Carnet d'Anianka
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Angee, ca me fait si palisir de voir ta frimousse parmis nous... Je pense fort a toi... Tu le sais bien.
Angel, tu sais que ce n'est pas ta faute. Tu ne dois pas t'en vouloir. je t'ai deja raconte "l'avant"... J'en serai de toute facon arrive la. Tu n'as pas de reproches a te faire. c'etait mon destin par un moyen ou l'autre. Je t'aime fort, ne sois pas triste. Tu sais j'ai mal mais rien ne me tuera... Je serai toujours la.
promis!
Angel, tu sais que ce n'est pas ta faute. Tu ne dois pas t'en vouloir. je t'ai deja raconte "l'avant"... J'en serai de toute facon arrive la. Tu n'as pas de reproches a te faire. c'etait mon destin par un moyen ou l'autre. Je t'aime fort, ne sois pas triste. Tu sais j'ai mal mais rien ne me tuera... Je serai toujours la.
promis!
Mano solo... toujours a mes cotes
Tous les jours sont pour moi comme quand on descend d'un train
Et qu'on aimerait bien qu'il y ait quelqu'un
Juste un petit cœur tendre, qui serait là à m'attendre
Mais sur le quai, y a pas la foule, juste deux trois connaissances
Le désir, la mort, la malchance
J'ai fait comme si je les avais pas vus
Mais c'est eux qui me collent au cul
Fera-t-il jour un jour dans ma nuit de l'amour
Me lèverai-je un matin avec autre chose que du chagrin
Tu me manques, je sais même plus combien
J'ai jamais su compter si loin.
J'ai dû croiser trop de chats noirs et il pleuvait des enclumes
Toujours dans la côte et jamais le vent dans le dos
Alors je continue, je monte sur scène, j'y crache ma peine
Et je continue ce n'est que ma vie
Excuse-moi du peu, excuse-moi de l'odeur
Excuse-moi pour tout, excuse-moi de la peur
Et qu'on aimerait bien qu'il y ait quelqu'un
Juste un petit cœur tendre, qui serait là à m'attendre
Mais sur le quai, y a pas la foule, juste deux trois connaissances
Le désir, la mort, la malchance
J'ai fait comme si je les avais pas vus
Mais c'est eux qui me collent au cul
Fera-t-il jour un jour dans ma nuit de l'amour
Me lèverai-je un matin avec autre chose que du chagrin
Tu me manques, je sais même plus combien
J'ai jamais su compter si loin.
J'ai dû croiser trop de chats noirs et il pleuvait des enclumes
Toujours dans la côte et jamais le vent dans le dos
Alors je continue, je monte sur scène, j'y crache ma peine
Et je continue ce n'est que ma vie
Excuse-moi du peu, excuse-moi de l'odeur
Excuse-moi pour tout, excuse-moi de la peur
"Encore une histoire
Qu'on rebalance
Une histoire qui se déhanche
Une histoire qu'à pas de chance
Une histoire qu'a pas de sens
Une histoire pire qu'un sale dimanche
Une fraction dans l'errance d'un sale môme de France
Je marche seul
Avec plus plus personne
A qui faire la gueule
Encore une histoire qui bave
Une histoire bien pourave
Une histoire de laves
Pour un peu on se marave
Une histoire bien penonche
Une histoire qu'on enfonce
Une histoire pleine de ronce
Ouais je marche seul
Avec plus personne
A qui faire la gueule
Encore une histoire qui crève là
Sur le trottoir
On se tourne le dos
On crache son dernier glaviot
Tous mes amis m'ont dit
Que c'était moi mon pire ennemi
Je marche seul
Avec plus personne à qui faire la gueule
"
Qu'on rebalance
Une histoire qui se déhanche
Une histoire qu'à pas de chance
Une histoire qu'a pas de sens
Une histoire pire qu'un sale dimanche
Une fraction dans l'errance d'un sale môme de France
Je marche seul
Avec plus plus personne
A qui faire la gueule
Encore une histoire qui bave
Une histoire bien pourave
Une histoire de laves
Pour un peu on se marave
Une histoire bien penonche
Une histoire qu'on enfonce
Une histoire pleine de ronce
Ouais je marche seul
Avec plus personne
A qui faire la gueule
Encore une histoire qui crève là
Sur le trottoir
On se tourne le dos
On crache son dernier glaviot
Tous mes amis m'ont dit
Que c'était moi mon pire ennemi
Je marche seul
Avec plus personne à qui faire la gueule
"
"Je suis venu vous voir avant de partir , y avait personne ça vaut mieux comme ça , je savais pas trop quoi vous dire , croyez pas que j'vous abandonne même si , encore une fois , je vous laisse le pire : les larmes qu'on verse sur la mort d'un homme .
Adieu mes amis , je m'srai bien battu encore , adieu mes amours , priez pour moi...
Toi que j'aime , que j'ai aimé , compagnon d'un jour ou d'une année , déjà tu sais que dans mon cœur même moisi flottent encore violence et tendresse ... mon existence ne tient pas qu'a ma graisse , je suis esprit avant dêtre un corp , je suis mort mais
rien n'est fini , il reste ma voix et bien peu d'écrits .
J'avais surtout une grande gueule pour chanter des chansons d'amour pour Paris , sur la ptite scène du Tourtour...
Mes amis , ne pleurez pas , le combat continue sans moi , tant que quelqu'un écoutera ma voix je serai vivant dans votre monde a la con ! avec du sang plein les orbites , et même du plastique sur la pénis je vais sûrement être recalé a l'examen du grand sa
ge mais j'en profiterai quand même pour lui dire ce que j'en pense de l'existence , cette engeance , et s'il ne voit pas que je suis un ange alors qu'il change de boulot... et s'il veut , moi je prend sa place : y aura des filles et de la Ganja , des pass
ion sans limites , nous nous battrons des ailes et nous volerons bourrés , nous mangerons des pommes envenimées et nous cracherons le mal comme un pépin, nous serons sincères comme jamais et nous serons beaux pour ça ..."
Une derniere, juste pour dire que je me sens seule... je sais que je ne le suis pas mais je ne vois que moi... Jme sens vide et ce vide, je le projete utour de moi.
Jamais je ne me suis vue si laide, si grosse, si "au bout"... J'ai respire mes dernieres bouffees d'oxygene et j'etouffe peu a peu.
Parfois, je me dis que c'est un cauchemar... Il n'y a que dans les cauchemars qu'il n'y a pas un peu de blanc pour rehausseer le noir... Non, y'a ma vie aussi.
J'en ai marre
Adieu mes amis , je m'srai bien battu encore , adieu mes amours , priez pour moi...
Toi que j'aime , que j'ai aimé , compagnon d'un jour ou d'une année , déjà tu sais que dans mon cœur même moisi flottent encore violence et tendresse ... mon existence ne tient pas qu'a ma graisse , je suis esprit avant dêtre un corp , je suis mort mais
rien n'est fini , il reste ma voix et bien peu d'écrits .
J'avais surtout une grande gueule pour chanter des chansons d'amour pour Paris , sur la ptite scène du Tourtour...
Mes amis , ne pleurez pas , le combat continue sans moi , tant que quelqu'un écoutera ma voix je serai vivant dans votre monde a la con ! avec du sang plein les orbites , et même du plastique sur la pénis je vais sûrement être recalé a l'examen du grand sa
ge mais j'en profiterai quand même pour lui dire ce que j'en pense de l'existence , cette engeance , et s'il ne voit pas que je suis un ange alors qu'il change de boulot... et s'il veut , moi je prend sa place : y aura des filles et de la Ganja , des pass
ion sans limites , nous nous battrons des ailes et nous volerons bourrés , nous mangerons des pommes envenimées et nous cracherons le mal comme un pépin, nous serons sincères comme jamais et nous serons beaux pour ça ..."
Une derniere, juste pour dire que je me sens seule... je sais que je ne le suis pas mais je ne vois que moi... Jme sens vide et ce vide, je le projete utour de moi.
Jamais je ne me suis vue si laide, si grosse, si "au bout"... J'ai respire mes dernieres bouffees d'oxygene et j'etouffe peu a peu.
Parfois, je me dis que c'est un cauchemar... Il n'y a que dans les cauchemars qu'il n'y a pas un peu de blanc pour rehausseer le noir... Non, y'a ma vie aussi.
J'en ai marre
Les rêves ça pousse sous la pluie
Quand la dernière larme fait déborder la rigole
Et le flot t'emporte loin très vite
Et tu ne sens plus le froid
L'eau qui te mouille et tu respires dans la vague
En déclarant aux poissons plutôt crever
Plutôt mourir que ne pas vivre
Alors, alors ils t'écoutent sachant bien que tu n'es pas d'ici
Et comme un étranger rentrant chez lui
Tu vas partir tu n'es pas de ce monde
Et ta femme jalouse possessive et redoutable
A laissé sur toi son parfum tenace et visqueux
Madame la mort ne supporte pas d'incartades
Tout juste elle te donne du mou
Faire le fanfaron déchiré sur un comptoir
A hurler pour un panier de crabes
Une tribu de morues et un banc de maquereaux
En brandissant ton poing rageur
Moi c'est pas ma femme qui porte la culotte
Alors ils rient ou s'émeuvent du ridicule
Ou de la naïveté et les conversations reprennent
Chacun dans sa bulle d'eau propre
Les poissons s'en branlent
Iils ne viendront pas chez toi vérifier
A-t-on déjà vu un poisson sortir de l'eau et visiter la réalité?
Il y a pourtant tant de choses à dire, tant de choses à faire
Tant de barreaux à scier avec les dents qui restent
Il y a tant de morts à vivre en toi, cimetière ambulant
De souvenirs de chair et de sang d'espoirs inassouvis abattus en plein vol
Tant de haine qui ne se tait que pour reprendre son souffle
Tant d'amour jamais si vrai qu'au moment où il fait mal
Tant de choses à dire, tant de chemin parcouru
Pour n'oublier que les autres qu'on traverse et qu'on transperce
Pour se retrouver tout rouge, la bouche dégoulinante
D'une valve qu'on mâche encore.
Il y a tant de vérités qui ne servent qu'à mentir
Tant de merde pour chaque jour sortir de mon cul
Il y a tout ce qu'on mange et tout ce qu'on tue
Il y a tant d'amis d'aujourd'hui
Qui déversent des mots qui flattent mon ego
Comme la croupe d'un cheval de labour
Et qui plongent dans le sillon définitivement impur
Il y a tant de feux-follets, femmes étincelantes qui percent mes ténèbres
L'espace d'un instant, juste un instant, t'es pas rendu mon gars
Il y a tant de choses en toi, alors la marée s'en va
Et les poissons avec elle
Alors planté dans la vase tu sais qu'elle t'attend
Et qu'à mesure que l'eau descend sous ta peau tu la sens
Qui récupère son bien, tu lui appartient
Alors elle te ramène chez toi titubant
Et te borde dans ton lit froid
Et elle gèlera tes rêves pour que tu ne t'y noies pas
Pas encore et tu sens ton corps flétrir
Et racornir sous le gel à mesure qu'à l'intérieur gonfle ton cœur
Et encore une nuit à attendre de savoir si tu tiendras les pressions
A se demander pourquoi ne pas laisser béton
Cette histoire n'est plus la tienne
Il est mort depuis longtemps le beau jeune homme au talent
Il ne reste que sa rage qui demain te tiendra debout
Momie raidie par le froid avec juste la force de pleurer
Sous cette putain de pluie où naissent les putains de rêves
Quand la dernière larme fait déborder la rigole
Et le flot t'emporte loin très vite
Et tu ne sens plus le froid
L'eau qui te mouille et tu respires dans la vague
En déclarant aux poissons plutôt crever
Plutôt mourir que ne pas vivre
Alors, alors ils t'écoutent sachant bien que tu n'es pas d'ici
Et comme un étranger rentrant chez lui
Tu vas partir tu n'es pas de ce monde
Et ta femme jalouse possessive et redoutable
A laissé sur toi son parfum tenace et visqueux
Madame la mort ne supporte pas d'incartades
Tout juste elle te donne du mou
Faire le fanfaron déchiré sur un comptoir
A hurler pour un panier de crabes
Une tribu de morues et un banc de maquereaux
En brandissant ton poing rageur
Moi c'est pas ma femme qui porte la culotte
Alors ils rient ou s'émeuvent du ridicule
Ou de la naïveté et les conversations reprennent
Chacun dans sa bulle d'eau propre
Les poissons s'en branlent
Iils ne viendront pas chez toi vérifier
A-t-on déjà vu un poisson sortir de l'eau et visiter la réalité?
Il y a pourtant tant de choses à dire, tant de choses à faire
Tant de barreaux à scier avec les dents qui restent
Il y a tant de morts à vivre en toi, cimetière ambulant
De souvenirs de chair et de sang d'espoirs inassouvis abattus en plein vol
Tant de haine qui ne se tait que pour reprendre son souffle
Tant d'amour jamais si vrai qu'au moment où il fait mal
Tant de choses à dire, tant de chemin parcouru
Pour n'oublier que les autres qu'on traverse et qu'on transperce
Pour se retrouver tout rouge, la bouche dégoulinante
D'une valve qu'on mâche encore.
Il y a tant de vérités qui ne servent qu'à mentir
Tant de merde pour chaque jour sortir de mon cul
Il y a tout ce qu'on mange et tout ce qu'on tue
Il y a tant d'amis d'aujourd'hui
Qui déversent des mots qui flattent mon ego
Comme la croupe d'un cheval de labour
Et qui plongent dans le sillon définitivement impur
Il y a tant de feux-follets, femmes étincelantes qui percent mes ténèbres
L'espace d'un instant, juste un instant, t'es pas rendu mon gars
Il y a tant de choses en toi, alors la marée s'en va
Et les poissons avec elle
Alors planté dans la vase tu sais qu'elle t'attend
Et qu'à mesure que l'eau descend sous ta peau tu la sens
Qui récupère son bien, tu lui appartient
Alors elle te ramène chez toi titubant
Et te borde dans ton lit froid
Et elle gèlera tes rêves pour que tu ne t'y noies pas
Pas encore et tu sens ton corps flétrir
Et racornir sous le gel à mesure qu'à l'intérieur gonfle ton cœur
Et encore une nuit à attendre de savoir si tu tiendras les pressions
A se demander pourquoi ne pas laisser béton
Cette histoire n'est plus la tienne
Il est mort depuis longtemps le beau jeune homme au talent
Il ne reste que sa rage qui demain te tiendra debout
Momie raidie par le froid avec juste la force de pleurer
Sous cette putain de pluie où naissent les putains de rêves
-
- Enfinien éprouvé
- Messages : 362
- Enregistré le : 23 févr. 2004, 01:00
C'est ma chanson preferer, merci.
Je sais que c'est difficile.. non, dure plutot.. atroce dirais-je.
mais lâche pas, je sais que c completement nulle ce petit lache pas.. mais je men fou, lache pas..
''Faut-il que je m'attarde sans toi dans ce monde décolorer qui sans toi n'est plus que cloaque? ''
oui, puisque ce monde décoloré retrouvera un jour tout ses teints.. Le printemps reviendra, la pureté s'imposera.. faut y croire..et le vouloir..
'' la courone de la terre connait un dénouement fatal et la lune en visantant la terre n'aura bientot plus rien à regarder''
À moins d'ouvrir les yeux très grand..
Bonne nuit

Je sais que c'est difficile.. non, dure plutot.. atroce dirais-je.
mais lâche pas, je sais que c completement nulle ce petit lache pas.. mais je men fou, lache pas..
''Faut-il que je m'attarde sans toi dans ce monde décolorer qui sans toi n'est plus que cloaque? ''
oui, puisque ce monde décoloré retrouvera un jour tout ses teints.. Le printemps reviendra, la pureté s'imposera.. faut y croire..et le vouloir..
'' la courone de la terre connait un dénouement fatal et la lune en visantant la terre n'aura bientot plus rien à regarder''
À moins d'ouvrir les yeux très grand..
Bonne nuit

Mon corps est un enorme dechet que je dois eliminer...
Je viens de faire une crise d'angoisse en pleine rue.
A peine rentree, Chris m'appelle... Il voulait savoir pourquoi on se voyait plus. "Parce que c'est fini" Il voulait pas ecouter. Il a dit qu'il avait super mal... que c'est pas ce qu'il voulait...
ben oui...
qu'est-ce que je peux lui dire moi? Bien sur que je l'aime...
Pourquoi tout st toujours si dur...
Il a dit qu'il pensait que ca me ferait du bien de m'eloigner de lui. que je commencais a me renfermer et a etre si mal, qu'il pensait ue c'etait ce qu'il y avait de mieux pour moi...
J'ai dit Merci...
J'ai dit au revoir et j'ai raccroche pendant ses "je t'embrasse, jte fais plein de bi..."
Je viens de faire une crise d'angoisse en pleine rue.
A peine rentree, Chris m'appelle... Il voulait savoir pourquoi on se voyait plus. "Parce que c'est fini" Il voulait pas ecouter. Il a dit qu'il avait super mal... que c'est pas ce qu'il voulait...
ben oui...
qu'est-ce que je peux lui dire moi? Bien sur que je l'aime...
Pourquoi tout st toujours si dur...
Il a dit qu'il pensait que ca me ferait du bien de m'eloigner de lui. que je commencais a me renfermer et a etre si mal, qu'il pensait ue c'etait ce qu'il y avait de mieux pour moi...
J'ai dit Merci...
J'ai dit au revoir et j'ai raccroche pendant ses "je t'embrasse, jte fais plein de bi..."
Radical???
Pourquoi? Je lui ai dit plusieurs fois, il ne comprenait pas. Il ne mme reste rien de lui, rien du tout... C'est fini ses bras quand je m'endors, ses yeux doux qui me regardent, c'est fini toutes ces fois ou il me rassurait quand ca n'allait pas...
Il m'a demande d'aller vomir ailleurs. qu'il ne se plaigne pas de me voir mourir... (a l'interieur du moins)
Peut-etre qu'un jour je le retrouverai. si on doit etre ensemble, je guerirai et n jour je connaitrai a nouveau la challuer de ses bras mais pour le moment, j'ai besoin de froid.
J'ai besoin de sentir mon corps tirailler et crier qu'il existe.
La solitude, c'est pas si mal, ca permet de savoir ou on en est. Je n'avais pas compris... Aveuglee par sa lumiere, je ne me voyais plus. Maitenant, s'il m'arrive un truc, au moins, je saurai pourquoi...
Pourquoi? Je lui ai dit plusieurs fois, il ne comprenait pas. Il ne mme reste rien de lui, rien du tout... C'est fini ses bras quand je m'endors, ses yeux doux qui me regardent, c'est fini toutes ces fois ou il me rassurait quand ca n'allait pas...
Il m'a demande d'aller vomir ailleurs. qu'il ne se plaigne pas de me voir mourir... (a l'interieur du moins)
Peut-etre qu'un jour je le retrouverai. si on doit etre ensemble, je guerirai et n jour je connaitrai a nouveau la challuer de ses bras mais pour le moment, j'ai besoin de froid.
J'ai besoin de sentir mon corps tirailler et crier qu'il existe.
La solitude, c'est pas si mal, ca permet de savoir ou on en est. Je n'avais pas compris... Aveuglee par sa lumiere, je ne me voyais plus. Maitenant, s'il m'arrive un truc, au moins, je saurai pourquoi...
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- Enfinien éprouvé
- Messages : 362
- Enregistré le : 23 févr. 2004, 01:00
Merci les filles...
Vous m'en donnez vraiment beaucoup du courage..
je ne sais pas si je serais encore la sans vous...
Je vous aime tres tres fort.
Pardonnez-moi de ne pas etre la pour vous mais je ,'y arrive plus...
J'en ai tellement marre de cette vie... Je suis fatiguee dans ma tete et dans mon coeur.
Tout devient trop dur a faire, trop lourd a porter...
Je vous aime
Vous m'en donnez vraiment beaucoup du courage..
je ne sais pas si je serais encore la sans vous...
Je vous aime tres tres fort.
Pardonnez-moi de ne pas etre la pour vous mais je ,'y arrive plus...
J'en ai tellement marre de cette vie... Je suis fatiguee dans ma tete et dans mon coeur.
Tout devient trop dur a faire, trop lourd a porter...
Je vous aime

Oh! Tous ces noms qui me sont si proches, si famiiers, si doux.
Angel, Mel, Lottie... Je suis si contente de vous avoir connues... Vous qi etes la depuis le debut...
Nanou, je viendrai, je te le promets. des que possible, je viens. Ca me ferait tant de bien. Sois prudente hein pupuce. J'espere que tu vas un peu mieux que hier... Que ton rdv s'est bien passe... Sois bien sage avec toi meme
FeeObscure... Ne me dis pas merci... Stp. Moi aussi ca me fait mal. Je n'aime pas que tu me dises merci. c'est normal. Je ne vois pas ce qque je pourrais faire d'autre que de te serrer fort... Pour moi, c'est evident. Il est juste dommage que tu sembles croire que tu ne le merites pas...
Angel, Mel, Lottie... Je suis si contente de vous avoir connues... Vous qi etes la depuis le debut...
Nanou, je viendrai, je te le promets. des que possible, je viens. Ca me ferait tant de bien. Sois prudente hein pupuce. J'espere que tu vas un peu mieux que hier... Que ton rdv s'est bien passe... Sois bien sage avec toi meme
FeeObscure... Ne me dis pas merci... Stp. Moi aussi ca me fait mal. Je n'aime pas que tu me dises merci. c'est normal. Je ne vois pas ce qque je pourrais faire d'autre que de te serrer fort... Pour moi, c'est evident. Il est juste dommage que tu sembles croire que tu ne le merites pas...

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- Enfinien éprouvé
- Messages : 362
- Enregistré le : 23 févr. 2004, 01:00
J'en peux plus, j'en ai marre. Rien ne va.
Je ne veux plus voir mes parents. Je ne suis pas fatiguee. Fouttez-moi la paix. j'ai besoin de repos, j'ai besoin qu'on me laisse tranquille, qu'on me laisse seule.
Je voulais pas me remettre avec qqn, je voulais pas qu'on le sache. je voulais pas manger. je voulais juste la paix.
Je veux retourner quelque part et je ne sais meme pas ou.
Je demenage tous les jours, je n'ai plus de chez moi. Plus d'affaires, plus de meubles. je dors chez mes parents, chez Olivier, chez ma grand-mere, chez Sylvie...
Pourquoi j'ai pas le droit d'avoiur un petit endroit ou trouver la paix.
La spirale tourne, tourne encore toujoours plus vite et moi, je ne sais plus ou j'en suis. J'ai la tete qui tourne, le sol qui se derobe sous mes pieds...
J'ai mal au coeur, au ventre, au dos...
Je voudrais m'arreter, je voudrais respirer comme avant. j'ai tout le temps l'impression d'etouffer.
Je voudrais... Je voudrais...
Je voudrais tout oublier... Tout arreter...
Je ne veux plus voir mes parents. Je ne suis pas fatiguee. Fouttez-moi la paix. j'ai besoin de repos, j'ai besoin qu'on me laisse tranquille, qu'on me laisse seule.
Je voulais pas me remettre avec qqn, je voulais pas qu'on le sache. je voulais pas manger. je voulais juste la paix.
Je veux retourner quelque part et je ne sais meme pas ou.
Je demenage tous les jours, je n'ai plus de chez moi. Plus d'affaires, plus de meubles. je dors chez mes parents, chez Olivier, chez ma grand-mere, chez Sylvie...
Pourquoi j'ai pas le droit d'avoiur un petit endroit ou trouver la paix.
La spirale tourne, tourne encore toujoours plus vite et moi, je ne sais plus ou j'en suis. J'ai la tete qui tourne, le sol qui se derobe sous mes pieds...
J'ai mal au coeur, au ventre, au dos...
Je voudrais m'arreter, je voudrais respirer comme avant. j'ai tout le temps l'impression d'etouffer.
Je voudrais... Je voudrais...
Je voudrais tout oublier... Tout arreter...
- Angee
- l'Ange gardien d'Enfine
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- Enregistré le : 07 mai 2004, 00:00
- Localisation : Maisons Alfort(94 700)
- Contact :
Ma belle, j'ai un traitement, je vois un psy, ms je suis qd mm des cours, comme ts les autres. Personne ne sait rien de ma vie. il suffit que tu dises au psy que tu veux pouvoir poursuivre une vie sociale, et dc que le traitement doit être adapté à ta vie. Pr que ça ne t'assome pas. ma belle, tu souffres trop, bcp trop, il faut que tu le fasses, stp... ma belle, stp...






