Cet espace est destiné à partager votre expérience personnelle dans le but de se rétablir des TCA ! Ainsi, vous pouvez apporter votre contribution au thème de discussion sur les Troubles du Comportement Alimentaire.
C'était rapé pour samedi, mais pas de problème pour samedi prochain
préparez-vous pour 8h30 je passe vous prendre pour le marché hebdomadaire
et le plein de vitamines,
Ninou, je passe la veille au soir, car la route est assez longue,
le marché risquerait d'être fini,
et samedi matin je passe chez Butterfly Kiss et Choubi.
Ensuite dans les fruits achetés, nous n'y verrons plus que du............
du...................
Bien évidemment que du SOLEIL
c'est moi qui conduit la poussette vous avez pas peur j'espère aller en voiture et surtout on oubli rien
ok rayon de soleil jveux bien que tu passe la veille
aller sur ce je suis a la bourre pour changer bisou et bonne journée
J'espère que ma mi-tête va tenir jusqu'à ce soir
et qu'elle ne va pas exploser
car la mi-graine frappe depuis plusieurs jours.
(oh quel lapsus je vois - mamie tète - évidemment elle ne veut absolument
pas me lâcher :)
v'là que c'est le monde à l'envers - c'est la mère qui s'accroche à l'enfant )
Ah !!! petit Rayon de Soleil ce matin dans la Salle de Bain
Butterfly chantait - au réveil la musique est assez entraînante.
et qui dit Butterfly, dis Printemps, et dis SOLEIL
Bonne journée à toutes
m'envoler , sans regret,
pour trouver enfin,
la voie de mon destin,
et essayer, de briser mes chaines.
et je serais différent,
un éclat nouveau brille dans mes yeux,
le monde n'est pas trop grand,
pour celui qui le veut.
si tu as confiance en moi,
je voudrais pour toi.
m'envoler, sans regret,
pour trouver enfin,
la voie de mon destin,
et essayer de briser mes chaines,
de briser mes chaines.
et je le sens grandir,
comme un feu que rien ne peut arreter,
mes sentiments se desire,
oh l'envie d'exister.
il me fait toucher le ciel,
et monter sur la scene.
m'envoler, me dépasser,
pour trouver enfin,
la voie de mon destin,
et essayer de briser mes chaines.
courir et partir,
atteindre l'endroit ou on ne m'attender pas.
il est tant de briser mes chaines,
de briser mes chaines.
se n'est pas pour la gloire,
mais c'est plus qu'un espoir,
car j'en avais réver si longtemp,
c'est bien plus qu'une envie, un désir infinie.
je veux briser mes chaines.
m'envoler, sans regret,
pour trouver enfin,
la voie de mon destin,
et essayer de briser mes chaines.
et courir, grandir,
atteindre l'endroit ou l'on ne m'attendais pas,
il est tant de briser mes chaines.
et je serais different.
un éclat nouveau brille dans mes yeux. [/b]
[center]
"Un jour, apparut un petit trou dans un cocon.
Un homme, qui passait là par hasard, s’arrêta,
et durant de longues heures,
observa le papillon qui s’efforçait de sortir par le petit trou.
Après un long moment, le papillon semblait avoir abandonné,
et le trou demeurait toujours aussi petit.
On aurait dit que le papillon avait fait tout ce qu’il pouvait,
et ne pouvait plus rien tenter d’autre.
Alors l'homme décida d'aider le papillon.
Il prit un canif et ouvrit le cocon.
Le papillon sortit aussitôt.
Mais son corps était maigre et engourdi; s
es ailes étaient peu développées et bougeaient à peine.
L'homme continua à observer le papillon,
pensant que,
d'un moment à l'autre, ses ailes s'ouvriraient
et qu'elles seraient capables de supporter son corps
pour qu'il puisse enfin s'envoler.
Hélas, il n'en fut rien !
Le papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre
avec son maigre corps et ses ailes rabougries.
Jamais, il ne put voler."
Ce que l'homme, avec son geste de gentillesse
et son intention d'aider, ne comprenait pas,
c'est que le passage par le trou étroit du cocon,
était l'effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre
le liquide de son corps à ses ailes,
de manière à pouvoir voler.
C'était le moule à travers lequel la vie le faisait passer
pour grandir et se développer.
Parfois, l'effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie.
Si l'on nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d'obstacles,
nous serions limités.
Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le sommes.
Nous ne pourrions jamais voler.
J'ai demandé la force...
Et la vie m'a donné des difficultés pour me rendre fort.
J'ai demandé la sagesse...
Et la vie m'a donné des problèmes à résoudre.
J'ai demandé la prospérité...
Et la vie m'a donné un cerveau et des muscles pour travailler.
J'ai demandé à pouvoir voler...
Et la vie m'a donné des obstacles à surmonter.
J'ai demandé l'amour...
Et la vie m'a donné des gens à aider dans leurs problèmes.
J'ai demandé des faveurs...
Et la vie m'a donné des potentialités.
Je n'ai rien reçu de ce que j'avais demandé...
Mais j'ai reçu tout ce dont j'avais besoin.
Vis la vie sans peur,
affronte tous les obstacles
et démontre que tu peux les surmonter.
Les amis(es) sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler
comment voler....
L'amitié, c'est une main qui tient la vôtre où que vous soyez, proche ou loin.
L'amitié, c'est un sentiment d'éternité dans le coeur.
L'amitié, c'est une porte toujours ouverte et c'est la plus belle chose que vous puissiez avoir.
pour faire ce que j'ai à faire
ce que je voudrais faire
ce que je veux avoir fait pour le soir
Pour le boulot 7h par jour c'est trop court
Les heures restantes pour la maison
pour les enfants
pour la famille
mais aussi pour moi
sont bien trop courtes aussi.
Alors, à 3 - 4 heures tapantes,
cette heure me tape à la tête
et c'est parti jusqu'au petit matin,
je ne me lève pas
je reste très calme malgré tout
mais c'est parti...........
Tout ce qui n'a pu être organisé
calculé, rangé, réglé ............
tout se réalise dans la tête
je calcule, je rédige, je range,
je classe, je prépare...........
et ça n'arrête plus...............
La différence par rapport au passé
c'est que je reste CALME
ça ne me stresse pas
La seule chose c'est qu'à l'heure de se lever
je resterai bien dans mon lit.
Mais bon,
le moral est là malgré tout
et dès le p'tit dèj finit
la journée est partie...........
Jusqu'à l'heure du prochain dodo
et pour 4 heures en moyenne.......
Après c'est comme les lessives
y'a un pré-(programme) durant la nuit
et le programme pour la journée qui suit.........
P o u r u n e r a i s o n, u n e s a i s o n o u p o u r l a v i e
Les gens entrent dans notre vie pour une raison, une saison ou pour toute la vie. Si nous arrivons à déterminer pour chaque rencontre si nous l'avons faite pour une raison, une saison ou pour la vie, alors nous saurons comment réagir envers elle.
Celui qui passe dans notre vie pour une RAISON :
C'est généralement pour combler un besoin que nous exprimons (consciemment ou non). Il est là pour nous aider à traverser des difficultés, pour nous fournir des pistes ou nous guider et soutenir, pour nous aider physiquement, émotionnellement ou spirituellement. Il peut nous apparaître comme une aubaine et s'en est une! Il est là parce que nous en avons besoin.
Un jour, sans que nous n'y ayons la moindre part de responsabilité, cette relation fera ou dira quelque chose qui brisera le lien. Peut-être... mourra-t-elle ou partira-t-elle, peut-être agira-t-elle de telle manière que nous ne pourrons continuer de cheminer à ses côtés. Ce que nous devons réaliser alors, c'est que notre besoin a été comblé, notre désir satisfait, qu'il n'y a plus de raison de cheminer ensemble et qu'il devait être temps de se séparer.
Celui qui entre dans notre vie pour une SAISON :
Parce que notre tour est venu de partager, d'évoluer ou d'apprendre. Il nous apporte un sentiment de paix, ou nous fait rire. Il se peut qu'il nous fasse découvrir quelque chose de nouveau, ou nous fasse faire quelque chose dont nous nous sentions incapable. Celui-là nous apporte généralement une somme immense de joies. Mais ce n'est, peut-être, que pour une saison...
Ceux qui sont là pour TOUTE LA VIE :
Ceux-là nous forgent pour la vie, nous aident à construire nos bases émotionnelles. Notre tâche est d'accepter les leçons, d'aimer et de mettre ce que nous en avons reçu et appris dans les autres relations qui émaillent notre vie.
On dit que l'amour est aveugle, l'amitié, elle, est clairvoyante.
Auteur inconnu
voici un texte que tu ma mis il y a quel que temps
j'ai appris a le lire et a le relire pour bien en comprendre le sens
je sais aujourd'hui que tu fait partie de ma vie et peut importe combien de temps
je sais profiter de chaque moment passer en ta compagnie je sais que chaque jour j'apprends je ris je pleur je vie et j'aime partager ces moments avec toi
pour une raison oui
pour toute les raison qui font que je suis bien en ta compagnie
parce que tu m'apporte énormément
parce que tu m'accepte tel que je suis par ce que tu ne me juge pas
par ce que tu sais me montrer la voie
parce que tu est une amie de coeur
par ce que tu est tel que tu est
pour une saison oui " ça fait presque un an"
pour la vie peut m'importe !!!!
je savoure l'instant présent et je vie ma vie avec tous ce que tu ma appris
"Sois-toi" un jour ce bon pote m'a dit
"redeviens-toi" me dis-je aujourd'hui
Pas facile, pas simple d'être soi
Mais c'est être agile, être bien qu'être soi
La nature n'a d'envie que pour la simplicité
Etre soi, c'est être nature sans aucune ambiguïté
C'est veiller au bien des autres sans duplicité
Et se fournir une paix interne en toute égalité
II y a des jours qui certes agressent
II y a alors ce que tu apportes sans cesse
Montrer enfin cette joie ineffable qui y découle
Réchauffe ce coeur et celui de l'autre qui déboule
Fortifies-toi, sois grand et "t'es toi"
Alors de nos émois tirent la puissance de la foi
Qui accepte, des autres, cette flamme du moi
Dans l'éclat n'écrase point pour être soi
II y a des mots qui font que je suis moi
II y a des maux qui amplifient ; là est le roi
"Redeviens-toi" alors je me réchauffe et te bénis
"Sois-toi", sans illusion de l'esprit, que la pureté de mon habit
merci, mon ami toi aussi, sois toi fais le plein de tes sept vies
et réponds à celui qui "aide-moi"
Être grand, c'est savoir relever le petit
Rendre sa puissance d'être dans l'envie
Tendre ta main sans attendre son merci
Et jouir de son effort dans ta petite vie.
Merci l'ami...
Merci.
EsteBaN HACHE
Que ce dont je t'ai parlée arrive le plus vite possible.........
Il y a dans ma vie, une épice rare, inespérée,
je dirais même, bénie des dieux.
Cette poudre magique transforme mon quotidien
en rayon de soleil dès qu'elle se répand sur
un problème à résoudre,
une solution à mettre.
J'ai cette chance inouïe de posséder
cette substance miracle !
Quand je traverse des temps difficiles,
que mon quotidien me fait mal,
qu'il y a un trop plein de vécu
et que j'ai besoin de courage et d'énergie
pour faire face au nouveau jour qui naît,
et qui doit se poursuivre malgré
la coupure du temps,
c'est alors que mon épice magique
vient poivrer ma journée de compréhension,
d'écoute active.
Son parfum me soutient, sa force me guide,
son arôme de discrétion me protège.
Le plus beau souhait que je puisse vous faire,
c'est de trouver cette poudre magique,
de la répandre avec amour.
Rire, c'est risquer d'avoir l'air idiot.
Pleurer, c'est risquer d'avoir l'air émotif.
Aller vers l'autre, c'est risquer de s'impliquer.
Exprimer ses sentiments, c'est risquer d'exposer le fond de soi-même.
Faire part de ses idées et de ses rêves à la foule,
c'est risquer de les perdre.
Aimer, c'est risquer de ne pas être aimé en retour.
Vivre, c'est risquer de mourir.
Essayer c'est risquer d'échouer.
Mais il faut prendre des risques parce que le plus grand danger,
dans la vie, c'est de n'en prendre aucun.
Les gens qui risquent rien ne font rien,
n'ont rien, ne sont rien.
Peut-être évitent-ils la souffrance et la peine,
mais ils ne peuvent ni apprendre, ni sentir,
ni changer, ni grandir, ni vivre.
Ce sont des esclaves enchaînés par leurs attitudes.
Ils ont perdu leur liberté.
Seul celui qui risque est libre.
On ne peut pas toujours changer ce que l'on affronte,
Mais on ne peut JAMAIS changer ce que l'on n'affronte pas.
Elle est tombée
elle comporte un certain nombre d'heures
Reste à les combler jusqu'au lever du jour
Lecture,
quelques heures de sommeil
puis réveil
beaucoup trop tôt
attendre que l'heure du lever arrive
Ensuite même si le "pas assez"" de sommeil est là
qu'importe
le sourire reviendra sur le visage
jusqu'au soir
et qu'importe
encore un petit coup de ménage à faire
le parquet reluira d'ici peu
Film VO ou Science fiction ???
En définitive, ce film avait une part infime de réalité.
Il ne servait en fait, qu'à servir d'écran pour cacher la réalité de cette peur du noir et de la nuit.
Ce noir qui angoisse car on n'y voit rien
On ne peut voir si le fantôme ne deviendrait pas réalité et
attendrait là, caché dans la nuit, prêt à surgir et à ...........
Des évènements récents ont augmenté cette peur du noir et de la nuit,
cette peur du fantôme.
Enfant, ce fantôme s'appelait Belphégor, il nous attendait à la sortie de l'école,
d'après les ragots de certaines élèves plus hardies !!!!!!!!!
Mais ce fantôme là n'est pas celui qui a envahi ma vie.
Cette peur qui fait que je ne peux sortir dans la nuit
sans être angoissée,
sans être à l'affût du moindre bruit, du moindre son même infime,
sans regarder partout autour de soi
sans se sentir continuellement suivie, que ce soit à pied ou en voiture
Cette peur qui fait que lorsque je rentre dans la nuit,
je ferme les portes du garage à vitesse grand V,
je file à la porte d'entrée et glisse la clé dans la serrure
en ne cessant de regarder que personne n'est là,
que j'entre, claque la porte et tourne la clé pour la refermer en craignant que quelqu'un ne la pousse,
ou coince son pied dans l'entrebaillement
Cette peur qui fait que je dois certainement me classer dans les premières,
dans les championnes du sprint :) :) :)
Et même en étant à l'intérieur, dès que la nuit commence à tomber,
de fermer tous les volets,
si la nuit est déjà tombée, de les fermer si rapidement que je me suis souvent
coincé les doigts en voulant faire trop vite
de fermer le volet de la porte fenêtre sans me retourner, pour être sûre
de CONTROLER que le fantôme n'est pas dans le secteur,
de ne pouvoir m'endormir de peur de...........
de ne pouvoir dormir lorsque je suis seule de peur de..........
de me retourner sans cesse en ayant l'impression d'un quelqu'un derrière moi
d'avoir l'impression d'entendre, mais entendre quoi ???? rien en réalité,
car forcément, y'a personne, c'est un rêve
Ce fantôme est encore plus présent qu'avant !!!
Il ne m'autorise plus qu'à dormir un stricte minimum
Après plusieurs nuits d'insomnies, j'ai droit à une nuit moins interrompue
qui permet de récupérer un minimum.
Et c'est reparti pour plusieurs nuits.
Mais à présent, même s'il me réveille, je sais pourquoi il est là,
et je l'apprivoise !!!!!!!!!
Je ne m'énerve plus de ne pas dormir, j'attends, j'attends !!!
j'attends que le matin arrive, j'attrape mon walkman et la musique m'envahit.
Parfois elle permet de somnoler ou de me rendormir.
Mais, au fil des jours et des semaines, ce manque de sommeil ""pèse lourd"" sur le corps
qu'il faut contrôler toute la journée pour ne pas s'endormir,
pour ne pas chuter.........
s'activer un max pour rester éveiller........
Ce fantôme je l'apprivoise.
Je sais à présent, la raison de ces insomnies et
suis consciente qu'elles ne cesseront pas dès la nuit prochaine.
Qu'elles ne cesseront qu'un jour...........
Ce jour sera celui où ce fantôme ne pourra plus jamais atteindre la société
qu'il ne pourra plus jamais me faire de mal ni à quiconque.
Alors ce jour là risque d'être encore loin.
Il me faut donc à présent, optimiser
et faire en sorte d'arriver à l'empêcher de me voler mes heures de sommeil,
de me voler mes nuits
de violer mes rêves.
Un fantôme est un être que l'on ne peut voir,
mais aujourd'hui celui qui hante ma vie est identifié et
cela me permettra d'avancer,
d'arriver le plus rapidement possible à ne plus contrôler sans cesse autour de moi,
à me protéger certes, mais ne plus contrôler, ne plus craindre systématiquement.
Cela me permettra en parallèle à ne plus contrôler sans cesse mon alimentation, (mon poids aussi même si ce n'est plus qu'une fois le matin) , et
de continuer à laisser entrer d'autres aliments
à me protéger de ne pas prendre plus qu'il n'en faut, mais
suffisamment pour vivre et avoir des activités qui me manquent beaucoup.
Alors
dépêche toi de te sauver de ma vie
ou plutôt je ferais tout, en sorte de ne plus me laisser envahir par tes apparitions nocturnes !!!!!!!!!
Bonne nuit
Laisse moi dormir cette nuit, c'est week-end, j'en ai besoin !!!! :) :) :) :)
il me semble malheureusement que pour retrouver le sommeil il faudra soit accepter que le fantome puisse toujours agir en te disant que tu n'y peux rien ,soit le savoir à présent inoffensif pour toutes celles qui aurait à le craindre
il me semble malheureusement que pour retrouver le sommeil il faudra soit accepter que le fantome puisse toujours agir en te disant que tu n'y peux rien ,soit le savoir à présent inoffensif pour toutes celles qui aurait à le craindre
Non Mother !!! ne dis pas ""pauvre"" !!!!
A partir du moment où l'on regarde les choses en face
( :) :) :) lapsus car la nuit j'ai peur qu'il arrive par derrière moi :) :) )
Eh bien !!! lorsque l'on est consciente de cela,
rien de plus efficace pour faire en sorte d'agir et de réagir en conséquences,
et d'arriver un peu à la fois à accepter, comme tu dis,
que ce fantôme existe et de lui interdire de faire son apparition
dès que la nuit tombe et jusqu'au lever du soleil.
Ce terrain semble un peu sauvage, mais il renferme plein de richesses.......
Donc, je reste avec le sourire et l'optimisme............
J'ai fait en sorte de sortir de la prison de l'anorexie,
je continue pour ne pas rester prisonnière de ce fantôme :) :)
Même si cette nuit a été découpée en de nombreux épisodes,
j'ai réussi à flémarder jusqu'à 8 h 30, ce qui m'a permis de récupérer un peu.
Les larmes coulent sur mes joues devant tant de beauté
de merveilles que je n'arrive plus à apprécier comme il se devrait............
Mais j'apprécie toujours autant la voix et la musique de Loreena McKennitt
La nuit n'était pas encore tombée que tout est bouclée.
Les volets et portes sont tous fermés
Peur du noir !!!!!!!!!!!!! Eh oui !!!!!!!
Souvenirs souvenirs............
Toilettes à l'extérieur de la maison,
Bien qu'il y avait la lumière de cour
c'était en vitesse
et même s'il n'y avait que 6-7 m
c'était retour dans la maison au pas de course.
Lorsqu'il y avait des ""disputes"" avec ma soeur
au moment de dormir
notre mère venait dans notre chambre
et attrapait l'une des deux, l'une ou l'autre
sans chercher à savoir ce qu'il se passait
et quelque soit la saison
en chemise de nuit
elle nous enfermait dehors
elle prenait soin d'éteindre la lumière de cour
et de fermer la porte à clé
et me laissait là !!!!!! Toute seule !!!!!!! Dans la nuit NOIRE NOIRE NOIRE
Aucun point de lumière si ce n'est que les étoiles
elle savait que j'avais peur, elle le savait...........
ça devait me calmer
Que de fois c'est arrivé !!!!!!!!!!!!!
ah ça oui !!!!!!!!!
le dos à la porte de la maison
à scruter le haut de la cour
de guetter que personne n'arrivait............
en attendant qu'elle veuille bien me laisser rentrer
Cette maison isolée en plein milieu des champs !!!!!!!!!!!
Comment ne pas avoir peur !!!!!!!!!!!!
Après, il fallait lui demander PARDON avant d'aller se coucher
et je courai me blottir en boule dans le fond de mon lit
morte de trouille !!!!!!!!!!!!!!!!!
Ne plus oser bouger ..................
je suis verte toute une page en reponse à ta peur du noir et hop .... plus rien.
Je vais me reconcentrer et me decontracter et je reprendrais la conversation !
Constat d’un état où le « sentiment-gramme » n’indique plus qu’une ligne totalement horizontale, plus aucune courbe, plus aucun pic et où tristesse, morosité et peur ont pris la place à gaieté, joie et plaisir de vivre.
Dans le précédent chapitre de mon histoire, je racontais mon « auto-accouchement ».
Après que le monitoring avait indiqué toutes les pulsions de mon corps pour me libérer vers la vie, je me suis retrouvée au grand jour, hors de cette bulle, hors de cet utérus.
Après le cri que chaque nouveau né pousse à sa naissance, j’ai vécu une première semaine de rêves où je vivais, respirais, profitais des plaisirs que la vie offre….. Le rêve !!! je n’avais jamais, à ce moment là, vécu dans un tel bonheur, aussi libérée et sereine. Je respirais avec mes propres poumons. Il se remplissait et se vidait d’air pour moi toute seule, il ne fonctionnait plus en vase communiquant.
Une semaine paradisiaque, inimaginable !!!
Soudain tout s’est arrêté net.
Pourquoi ??? Pourquoi ????
Tous mes sentiments se sont retrouvés en stand-by, d’une manière que je n’avais connue jusqu’ici. Les peurs ont commencé à augmenter à un point que je n’avais là non plus, jamais connues.
Le monitoring de ma vie n’émettait plus qu’une ligne totalement horizontale.
Le sentiment-gramme n’indiquait lui aussi qu’une ligne horizontale.
L’audiogramme pareil. Pour la vue, mes lunettes ne laissaient plus passer le soleil, ni les couleurs, je ne percevais plus que du NOIR, pas du gris, du NOIR complet. Même pas la moindre raie de lumière. La bouche, le goût, idem !!!!!!!
J’avais pu pendant quelques jours, réussir à apprécier ces moment de la vie, ces moments à savourer avec plaisir les aliments de la vie, et là, plus aucune sensation, plus aucune saveur, plus aucune couleur.
Non, je ne suis pas retombée dans l’anorexie. Ce tourbillon qui m’a emporté une première fois, et duquel je me suis éjectée le mois dernier, ne m’a pas réaspiré.
Pour continuer, la représentation imagée de cet accouchement, je suis sortie de cette bulle.
Comme chacun sait, une bulle lorsqu’elle a été éclaté, ne peut en aucun cas redevenir bulle. Cette bulle, cet utérus duquel je suis sortie, je ne veux plus et ne peux plus de toute façon retourner à l’intérieur. On accouche mais on ne peut désaccoucher, tout comme on prend des décisions mais on ne peut les effacer. On ne peut plus qu’agir en conséquences.
A présent, je dirais que suite à cet auto-naissance, et cette première prise d’air de la vie, je me retrouve dans le même état de peur que celle que j’ai connu ces derniers temps avec le noir.
Je me retrouve le dos collé à cette porte, comme je l’explique dans mon message précédent, collée à l’ouverture de cet utérus, de cette bulle, mais dans lesquels je ne peux plus retourner pour me remettre en sécurité et j’ai PEUR !!!!!!!!
Alors je me suis retrouvée figée, tout comme mes sentiments et mon alimentation.
Je scrute la pénombre devant moi et ne bouge plus. Je suis morte de trouille mais vivante.
Mais PEUR DE QUOI !!!! Peur du NOIR !!! Peur de l’inconnu qui peut surgir !!!!
Dès mon auto-naissance, une paire de bras était là immédiatement pour m’accueillir.
(un grand merci au passage aux autres personnes qui m’ont accueillies à leur manière avec une chaleur immense)
Ils étaient doux, caressants, accueillants, d’un immense réconfort après les épreuves difficiles de l’accouchement.
Pendant une semaine, ils ne pouvaient plus me lâcher, et je ne les lâchais plus non plus. Je découvrais un plaisir immense. J’étais heureuse de les trouver.
En parallèle, il en était idem avec la nourriture.
L’un comme l’autre je les appréciais, je profitais un maximum de leur bienfait tout en restant dans le « raisonnable », je vivais ces moments de plaisir à fond.
Mais pourquoi donc cette peur et cette mise en stand by sont venus stopper net ce plaisir de vivre ?????
Alors comme à chaque étape, repli sur moi-même, appel à l’aide, pour trouver au fond de moi le pourquoi de cette réaction, de cet état dans lequel je me retrouvais et que je n’avais jamais ressenti de cette manière jusqu’à présent. Etat dont j’avais conscience et qui me faisait peur lui aussi. La peur de la peur !!!!!!!!!
Voilà la réponse à ma question :
Ces bras tout comme mon corps, je leur ai imposé un refus total ou partiel de m’apporter un quelconque plaisir.
A ma naissance, l’un comme l’autre n’avaient jamais connu ni apprécié ces « plaisirs » de la vie avec beaucoup de « plaisir ».
Ce plaisir, j’ai eu peur qu’il m’envahisse de trop et que je redevienne dépendante. Cette dépendance m’a coûtée trop chère, (trop chair) en santé, aussi bien pour l’avoir vécu, que pour m’en libérer.
J’acquiers enfin cette liberté qu’inconsciemment j’avais toujours recherchée et ne veux en aucun cas redevenir dépendante des plaisirs que l’on peut m’apporter ni être l’objet de tout plaisir.
Aussi pour ce qui est de mon assiette, j’ai pris RDV chez un nutritionniste que j’avais contacté au début de cette prise, (cette emprise) dans le tourbillon de l’anorexie. Bien qu’il ne m’avait à l’époque pas caché son affolement devant mon comportement alimentaire, les conseils d’alimentation qu’il m’avait transmis m’avaient et me sont encore d’un grand secours.
Aujourd’hui j’ai à nouveau besoin de son aide. Même si je m’estime apte à établir un menu dit équilibré, il me faut cette béquille temporaire pour me guider dans la réalimentation. J’ai besoin de cette aide extérieure pour me rassurer. (au passage un grand merci à Vulcane), pour que cette réalimentation se fasse d’une part en douceur, que je retrouve confiance en moi et confiance aux aliments, et d’autre part que l’équilibre sur la balance ne m’affole pas.
J’ai connu le TROP, j’ai connu le RIEN et le PEU,
Je cherche le JUSTE MILIEU.
Pour ce qui est des bras accueillants, j’ai connu le trop dans des bras du passé,
j’ai été amenée à imposer définitivement le plus du tout dans ces mêmes bras,
car ceux-là refusaient absolument le MOYEN.
J’ai imposé le plus du tout et le peu à des bras que j’ai choisi il y a 20 ans, il me faut , tout comme l’alimentation retrouver une confiance en moi et comme dans d’autres domaines, pour ne pas craindre l’EQUILIBRE.
Mes objectifs sont à présent définis, et ils me sont nécessaires pour me lancer dans ce nouveau saut en longueur……….
Roulée en bouche au fond de l’amer
Ce cœur battant n’est pas le mien
Rien ne me semble délétère
Du fonds de la grotte, je ne crains rien
Derrière les murs, j’entends des cris
Vibrations étranges d’un au-delà
Et m’enivre de breuvages exquis
Eve en construction dans ces effluves de plasma
Je ne sais rien mais connaît ma puissance
De n’être rien qu’un noyau fragile
Mais je sens approcher l’échéance
D’un vide immense et inutile
Soudain la mère se déchaîne en tempête
J’étouffe dans cet antre devenu minuscule
Aspirée par des parois qui se resserrent
Et des doigts qui me manipulent
L’air me brûle les poumons
Hurlante de révolte et d’indignation
Nostalgie d’un paradis rouge bonbon
Catapultée dans un monde sans raison
ta conclusion est très juste...
surttt la dernière phrase, "retrouver la confiance en soi, et l'équilibre"
arrêtons de faire le tt ou rien...
je trouve que tu travailles bcp sur toi, sur les pourquoi du comment, je pense que c'est un passage nécessaire pour avancer et comprendre le pourquoi de notre mal être...