mal de ""dos"" qui m'a fait tant souffrir et verser de larmes ces deux derniers jours, je suis persuadée que ce n'était que la souffrance d'une maman qui me manque........... Pourquoi ?????????
Je ne pouvais lui laisser l'occasion de me souhaiter cet anniv après les mots aiguisés : ""après tout ce que j'ai fait pour toi""" """ tu m'as toujours fait tant souffrir """" """ j'aurai préféré ne pas te mettre au monde ou mourrir à ta naissance""" .............. Je n'arrive pas à oublier cette dernière remarque..........
Reste encore à passer les fêtes de fin d'année sans eux...........
BIsous à toutes
Vivalavie
boujour Vivalavie,
je connais ce mal de dos; Des points dans le hauts des epaules limite vers la nuque.
Cette une façon pour nous de dire j'en ai beaucoup sur les epaules. Et je ne sais pas quel miracle du jour au lendemain tt part.
Des fois c'est ma gorge qui me fait mal, et une fois que j'ai dis ce qui me pesait à la personne concernée tt disparait. Notre corps ne ment jamais !
Quand au manque d'une maman, je joue dans la même scène que toi et excuse moi mais cela me rassure.
Nombre de fois, ou je ne suis pas miner, perdu, car il me manque quelque chose : l'amour d'une maman. Et j'en ai honte ! je me dit qu'à mon age je devrait le comprendre et faire avec, je suis maman moi même.
Bref cela revient de tte faço une crise de MERENERVEUSE.
Une maman inexistante et un pere pervers voilà ma solitude et mon manque de repère.
Ecoute souvent ton corps et tu verras que bien des maux sont en correlation avec notre état d'âme.
Félicitation pour ton boulot, mais je n'en ai jamais douté, tu es une perfectionniste organisée. Je pense d'ailleur que c'est le seul domaine ou tu crois un peu plus en toi ?
Je t'envoies des bises.
je connais ce mal de dos; Des points dans le hauts des epaules limite vers la nuque.
Cette une façon pour nous de dire j'en ai beaucoup sur les epaules. Et je ne sais pas quel miracle du jour au lendemain tt part.
Des fois c'est ma gorge qui me fait mal, et une fois que j'ai dis ce qui me pesait à la personne concernée tt disparait. Notre corps ne ment jamais !
Quand au manque d'une maman, je joue dans la même scène que toi et excuse moi mais cela me rassure.
Nombre de fois, ou je ne suis pas miner, perdu, car il me manque quelque chose : l'amour d'une maman. Et j'en ai honte ! je me dit qu'à mon age je devrait le comprendre et faire avec, je suis maman moi même.
Bref cela revient de tte faço une crise de MERENERVEUSE.
Une maman inexistante et un pere pervers voilà ma solitude et mon manque de repère.
Ecoute souvent ton corps et tu verras que bien des maux sont en correlation avec notre état d'âme.
Félicitation pour ton boulot, mais je n'en ai jamais douté, tu es une perfectionniste organisée. Je pense d'ailleur que c'est le seul domaine ou tu crois un peu plus en toi ?
Je t'envoies des bises.
- angel
- Eminent enfinien
- Messages : 1773
- Enregistré le : 22 déc. 2005, 01:00
- Localisation : perdue qq part...
pareil cé douleur qui ns font si mal....
mais tu vois, je viens de comprendre, qq chose
maintenant je pense à moi, à mon enfant, à mon mari et ceux qui me font du mal et bien je ne veux plus en entendre parler
bien sur pas facile car nos mères sont tjrs là pour ns descendre un peu plus, mais je ne vais plus me laisser faire
maintenant, auj, j'avance, finit de souffrir, je veux voir la lumière du bonheur...
à toi de jouer avec pleins de courage...
pardon de ne pas avoir été là le 12 mais j'ai pensé à ton anniversaire
alors ma belle vivalavie..
tt pleins de bonheur...
je t'embrasse bien fort
mais tu vois, je viens de comprendre, qq chose
maintenant je pense à moi, à mon enfant, à mon mari et ceux qui me font du mal et bien je ne veux plus en entendre parler
bien sur pas facile car nos mères sont tjrs là pour ns descendre un peu plus, mais je ne vais plus me laisser faire
maintenant, auj, j'avance, finit de souffrir, je veux voir la lumière du bonheur...
à toi de jouer avec pleins de courage...
pardon de ne pas avoir été là le 12 mais j'ai pensé à ton anniversaire
alors ma belle vivalavie..
tt pleins de bonheur...
je t'embrasse bien fort
Se prendre des claques dans le dos et chuter, car les gens ne sont pas suffisamment honnêtes avec eux même..........
Mais le plus important est de ne pas se noyer, de savoir nager, de refaire surface et de sortir la tête hors de l'eau, bien plus haut que les autres ne pouvaient l'imaginer...........
Bisous à toutes
Vivalavie
- vera
- Enfinien aguerri
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- Localisation : au-delà du mal-a-dit
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Je te souhaite un bon debut de week-end après cette semaine difficile.vivalavie a écrit : Donc ce mal de ""dos"" qui m'a fait tant souffrir et verser de larmes ces deux derniers jours, je suis persuadée que ce n'était que la souffrance d'une maman qui me manque........... Pourquoi ?????????
Je ne pouvais lui laisser l'occasion de me souhaiter cet anniv après les mots aiguisés : ""après tout ce que j'ai fait pour toi""" """ tu m'as toujours fait tant souffrir """" """ j'aurai préféré ne pas te mettre au monde ou mourrir à ta naissance""" .............. Je n'arrive pas à oublier cette dernière remarque..........
Reste encore à passer les fêtes de fin d'année sans eux...........
BIsous à toutes
Vivalavie
Merci d'exister. Ton courage est communicatif :voeux:
Butterfly Kiss dit
mais elle éveille une question primordiale et qui revient souvent depuis quelques mois : POURQUOI M'AIME-T-ON ? COMMENT PEUT -ON M'AIMER ?????
ça me fait énormément réfléchir cette phrase. Elle me fait très chaud au coeur.........Je te souhaite un bon debut de week-end après cette semaine difficile.
Merci d'exister. Ton courage est communicatif
mais elle éveille une question primordiale et qui revient souvent depuis quelques mois : POURQUOI M'AIME-T-ON ? COMMENT PEUT -ON M'AIMER ?????
J'ai toujours aimé cette chanson. et je l'ai très souvent chantée
Mais ce n'est qu'aujourd'hui que je réalise pourquoi je l'aimais
La relation avec ce mois de décembre que je déteste
Marie Laforêt
Cadeau
{Parlé: Marie Laforêt:}
Hier soir, dans la cuisine,
je préparais le dîner, quand mon petit garçon est entré.
Il m'a tendu un morceau de papier griffonné.
J'ai essuyé mes mains sur mon tablier,
et je l'ai lu. Et voici ce qu'il disait :
{Parlé: L'enfant:}
Pour avoir fait mon lit toute la semaine 3 francs
Pour avoir été aux commissions 1 franc
Pour avoir surveillé le bébé pendant que toi tu allais aux commissions 1 franc 25
Pour avoir descendu la corbeille à papiers 75 centimes
Pour avoir remonté la corbeille à papiers 1 franc et 10 centimes
Pour avoir arrosé les fleurs sur le balcon 25 centimes
Total 9 francs et 85 centimes.
{Parlé: Marie Laforêt:}
Je l'ai regardé, il se tortillait en mâchant son crayon
et une foule de souvenirs sont revenus à ma mémoire.
Alors j'ai repris son crayon, j'ai retourné la feuille et voilà ce que j'ai écrit :
{Chanté: Marie Laforêt:}
Pour neuf mois de patience et douze heures de souffrance
CADEAU
Pour tant de nuits de veille, surveillant ton sommeil
CADEAU
Pour les tours de manège, les jouets, le collège
CADEAU
Et quand on fait le tour, le total de mon amour,
C'est CADEAU
{Parlé: Marie Laforêt:}
Quand il a eu fini de lire, il avait un gros chagrin dans les yeux.
Il a levé la tête et a dit :
"M'Man, je t'aime très beaucoup"
Il a repris son papier, l'a retourné, et en grosses, grosses lettres,
a marqué :
"CADEAU"
{Chanté: Marie Laforêt:}
Et quand on fait le tour, le total de l'amour,
C'est CADEAU, C'est CADEAU
Eh oui !!!! un cadeau c'est GRATUIT, par conséquent son prix n'est pas chiffré, c'est une valeur inestimable, celui de l'amour, l'amour d'offrir, de faire plaisir, de se faire plaisir d'offrir, d'être heureux que l'autre soit heureux......... d'avoir plaisir que l'autre ait le plaisir de recevoir.
Mais voilà !!!! certains vous font payer leurs cadeaux, et comme aucun prix n'est fixé, aucune étiquette de prix ne figure sur le papier d'emballage (puisqu'il n'est pas chiffré), ils vous la font payer toute votre vie.................
""""Après tout ce que j'ai fait pour toi...............""""
Par conséquent, il m'est très difficile de recevoir un CADEAU.
Cette fin d'année et plus précisément le mois de décembre est pour moi le mois où se cumulent toutes les occasions, les échéances annuelles de m'offrir des cadeaux : Anniversaire, fête, St Nicolas (qui était la fête pour les enfants), Noël, les étrennes de nouvel an..................
Je le hais ce mois..................
Il représente pour moi, le mois de la déclaration d'impôt, de la redevance annuelle, et ensuite j'ai 11 mois pour payer ma dette............
Ce soir, une personne a insisté à 5 reprises, alors que j'avais interdit tout contact, de me souhaiter mon anniversaire. Il fallait qu'elle fasse sa BA annuelle, sa dotation annuelle.
Dommage pour elle, mais même si elle s'est imposée de le faire par intermédiaire, elle n'a nullement tenu compte de ma demande, elle ne m'a pas respectée une fois de plus, eh bien ! j'ai refusé de lui parler et d'accepter sa facture annuelle ! Dommage pour elle.........
Cette année, j'ai refusé de signer ma déclaration annuelle......
Vivement que l'on arrive à l'année suivante. Je vais pouvoir à nouveau me détendre pendant 11 mois..............
On verra en décembre prochain si le percepteur aura compris.......
Pardonnez moi si mes mots vous choquent, mais je hais les fins d'année, et je commence seulement à comprendre le Pourquoi........
Qui sur cette terre aurait plaisir d'avoir une facture à payer.......
Alors comment prendre plaisir à ces fêtes de fins d'année.......
Vivalavie
Mais ce n'est qu'aujourd'hui que je réalise pourquoi je l'aimais
La relation avec ce mois de décembre que je déteste
Marie Laforêt
Cadeau
{Parlé: Marie Laforêt:}
Hier soir, dans la cuisine,
je préparais le dîner, quand mon petit garçon est entré.
Il m'a tendu un morceau de papier griffonné.
J'ai essuyé mes mains sur mon tablier,
et je l'ai lu. Et voici ce qu'il disait :
{Parlé: L'enfant:}
Pour avoir fait mon lit toute la semaine 3 francs
Pour avoir été aux commissions 1 franc
Pour avoir surveillé le bébé pendant que toi tu allais aux commissions 1 franc 25
Pour avoir descendu la corbeille à papiers 75 centimes
Pour avoir remonté la corbeille à papiers 1 franc et 10 centimes
Pour avoir arrosé les fleurs sur le balcon 25 centimes
Total 9 francs et 85 centimes.
{Parlé: Marie Laforêt:}
Je l'ai regardé, il se tortillait en mâchant son crayon
et une foule de souvenirs sont revenus à ma mémoire.
Alors j'ai repris son crayon, j'ai retourné la feuille et voilà ce que j'ai écrit :
{Chanté: Marie Laforêt:}
Pour neuf mois de patience et douze heures de souffrance
CADEAU
Pour tant de nuits de veille, surveillant ton sommeil
CADEAU
Pour les tours de manège, les jouets, le collège
CADEAU
Et quand on fait le tour, le total de mon amour,
C'est CADEAU
{Parlé: Marie Laforêt:}
Quand il a eu fini de lire, il avait un gros chagrin dans les yeux.
Il a levé la tête et a dit :
"M'Man, je t'aime très beaucoup"
Il a repris son papier, l'a retourné, et en grosses, grosses lettres,
a marqué :
"CADEAU"
{Chanté: Marie Laforêt:}
Et quand on fait le tour, le total de l'amour,
C'est CADEAU, C'est CADEAU
Eh oui !!!! un cadeau c'est GRATUIT, par conséquent son prix n'est pas chiffré, c'est une valeur inestimable, celui de l'amour, l'amour d'offrir, de faire plaisir, de se faire plaisir d'offrir, d'être heureux que l'autre soit heureux......... d'avoir plaisir que l'autre ait le plaisir de recevoir.
Mais voilà !!!! certains vous font payer leurs cadeaux, et comme aucun prix n'est fixé, aucune étiquette de prix ne figure sur le papier d'emballage (puisqu'il n'est pas chiffré), ils vous la font payer toute votre vie.................
""""Après tout ce que j'ai fait pour toi...............""""
Par conséquent, il m'est très difficile de recevoir un CADEAU.
Cette fin d'année et plus précisément le mois de décembre est pour moi le mois où se cumulent toutes les occasions, les échéances annuelles de m'offrir des cadeaux : Anniversaire, fête, St Nicolas (qui était la fête pour les enfants), Noël, les étrennes de nouvel an..................
Je le hais ce mois..................
Il représente pour moi, le mois de la déclaration d'impôt, de la redevance annuelle, et ensuite j'ai 11 mois pour payer ma dette............
Ce soir, une personne a insisté à 5 reprises, alors que j'avais interdit tout contact, de me souhaiter mon anniversaire. Il fallait qu'elle fasse sa BA annuelle, sa dotation annuelle.
Dommage pour elle, mais même si elle s'est imposée de le faire par intermédiaire, elle n'a nullement tenu compte de ma demande, elle ne m'a pas respectée une fois de plus, eh bien ! j'ai refusé de lui parler et d'accepter sa facture annuelle ! Dommage pour elle.........
Cette année, j'ai refusé de signer ma déclaration annuelle......
Vivement que l'on arrive à l'année suivante. Je vais pouvoir à nouveau me détendre pendant 11 mois..............
On verra en décembre prochain si le percepteur aura compris.......
Pardonnez moi si mes mots vous choquent, mais je hais les fins d'année, et je commence seulement à comprendre le Pourquoi........
Qui sur cette terre aurait plaisir d'avoir une facture à payer.......
Alors comment prendre plaisir à ces fêtes de fins d'année.......
Vivalavie
- vera
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Ce n'est pas choquant pour moi, j'ai du mal à accepter les cadeaux aussi, j'ai l'impression qu'on m'attend au tournant pour me reclamer des interets.vivalavie a écrit : Pardonnez moi si mes mots vous choquent, mais je hais les fins d'année, et je commence seulement à comprendre le Pourquoi........
Qui sur cette terre aurait plaisir d'avoir une facture à payer.......
Alors comment prendre plaisir à ces fêtes de fins d'année.......
Vivalavie
Ces mots que tu partages sont gratuits, ceux que je t'adresse également.
Tu peux prendre plaisir à cette fin d'année en partageant avec des personnes qui ne sont pas comme Elle.
Amicalement
J'ai besoin de continuer ce que j'ai commencé à écrire hier.
Dans la nuit une main m'a tapoté l'épaule et dit : t'as pas tout dit ce que tu ressentais......
Non je n'ai pas tout dit.
Mon percepteur, enfin ma perceptrice, a elle aussi toutes ses échéances annuelles en décembre.
Pas le droit d'oublier, dès le petit matin, elle attend les appels. Oui dès le matin, ne pas la faire patienter jusqu'au soir, ça ne se fait pas.
Si une des échéances n'a pas été souhaitée, la remarque de l'oubli est inévitable.
Depuis quelques années ces échéances sont devenues pour moi une contrainte, une obligation.
Il ne fallait en aucun cas oublier la redevance et contribution annuelle obligatoire avec toutes les éloges.
Hier j'ai relevé sur le post de Gwen, son angoisse de rentrer pour les fêtes de Noël, et ce sentiment d'obligation et pas de plaisir.
Je ne répondrais pas sur son post mais ici, ce que cela a réveillé en moi, ce dont je me suis rendue compte.
Chaque année, l'invitation pour Noël était faite le plus tôt possible.
Peu importe que nous avions prévu autre chose, que nous ayons une autre invitation le même jour, il fallait se débrouiller pour annuler et faire passer son invitation en priorité. (Toujours le nombrilisme........- moi d'abord, les autres je n'en ai rien à faire, ils prennent ce qui reste)
Lorsque nous arrivions en milieu de matinée, panique à bord. Un bonjour vite fait, car notre hôte était en hyperactivité. Elle n'avait pas le temps de nous accueillir car ses fourneaux l'appelaient et elle était débordé. De ce fait, il ne restait plus qu'à passer le tablier et remonter les manches pour aider.
Un repas, parlons en , non une orgie........
Un apéritif avec toast, biscuits etc.......... Bien rempli
Il ne fallait manquer de rien.
Distribution de l'enveloppe annuelle. Enveloppe toujours adressée à mon seul prénom, image (bon point comme à l'école) à l'intérieur idem, que mon prénom.
Et l'on aurait pu lire :
Payé la somme de : un, deux trois etc..... anneaux en métal et soudure très solide représentant la redevance annuelle pour laquelle les intérêts seront à verser chaque jour jusqu'à l'an suivant
à l'ordre de : notre fille que nous ne laisserons en aucun cas libre.
Eh oui, malgré que je sois mariée depuis bon nombres d'années, seul mon prénom et nom figurait sur l'enveloppe et image de bon point.
Mon mari n'a jamais été reconnu, mais par contre il ne devait pas s'abstenir des remerciements, évidemment...........
Ensuite le repas, une entrée, une seconde entrée, déjà là, on n'avait plus faim.
Interdiction de dire ou de donner quelques signes de ce trop plein. Sinon c'était la cata. Accepter sans broncher.Puis un plat hyper copieux. Il ne fallait en aucun cas que nous manquions de quelques choses. salade, fromage, une bûche puis une autre glacée, et les chocolats.............
Ne pas oublier de vanter la ""superberie "" du repas. L'exceptionnel........
Ah quel beau repas je vous ai offert, voyez comme je suis une bonne mère........... Je vous ai gavé......... Vous êtes repu, plus que repu..........
De la même manière que cet amour qui m'a étouffé........... Toujours accepter même le surplus sans broncher.........
L'an dernier j'ai refusé d'y être présente. D'une part, la maladie, mais surtout car je ne pouvais déjà plus supporté cet étalage sans vraiment comprendre pourquoi. Seulement la culpabilité de ne pas être présente à ce rassemblement familial et annuel a été énorme.
Cet année, je ne participerai en aucun cas à cette image de bonne famille et à la remise des anneaux annuels. Cette fois-ci sans culpabilité.
Je ne me sens plus dans l'obligation d'obéir uniquement pour le plaisir de l'Autre.
De même, si un quelconque anneau m'était adressé de quelque manière que ce soit, je n'y toucherai pas............
Je ne veux plus participer à cette image de marque, ce paraître, ce faux....... Obéir et se taire......... Non c'est fini cette image de ""tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil""""..............
Oui Gwen, si tu ne peux être franche vis à vis de tes parents sur le fait que tu ne souhaites pas t'assoir autour de la table familiale, rien et personne ne t'y oblige. Tu n'as pas non plus à te justifier. Mais n'y vas surtout pas à contre coeur. Notre corps ne ment pas...........
Mais le plus important C'est surtout et principalement d'être franche avec soi même quoique ce que les autres peuvent penser ou imaginer.
Vivalavie
Dans la nuit une main m'a tapoté l'épaule et dit : t'as pas tout dit ce que tu ressentais......
Non je n'ai pas tout dit.
Mon percepteur, enfin ma perceptrice, a elle aussi toutes ses échéances annuelles en décembre.
Pas le droit d'oublier, dès le petit matin, elle attend les appels. Oui dès le matin, ne pas la faire patienter jusqu'au soir, ça ne se fait pas.
Si une des échéances n'a pas été souhaitée, la remarque de l'oubli est inévitable.
Depuis quelques années ces échéances sont devenues pour moi une contrainte, une obligation.
Il ne fallait en aucun cas oublier la redevance et contribution annuelle obligatoire avec toutes les éloges.
Hier j'ai relevé sur le post de Gwen, son angoisse de rentrer pour les fêtes de Noël, et ce sentiment d'obligation et pas de plaisir.
Je ne répondrais pas sur son post mais ici, ce que cela a réveillé en moi, ce dont je me suis rendue compte.
Chaque année, l'invitation pour Noël était faite le plus tôt possible.
Peu importe que nous avions prévu autre chose, que nous ayons une autre invitation le même jour, il fallait se débrouiller pour annuler et faire passer son invitation en priorité. (Toujours le nombrilisme........- moi d'abord, les autres je n'en ai rien à faire, ils prennent ce qui reste)
Lorsque nous arrivions en milieu de matinée, panique à bord. Un bonjour vite fait, car notre hôte était en hyperactivité. Elle n'avait pas le temps de nous accueillir car ses fourneaux l'appelaient et elle était débordé. De ce fait, il ne restait plus qu'à passer le tablier et remonter les manches pour aider.
Un repas, parlons en , non une orgie........
Un apéritif avec toast, biscuits etc.......... Bien rempli
Il ne fallait manquer de rien.
Distribution de l'enveloppe annuelle. Enveloppe toujours adressée à mon seul prénom, image (bon point comme à l'école) à l'intérieur idem, que mon prénom.
Et l'on aurait pu lire :
Payé la somme de : un, deux trois etc..... anneaux en métal et soudure très solide représentant la redevance annuelle pour laquelle les intérêts seront à verser chaque jour jusqu'à l'an suivant
à l'ordre de : notre fille que nous ne laisserons en aucun cas libre.
Eh oui, malgré que je sois mariée depuis bon nombres d'années, seul mon prénom et nom figurait sur l'enveloppe et image de bon point.
Mon mari n'a jamais été reconnu, mais par contre il ne devait pas s'abstenir des remerciements, évidemment...........
Ensuite le repas, une entrée, une seconde entrée, déjà là, on n'avait plus faim.
Interdiction de dire ou de donner quelques signes de ce trop plein. Sinon c'était la cata. Accepter sans broncher.Puis un plat hyper copieux. Il ne fallait en aucun cas que nous manquions de quelques choses. salade, fromage, une bûche puis une autre glacée, et les chocolats.............
Ne pas oublier de vanter la ""superberie "" du repas. L'exceptionnel........
Ah quel beau repas je vous ai offert, voyez comme je suis une bonne mère........... Je vous ai gavé......... Vous êtes repu, plus que repu..........
De la même manière que cet amour qui m'a étouffé........... Toujours accepter même le surplus sans broncher.........
L'an dernier j'ai refusé d'y être présente. D'une part, la maladie, mais surtout car je ne pouvais déjà plus supporté cet étalage sans vraiment comprendre pourquoi. Seulement la culpabilité de ne pas être présente à ce rassemblement familial et annuel a été énorme.
Cet année, je ne participerai en aucun cas à cette image de bonne famille et à la remise des anneaux annuels. Cette fois-ci sans culpabilité.
Je ne me sens plus dans l'obligation d'obéir uniquement pour le plaisir de l'Autre.
De même, si un quelconque anneau m'était adressé de quelque manière que ce soit, je n'y toucherai pas............
Je ne veux plus participer à cette image de marque, ce paraître, ce faux....... Obéir et se taire......... Non c'est fini cette image de ""tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil""""..............
Oui Gwen, si tu ne peux être franche vis à vis de tes parents sur le fait que tu ne souhaites pas t'assoir autour de la table familiale, rien et personne ne t'y oblige. Tu n'as pas non plus à te justifier. Mais n'y vas surtout pas à contre coeur. Notre corps ne ment pas...........
Mais le plus important C'est surtout et principalement d'être franche avec soi même quoique ce que les autres peuvent penser ou imaginer.
Vivalavie
ho ma vivalavie que de mots pour ces maux qui son bien similaire au mien mais qu'importe je voudrais te dire a quel point je suis heureuses et fier de toi pour tous ce que tu as su faire pour te sortir de ce pétrin que dis-je cet foutu m......
bref
savoir s'avouer les choses en prendre conscience comme tu me dis si souvent
c'est exceptionnelle je te dis bravo et merci a toi
bref
savoir s'avouer les choses en prendre conscience comme tu me dis si souvent
c'est exceptionnelle je te dis bravo et merci a toi
bravo!
mais pourquoi faut il attendre tant d'années pour arriver à dire non?
et s'en reconnaître le droit sans culpabiliser?
je rencontre des jeunes femmes "malades" de se taire depuis tant d'années , ne pas oser dire je veux vivre à ma façon ,comme vous l'avez fait vous même , ou comme vous regrettez de ne pas l'avoir fait
à se taire on fini par ne plus se respecter et on n'est plus respecté , souvent dans la vie , avec tous , dans toutes les situations , on s'aperçoit que quand ce qu'on a à dire nous semble vraiment juste et qu'on arrive à le dire sans agressivité , seulement parce qu'on sait avoir raison , on gagne le respect de soi , celui des autres et la paix intérieure
chacun à le droit de fêter noel ,et de vivre comme il le veut!
mais pourquoi faut il attendre tant d'années pour arriver à dire non?
et s'en reconnaître le droit sans culpabiliser?
je rencontre des jeunes femmes "malades" de se taire depuis tant d'années , ne pas oser dire je veux vivre à ma façon ,comme vous l'avez fait vous même , ou comme vous regrettez de ne pas l'avoir fait
à se taire on fini par ne plus se respecter et on n'est plus respecté , souvent dans la vie , avec tous , dans toutes les situations , on s'aperçoit que quand ce qu'on a à dire nous semble vraiment juste et qu'on arrive à le dire sans agressivité , seulement parce qu'on sait avoir raison , on gagne le respect de soi , celui des autres et la paix intérieure
chacun à le droit de fêter noel ,et de vivre comme il le veut!
Et voilà, l'automne est fini.
Pour moi il s'est terminé le 20 décembre 2006.
Toutes les feuilles mortes sont tombées.
Mais non pas tombées pour laisser place à un vide.
Non tombées pour laisser place à une nouvelle VIE
Les bourgeons ont déjà leur place et
s'ouvriront tout doucement jusqu'au printemps prochain.
Le froid, le gel de l'hiver permettront de finir d'éliminer la vermine inutile.
La blancheur de la neige de l'hiver recouvrira le passé
Et la douceur des températures qui suivra laissera apparaître
Une nouvelle Vie qui croît doucement.
Elle est arrivée cette Nouvelle VIE
Elle est arrivée réellement le 24 décembre 2006 au petit matin.
Me voici à présent en plein vol dans l'immensité de la VIE
Mes ailes sont à présent déployées
Mais il me faut m'alimenter pour avoir des forces dans les ailes
Pour ne pas tomber
Le 23 au soir on m'avait offert des madeleines faites ""maison""
J'ai dit : ""Demain matin, je me régalerai avec l'une de ses madeleines""
Eh bien oui !!! j'en ai mangée une, sans aucun scrupule, aucune culpabilité !!! Calmement, et surtout en l'APPRECIANT, je me suis enfin fait PLAISIR à MOI MEME
Le 24 et le 25 je me suis ainsi servi DANS MON ASSIETTE des aliments que je m'étais interdit depuis deux ans maintenant.
Réussir à manger, ne plus se sentir coupable.
J'avoue que c'est en petite quantité mais auparavant rien que l'idée de mettre en bouche une miette de ses aliments me donnait la nausée........
Il est évident que je ne mange pas plus en quantité mais cette réintroduction d'aliments et le PLAISIR que j'éprouve en les mangeant me permettent de dire que je suis guérie.
Hier j'ai dit : Des personnes, dont deux principalement se sont faits énormément plaisirs avec moi, en m'imposant des choses et sans aucun scrupule, sans jamais se poser la question de savoir ce que je pouvais ressentir, en me signifiant par contre que je ne devais jamais cesser de leur faire plaisir sous peine d'être responsable, coupable de leur chute,
Alors à présent, je dis la phrase suivante :
Jusqu'à avant -hier elles se sont faites plaisir avec moi en faisant mon déplaisir,
elles vivaient alors que je survivais..........
A présent, je me fais MON PROPRE PLAISIR
Je VIS pour MOI et non plus pour elles, et à elles de se prendre en charge...............
Vivalavie
- vera
- Enfinien aguerri
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Je suis heureuse de ta renaissance au plaisir et à la vie après toutes les étapes que tu viens de passer en si peu de temps.vivalavie a écrit : Il est évident que je ne mange pas plus en quantité mais cette réintroduction d'aliments et le PLAISIR que j'éprouve en les mangeant me permettent de dire que je suis guérie.
Hier j'ai dit : Des personnes, dont deux principalement se sont faits énormément plaisirs avec moi, en m'imposant des choses et sans aucun scrupule, sans jamais se poser la question de savoir ce que je pouvais ressentir, en me signifiant par contre que je ne devais jamais cesser de leur faire plaisir sous peine d'être responsable, coupable de leur chute,
Alors à présent, je dis la phrase suivante :
Jusqu'à avant -hier elles se sont faites plaisir avec moi en faisant mon déplaisir,
elles vivaient alors que je survivais..........
A présent, je me fais MON PROPRE PLAISIR
Je VIS pour MOI et non plus pour elles, et à elles de se prendre en charge...............
Vivalavie
Merci d'être toi même et de le crier à la face du monde
Merci Butterfly Kiss,
Merci Choubi
J'ai rejoins votre club depuis plusieurs semaines.
La douleur dans mon épaule a repris de plus belle.
Douleur musculaire !!!!!!!!!!!!!!
Oui d'apparence, mais non,
cette douleur est bien pire que cela !!!!!!!!!!!
Elle est comme celle des insanités subies par ma mère et son fils,
lancinante, perverse,
Douleur qu'on ne peut oublier
Qui vous brûle toute la journée et même la nuit
Douleur qui vous empêche de vivre normalement
Douleur pour laquelle je ne me plains plus
Douleur qu'il faut finir par ""vivre avec"""!!!!!!
Les deux dernières années cette douleur est ressortie
par les oreilles et les vertiges (V.P.P.B. diront les spécialistes !!!)
A présent c'est le cou et l'épaule, jusque dans le bras !!!!!!!!
J'ai rejoint votre club : celle de ne pas dormir
Les myorelaxants que je prends me permettent de dormir
deux à 3 heures maximum...........
Après les deux salauds viennent me refrapper la tête ...........
Quand vont-ils cesser !!!!!!!!!!!!!!!!
Quand cela s'arrêtera-t-il ???????????????
Vivalavie
Merci Choubi
J'ai rejoins votre club depuis plusieurs semaines.
La douleur dans mon épaule a repris de plus belle.
Douleur musculaire !!!!!!!!!!!!!!
Oui d'apparence, mais non,
cette douleur est bien pire que cela !!!!!!!!!!!
Elle est comme celle des insanités subies par ma mère et son fils,
lancinante, perverse,
Douleur qu'on ne peut oublier
Qui vous brûle toute la journée et même la nuit
Douleur qui vous empêche de vivre normalement
Douleur pour laquelle je ne me plains plus
Douleur qu'il faut finir par ""vivre avec"""!!!!!!
Les deux dernières années cette douleur est ressortie
par les oreilles et les vertiges (V.P.P.B. diront les spécialistes !!!)
A présent c'est le cou et l'épaule, jusque dans le bras !!!!!!!!
J'ai rejoint votre club : celle de ne pas dormir
Les myorelaxants que je prends me permettent de dormir
deux à 3 heures maximum...........
Après les deux salauds viennent me refrapper la tête ...........
Quand vont-ils cesser !!!!!!!!!!!!!!!!
Quand cela s'arrêtera-t-il ???????????????
Vivalavie
Vipère au poing - Hervé Bazin
(Jean, le fils de Folcoche, surnommé Brasse-Bouillon
s'en va retrouver Madeleine, la fille d'un paysan.....)
Page 165 à 168
......Mais je n'avais pas l'intention de m'éterniser dans cet échange de sourire et de mots à double sens, que les adolescents prodiguent aux adolescentes. Cette nouvelle vipère qui me grouillait dans le corps, il me fallait aussi l'étrangler.
Et tant pis pour Madeleine ! Est-ce que Folcoche pour assouvir je ne sais quel sadisme, a pris des gants avec nous ? Madeleine était rougeaude, elle prend de plus en plus la tournure des filles craonnaises, que les potées et le lard froid engraissent trop tôt. Dans trois ans, elle aura la démarche des oies grasses. Mais, pour l'instant, c'est encore un piron (oison, en patois) assez tendre pour ce que j'en veux faire. Pucelle ou non, je m'en fous. Elle trouvera toujours un mari pour la valeur de son dos, qui ne rechigne pas aux binages, et de ses mains, qui traient remarquablement vite.
Mais il faut l'approcher, la "travailler". Ce n'est pas si facile. Les paysans se couchent tôt et ne traînent pas dehors, une fois la nuit tombée. En semaine, Folcoche veille, et je ne peux m'échapper que pour de brèves rencontres au pacage. Reste le dimanche, toujours scrupuleusement chômé, sauf en période de moissons, lorque le curé, en chaire, a donné l'autorisation annuelle. Madeleine, revenant des vêpres où elle chante (faux, bien sûr), prend régulièrement le raccourci du petit bois.
Ce que j'ai résolu, je le réalise généralement très vite. Je n'aime pas m'attendre ni attendre les autres.
...........
..........
Ce besoin naturel, car tu le penses tel, est-il donc si gênant de le faire à deux ? Tu voulais rester pur, idiot. Est-ce qu'on retient ses glaires, lorsqu'on a envie de cracher ? L'hygiène publique a inventé les crachoirs comme Dieu a inventé les femmes. La pureté n'exige pas la rétention, mais l'exutoire.
Je m'encourage, je me dope, je m'engueule. Je repars au trot, à la première occasion, vers la prairie des trois ormes, où se tient le plus souvent Madeleine, tricotant des chaussettes de laine pour son frère, le gars Georges. Un parapluie fiché en terre la protège de la pluie ou du soleil, selon les cas. Ses nattes sont toujours ramenées par-devant et coulent entre ses seins. Les yeux oscillent très vite quand je m'approche : ils sont jaunes.
Aujourd'hui, je suis plus généreux, et je dirai qu'ils sont dorés. Je viens m'asseoir à côté d'elle sans lui dire bonjour.
"Faites attention, Monsieur Jean. Mon frère n'est pas loin, à nuit. Il bine les betteraves.""
Il faut enfin que je l'embrasse. Mon bras passe par-dessus son épaule. Ma main, sournoisement, redescend vers l'aiselle, s'insinue. Quand le bout de mes doigts arrive au bord du sein, Madeleine les bloque, sans mot dire, en serrant le coude contre les côtes. J'en suis pour mes frais. Vais-je lui tenir des propos fleuris ? Quelle idée ! Ne gâchons pas nos perles.
Brusquement je me décide et, empoignant une natte, je tire la tête en arrière, sans ménagements. "Ouille!" fait-elle, avant que ma bouche ne gobe la sienne.
Voilà donc qui est fait. Je m'accorde un bon point et retiens l'envie de m'essuyer les lèvres. Madeleine remarque :
"Vous avez de l'amitié pour moi, Monsieur Jean ?"
Amitié en patois craonnais, c'est le vocable discret de l'amour. Non, je n'ai pas la moindre amitié pour cette fille. Je m'étire, je m'écarte un peu, enfin je la questionne.
"Tu n'es pas fâchée, Mado ?"
- "Un p'tit", répond-elle laconiquement.
Mais, ce disant, elle sourit, et, comme elle sourit, je remets ça. Cette fois pourtant, sans vergogne, je saisis et je pétris le sein gauche, que je trouve un peu mou. Je le lâche, par prudence, et je galope ver la belle angerie. Je jubile. Frédie, qui, depuis mon abandon, vagabonde seul, s'aperçoit de mon excitation et m'interroge !
"alors ?"
J'ai grande envie de le sidérer en lui disant que j'ai réussi. Mais je suis encore plus vaniteux que nous ne le pensez et je ne veux lui servir chaud que du réel, d'ici peu, avec le droit de s'embusquer à proximité pour contrôler mon triomphe, s'il le désire. Disons seulement, aujourd'hui, avec nonchalance :
"mon vieux, la nèfle est mûre.
- Non, plaisante Frédie; généralement, on dit la poire. Les nèfles, on les mange quand elles sont pourries.
- Je sais ce que je dis"
Ma réponse n'a pu parvenir jusqu'au tympan de Folcoche, qui survient à cet instant précis. Elle braille, pour change !
"Alors, toujours vos messes basses !"
Je te néglige, ma mère, depuis quelque temps. Excuse-moi. Ce n'est pas mauvaise volonté de ma haine. Mais je suis vraiment très occupé. Pourtant je désire que tu ne t'y trompes pas. Ce que j'en fais, c'est sans doute pour satisfaire un instinct que l'âge développe et que nulle tendresse ne saurait canaliser vers les marais du sentiment. Mais c'est aussi contre toi. Ne dis pas que cela n'a aucun rapport. Tu n'es qu'une femme, et toutes les femmes paieront plus ou moins pour toi. J'exagère ? Ecoute... L'homme qui souille une femme souille toujours un peu sa mère. On ne crache pas seulement avec la bouche.
....................
(Jean, le fils de Folcoche, surnommé Brasse-Bouillon
s'en va retrouver Madeleine, la fille d'un paysan.....)
Page 165 à 168
......Mais je n'avais pas l'intention de m'éterniser dans cet échange de sourire et de mots à double sens, que les adolescents prodiguent aux adolescentes. Cette nouvelle vipère qui me grouillait dans le corps, il me fallait aussi l'étrangler.
Et tant pis pour Madeleine ! Est-ce que Folcoche pour assouvir je ne sais quel sadisme, a pris des gants avec nous ? Madeleine était rougeaude, elle prend de plus en plus la tournure des filles craonnaises, que les potées et le lard froid engraissent trop tôt. Dans trois ans, elle aura la démarche des oies grasses. Mais, pour l'instant, c'est encore un piron (oison, en patois) assez tendre pour ce que j'en veux faire. Pucelle ou non, je m'en fous. Elle trouvera toujours un mari pour la valeur de son dos, qui ne rechigne pas aux binages, et de ses mains, qui traient remarquablement vite.
Mais il faut l'approcher, la "travailler". Ce n'est pas si facile. Les paysans se couchent tôt et ne traînent pas dehors, une fois la nuit tombée. En semaine, Folcoche veille, et je ne peux m'échapper que pour de brèves rencontres au pacage. Reste le dimanche, toujours scrupuleusement chômé, sauf en période de moissons, lorque le curé, en chaire, a donné l'autorisation annuelle. Madeleine, revenant des vêpres où elle chante (faux, bien sûr), prend régulièrement le raccourci du petit bois.
Ce que j'ai résolu, je le réalise généralement très vite. Je n'aime pas m'attendre ni attendre les autres.
...........
..........
Ce besoin naturel, car tu le penses tel, est-il donc si gênant de le faire à deux ? Tu voulais rester pur, idiot. Est-ce qu'on retient ses glaires, lorsqu'on a envie de cracher ? L'hygiène publique a inventé les crachoirs comme Dieu a inventé les femmes. La pureté n'exige pas la rétention, mais l'exutoire.
Je m'encourage, je me dope, je m'engueule. Je repars au trot, à la première occasion, vers la prairie des trois ormes, où se tient le plus souvent Madeleine, tricotant des chaussettes de laine pour son frère, le gars Georges. Un parapluie fiché en terre la protège de la pluie ou du soleil, selon les cas. Ses nattes sont toujours ramenées par-devant et coulent entre ses seins. Les yeux oscillent très vite quand je m'approche : ils sont jaunes.
Aujourd'hui, je suis plus généreux, et je dirai qu'ils sont dorés. Je viens m'asseoir à côté d'elle sans lui dire bonjour.
"Faites attention, Monsieur Jean. Mon frère n'est pas loin, à nuit. Il bine les betteraves.""
Il faut enfin que je l'embrasse. Mon bras passe par-dessus son épaule. Ma main, sournoisement, redescend vers l'aiselle, s'insinue. Quand le bout de mes doigts arrive au bord du sein, Madeleine les bloque, sans mot dire, en serrant le coude contre les côtes. J'en suis pour mes frais. Vais-je lui tenir des propos fleuris ? Quelle idée ! Ne gâchons pas nos perles.
Brusquement je me décide et, empoignant une natte, je tire la tête en arrière, sans ménagements. "Ouille!" fait-elle, avant que ma bouche ne gobe la sienne.
Voilà donc qui est fait. Je m'accorde un bon point et retiens l'envie de m'essuyer les lèvres. Madeleine remarque :
"Vous avez de l'amitié pour moi, Monsieur Jean ?"
Amitié en patois craonnais, c'est le vocable discret de l'amour. Non, je n'ai pas la moindre amitié pour cette fille. Je m'étire, je m'écarte un peu, enfin je la questionne.
"Tu n'es pas fâchée, Mado ?"
- "Un p'tit", répond-elle laconiquement.
Mais, ce disant, elle sourit, et, comme elle sourit, je remets ça. Cette fois pourtant, sans vergogne, je saisis et je pétris le sein gauche, que je trouve un peu mou. Je le lâche, par prudence, et je galope ver la belle angerie. Je jubile. Frédie, qui, depuis mon abandon, vagabonde seul, s'aperçoit de mon excitation et m'interroge !
"alors ?"
J'ai grande envie de le sidérer en lui disant que j'ai réussi. Mais je suis encore plus vaniteux que nous ne le pensez et je ne veux lui servir chaud que du réel, d'ici peu, avec le droit de s'embusquer à proximité pour contrôler mon triomphe, s'il le désire. Disons seulement, aujourd'hui, avec nonchalance :
"mon vieux, la nèfle est mûre.
- Non, plaisante Frédie; généralement, on dit la poire. Les nèfles, on les mange quand elles sont pourries.
- Je sais ce que je dis"
Ma réponse n'a pu parvenir jusqu'au tympan de Folcoche, qui survient à cet instant précis. Elle braille, pour change !
"Alors, toujours vos messes basses !"
Je te néglige, ma mère, depuis quelque temps. Excuse-moi. Ce n'est pas mauvaise volonté de ma haine. Mais je suis vraiment très occupé. Pourtant je désire que tu ne t'y trompes pas. Ce que j'en fais, c'est sans doute pour satisfaire un instinct que l'âge développe et que nulle tendresse ne saurait canaliser vers les marais du sentiment. Mais c'est aussi contre toi. Ne dis pas que cela n'a aucun rapport. Tu n'es qu'une femme, et toutes les femmes paieront plus ou moins pour toi. J'exagère ? Ecoute... L'homme qui souille une femme souille toujours un peu sa mère. On ne crache pas seulement avec la bouche.
....................
Deux heures de sommeil et stopppppppppppp
Faible effet du médoc
Puis le cauchemar revient
Il n'était plus venu depuis des mois et voilà qu'il revient !!!!!!!!!
Oui toujours ce même genre de cauchemar :
"Dans la nuit, dans une rue sombre,
être suivie puis rattrapée
puis attrapée
Essayez de se débattre
Crier, Hurler le plus fort possible pour que quelqu'un sorte des maisons
Mais non personne n'entend
Personne ne peut entendre,
car le son qui sort de ma bouche est trop faible pour faire vibrer les volets clos (progrès car dans les anciens cauchemars aucun son ne sortait)
Plus personne ne s'inquiète de ce qui peut se passer à l'extérieur
Ces salauds ont ""quartier libre""
Mais contrairement aux anciens cauchemars
J'arrive à tromper l'ennemi et j'arrive à fuir
Je me trouve une cachette,
Je me tais, je ne bouge plus
Je l'entends, il arrive, il me trouve
Il m'attrappe, il me coince
Alors là, contrairement au passé,
Je remets le film en marche arrière et le corrige
je ne me laisse plus faire
Une barre de fer, une pierre se trouve près de moi
Je le frappe, je ne veux pas le tuer car ce serait encore moi la criminelle
Je le frappe juste ce qu'il faut pour me laisser le temps de me sauver
j'arrive à me sauver une nouvelle fois, je fuis.............."""
je me réveille
3 heures plus tard, je ne dors toujours pas
Je me suis levée et j'ai bouquinée
Combien de nuits ressembleront encore à celle ci..............
Faible effet du médoc
Puis le cauchemar revient
Il n'était plus venu depuis des mois et voilà qu'il revient !!!!!!!!!
Oui toujours ce même genre de cauchemar :
"Dans la nuit, dans une rue sombre,
être suivie puis rattrapée
puis attrapée
Essayez de se débattre
Crier, Hurler le plus fort possible pour que quelqu'un sorte des maisons
Mais non personne n'entend
Personne ne peut entendre,
car le son qui sort de ma bouche est trop faible pour faire vibrer les volets clos (progrès car dans les anciens cauchemars aucun son ne sortait)
Plus personne ne s'inquiète de ce qui peut se passer à l'extérieur
Ces salauds ont ""quartier libre""
Mais contrairement aux anciens cauchemars
J'arrive à tromper l'ennemi et j'arrive à fuir
Je me trouve une cachette,
Je me tais, je ne bouge plus
Je l'entends, il arrive, il me trouve
Il m'attrappe, il me coince
Alors là, contrairement au passé,
Je remets le film en marche arrière et le corrige
je ne me laisse plus faire
Une barre de fer, une pierre se trouve près de moi
Je le frappe, je ne veux pas le tuer car ce serait encore moi la criminelle
Je le frappe juste ce qu'il faut pour me laisser le temps de me sauver
j'arrive à me sauver une nouvelle fois, je fuis.............."""
je me réveille
3 heures plus tard, je ne dors toujours pas
Je me suis levée et j'ai bouquinée
Combien de nuits ressembleront encore à celle ci..............
Le sourire - Emmanuel Moire
On a toujours le droit, de douter, décevoir,
ceux qui sont restés et baisser les bras qu’on levait 100 fois,
longtemps même, mais
On a toujours le droit, de pleurer, certains soirs, tenu au secret,
quand la vie n’est pas, ce qu’on rêvait là, longtemps même,
avant même, de voir
REFRAIN :
Je donne un sourire sans savoir ou ça le mène
s’il peut consoler pour qu’il me revienne
Je donne un sourire et soudain on a le même,
le temps d’essayer, tout vaut la peine
On a toujours le droit de tomber, de s’asseoir, sans se relever,
de se dire pourquoi encore un combat, longtemps même,
avant même d’y croire, d’y croire
REFRAIN :
Je donne un sourire sans savoir ou ça le mène
s’il peut consoler pour qu’il me revienne
Je donne un sourire et soudain on a le même,
le temps d’essayer, tout vaut la peine
Donner un sourire et la terre devient l’Eden, l’Eden
REFRAIN :
Je donne un sourire sans savoir ou ça le mène,
s’il peut consoler pour qu’il me revienne
Je donne un sourire et soudain on a le même,
le temps d’essayer, tout sourire, la Terre devient l’Eden
On a toujours le droit, de douter, décevoir,
ceux qui sont restés et baisser les bras qu’on levait 100 fois,
longtemps même, mais
On a toujours le droit, de pleurer, certains soirs, tenu au secret,
quand la vie n’est pas, ce qu’on rêvait là, longtemps même,
avant même, de voir
REFRAIN :
Je donne un sourire sans savoir ou ça le mène
s’il peut consoler pour qu’il me revienne
Je donne un sourire et soudain on a le même,
le temps d’essayer, tout vaut la peine
On a toujours le droit de tomber, de s’asseoir, sans se relever,
de se dire pourquoi encore un combat, longtemps même,
avant même d’y croire, d’y croire
REFRAIN :
Je donne un sourire sans savoir ou ça le mène
s’il peut consoler pour qu’il me revienne
Je donne un sourire et soudain on a le même,
le temps d’essayer, tout vaut la peine
Donner un sourire et la terre devient l’Eden, l’Eden
REFRAIN :
Je donne un sourire sans savoir ou ça le mène,
s’il peut consoler pour qu’il me revienne
Je donne un sourire et soudain on a le même,
le temps d’essayer, tout sourire, la Terre devient l’Eden
On nous apprend dès l'âge tendre
A réagir à nous défendre
Pour moins souffrir
On nous apprend à être fort
A résister au coup du sort
Et à mentir
Nous surmontons bien des tourments
Mais il nous faut souvent du temps
Pour en guérir
On arrive à sauver la face
A trouver chacun notre place
Côté cœur c'est plus difficile
On reste fragile
Même le temps n'y peut rien changer
D'autres larmes en nous sont cachées
Mais pourquoi dîtes-moi faut-il
Qu'on reste fragile ?
Pour un bonheur vite envolé
Faudrait pouvoir un jour trouver
La marche arrière
Chacun de nous joue comme il peut
La comédie des jours heureux
A sa manière
Nous avons beau rire et chanter
Nous faisons tous la traversée
En solitaire...
On arrive à sauver la face
A trouver chacun notre place
Côté cœur c'est plus difficile
On reste fragile
Même le temps n'y peut rien changer
D'autres larmes en nous sont cachées
Mais pourquoi dîtes-moi faut-il
Qu'on reste fragile ?
Fragile...
julie zenatti
A réagir à nous défendre
Pour moins souffrir
On nous apprend à être fort
A résister au coup du sort
Et à mentir
Nous surmontons bien des tourments
Mais il nous faut souvent du temps
Pour en guérir
On arrive à sauver la face
A trouver chacun notre place
Côté cœur c'est plus difficile
On reste fragile
Même le temps n'y peut rien changer
D'autres larmes en nous sont cachées
Mais pourquoi dîtes-moi faut-il
Qu'on reste fragile ?
Pour un bonheur vite envolé
Faudrait pouvoir un jour trouver
La marche arrière
Chacun de nous joue comme il peut
La comédie des jours heureux
A sa manière
Nous avons beau rire et chanter
Nous faisons tous la traversée
En solitaire...
On arrive à sauver la face
A trouver chacun notre place
Côté cœur c'est plus difficile
On reste fragile
Même le temps n'y peut rien changer
D'autres larmes en nous sont cachées
Mais pourquoi dîtes-moi faut-il
Qu'on reste fragile ?
Fragile...
julie zenatti