la souffrance
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- Antoine
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la souffrance
A l'occasion du prochain groupe de parole organisé par l'association Partage et Ecoute et qui aura lieu à 20h30 le mercredi 16 mars 2005 à la maison des associations de Courbevoie (92), nous vous proposons de réfléchir sur le thème "la souffrance".
A vos claviers ;)
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- Anorchidea
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les TCA sont pour nous porte de secours pour exprimer la souffrance qui nous bouffe, tou au fond.
Elle est la, on n'arrive pas forcement a metttre de mots dessus, pas de paroles, ça ne sort pas....alors notre corps n'est plus qu'un outil pour parler.
Il ne sert plus qu'a ça, à gueuler notre souffrance.
Pourtant je ne voudrai en aucun cas passer pour une victime. Je l'ai surement été à un moment de ma vie, mais c'est autre chose... Se dire qu'il ya toujours pire que soit pour tenir, se repeter qu'on a tout pour etre heureuse...
Et on est toujours en etat de souffrance...mais veut on vraiment en sortir?
Elle est la, on n'arrive pas forcement a metttre de mots dessus, pas de paroles, ça ne sort pas....alors notre corps n'est plus qu'un outil pour parler.
Il ne sert plus qu'a ça, à gueuler notre souffrance.
Pourtant je ne voudrai en aucun cas passer pour une victime. Je l'ai surement été à un moment de ma vie, mais c'est autre chose... Se dire qu'il ya toujours pire que soit pour tenir, se repeter qu'on a tout pour etre heureuse...
Et on est toujours en etat de souffrance...mais veut on vraiment en sortir?
- perseverance
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la souffrance c un sacré mélange, colère refoulée, angoisse, tristesse, révolte, mal être, joie insatisfaite, plaisir que l'on se refuse, honte...
la souffrance c ce ds quoi on s'enferme, refusant la vie, refusant sa propre vie, refusant la vie des autres aussi...
la souffrance c ce qui détruit, mais on ne le voit pas parce qu'elle ns aveugle, on se croit seul(e), on se pense seul aussi à souffrir... on ne voit rien, n'entend rien...
parler, écrire et dire, accepter de ressentir meme des émotions "négatives" qui en fait ns sont positives... et voilà une souffrance qui peu à peu s'évapore... alors on voit, on ressent et on entend...
la vie n'est pas une souffrance, la maladie si!
tendrement

la souffrance c ce ds quoi on s'enferme, refusant la vie, refusant sa propre vie, refusant la vie des autres aussi...
la souffrance c ce qui détruit, mais on ne le voit pas parce qu'elle ns aveugle, on se croit seul(e), on se pense seul aussi à souffrir... on ne voit rien, n'entend rien...
parler, écrire et dire, accepter de ressentir meme des émotions "négatives" qui en fait ns sont positives... et voilà une souffrance qui peu à peu s'évapore... alors on voit, on ressent et on entend...
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- Anorchidea
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on se refuse tout court en fait et puis finalementla souffrance c ce ds quoi on s'enferme, refusant la vie, refusant sa propre vie,
c'est ce qui arrive tant on est aveuglé, la tete dans le mur...on voudrait toujours etre la pour tout le monde, mais si on n'est deja pas la pur soi...refusant la vie des autres aussi...
La souffrance la plus dure c'est celle qui est interne...
On voit notre corps se degrader mais on pense pas tjr que le Mal qui nous pousse a ca est a l'interieur, bien cache et a l'bri de toute emprise...
Et dans sa cachette, la souffrance, elle grandit et elle finit par s'exprimer a travers des conneries, un telephone qui sonne pas, un film, un regard, un miroir...
La souffrance en fait elle est partout
On voit notre corps se degrader mais on pense pas tjr que le Mal qui nous pousse a ca est a l'interieur, bien cache et a l'bri de toute emprise...
Et dans sa cachette, la souffrance, elle grandit et elle finit par s'exprimer a travers des conneries, un telephone qui sonne pas, un film, un regard, un miroir...
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- perseverance
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On confond la souffrance et les émotions.
Avoir des émotions négatives, c'est normal. Pleurer, avoir peur, être en colère, être agacé, ressentir de l'amertume... c'est normal, ce sont des choses que l'on vit.
La souffrance telle que je l'ai vécue, c'est lorsque les émotions ne passent plus. Bloquée sur une seule émotion (la peur par exemple), plus rien ne vit. Plus de relief, plus de mouvement intérieur.
Sensation d'être crispé sur une seule attitude, et de ne pas arriver à accueillir les autres émotions. A forces, ces émotions deviennent étrangères, je crois qu'elles ne m'appartiennent plus, je les ressens comme des aggressions, je bloque encore plus.
Et je meurs.
Avoir des émotions négatives, c'est normal. Pleurer, avoir peur, être en colère, être agacé, ressentir de l'amertume... c'est normal, ce sont des choses que l'on vit.
La souffrance telle que je l'ai vécue, c'est lorsque les émotions ne passent plus. Bloquée sur une seule émotion (la peur par exemple), plus rien ne vit. Plus de relief, plus de mouvement intérieur.
Sensation d'être crispé sur une seule attitude, et de ne pas arriver à accueillir les autres émotions. A forces, ces émotions deviennent étrangères, je crois qu'elles ne m'appartiennent plus, je les ressens comme des aggressions, je bloque encore plus.
Et je meurs.
- perseverance
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Et sortir de la souffrance, c'est accepter d'être traversé à nouveau par toutes ces émotions.
Pas facile, de vivre des sentiments qui semblent vous envahir, vous coller à la peau, sentiment de changer de personnalité, de ne pas maîtriser. Il faut savoir faire la part des choses entre ce que l'on ressent et ce que l'on vit réellement.
La solitude est une bonne chose : gérer ses émotions à soi, c'est déjà difficile, mais gérer les siennes plus celles des autres, c'est le niveau au dessus.
Bref, si je devais résumer, la souffrance, c'est le refoulement des émotions.
Pourquoi on refoule des émotions ? Parce qu'il y a des idées toutes faites, comme quoi un petit garçon ne doit pas pleurer, une petite fille ne doit pas se mettre en colère, et autre bêtises du genre.
Pas facile, de vivre des sentiments qui semblent vous envahir, vous coller à la peau, sentiment de changer de personnalité, de ne pas maîtriser. Il faut savoir faire la part des choses entre ce que l'on ressent et ce que l'on vit réellement.
La solitude est une bonne chose : gérer ses émotions à soi, c'est déjà difficile, mais gérer les siennes plus celles des autres, c'est le niveau au dessus.
Bref, si je devais résumer, la souffrance, c'est le refoulement des émotions.
Pourquoi on refoule des émotions ? Parce qu'il y a des idées toutes faites, comme quoi un petit garçon ne doit pas pleurer, une petite fille ne doit pas se mettre en colère, et autre bêtises du genre.
- perseverance
- Enfinien éprouvé
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Le comble de la souffrance, c'est un gamin qui vient de se faire engueuler et les parents qui lui interdisent de pleurer.
La souffrance qui ne s'exprime pas, on la garde en nous pendant des années.
La souffrance, on a besoin de la dire, de l'exprimer. On ne doit pas taire la souffrance.
(Bon sang, je suis bavarde, moi, sur ce sujet).
La souffrance qui ne s'exprime pas, on la garde en nous pendant des années.
La souffrance, on a besoin de la dire, de l'exprimer. On ne doit pas taire la souffrance.
(Bon sang, je suis bavarde, moi, sur ce sujet).
non!!! partour ds la maladie! mais pas partour ds la vie!!!!
Oui... je me suis mal exprimee. Ce que je voulais dire c'est qu'a partir du moment ou on souffre, cette soufrance peut s'exprimer a travers n'importe quoi, n'importe qui et n'importe quand. Elle peut etre partout et la moindre broutille peut devenir source d'une souffrance enorme...
Tantot, par exemple je me sentais pas fort bien, j'etais dans le bus et il y avait un petit garcon assis en face de moi, il allait en marche arriere. Et y'a une dame qui voulait s'asseoir mais dans l'autre sens et lui voulait vraiment lui ceder sa place mais la vieille dame n'en voulait pas... Et j'ai vu dans ses yeux qu'il etait si triste de ne pas pouvoir lui donner ce qu'elle voulait. Il repetait "Moi, je suis gentil, je veux vous donner ma place"
Et bien, je suis descendue du bus en pleurant et maintenant, je me sens vraiment mal... Tout ca pour une place de bus et un ptit garcon.
C'est juste ca que je voulais dire... Quand on souffre, on ne controle plus les bons moments...
Meme les choses agreables se transforment en douleur parce qu'on sait qu'elles vont finir, parce qu'on estime qu'on ne merite pas d'etre heureux, qu'on ne merite pas d'etre aime...
Et le plus beau des moments devient douloureux comme tout le reste
- kilou
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et après les plus douloureux des moments il y a des moments merveilleux! c comme la pluie et le beau temps cette histoire!
suffit en fait d'accepter de renverser ses modes de pensées et de vision, ce sont les mêmes choses que tu vois et vis mais ta manière de les voir n'est pas la même;..
ça se travaille, c long mais ensuite c plus facile de supporter certains moments
tendrement

suffit en fait d'accepter de renverser ses modes de pensées et de vision, ce sont les mêmes choses que tu vois et vis mais ta manière de les voir n'est pas la même;..
ça se travaille, c long mais ensuite c plus facile de supporter certains moments
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- perseverance
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- Localisation : quelque part dans l'est
tie pensée sur la souffrance

non, je trouve que la souffrance, c'est d'abord de commencer à se voir malade, et de ne pas vouloir s'en sortir.
la souffrance c'est de voir les personnes que l'on aime souffrir par notre faute, ou plutot, comme il nous le dise, par rapport à nous, de les aimer quand même, mais pas assez pour se dire que l'on va s'en sortir pour eux.
la souffrance c'est aussi de se rendre compte une fois que l'on va mieux que l'on a fait des dommages irréparables dans le coeur des autres, et c'est de voir des gens que l'on aime passer par la souffrance qui nous a assailli, sans qu'ils veulent qu'on les aide comme nous auparavant.
la souffrance, c'est aussi de se demander si les fênetres s'ouvrent quand on arrive au cinquième étage de l'hopital qui nous prend en charge.
la souffrancen c'est peut être bien ce qu'a ressenti ma mère quand je lui ai envoyé toutes ces lettres.

et ouais.mais je pense que la souffrance on s'en remet, peut être pas totalement, mais ce n'est pas comme si on apprenait à l'accepter.
quand on arrive à saturation, on est obligée de remonter, car de toute facon personne ne veut nous laisser au fond.
la souffrance fait réfélchir, et donne en fait beaucoup de force.
je pense...
La souffrance est permanente même si par moment on se voile la face. La souffrance du corps...j'ai 27 ans et mon corps ressent énormément tout le mal que je lui ai infligé en jeûnant, en me faisant vomir, excès de sport. Des intestins sensibilisés, j'ai tendance à être constipée. Mon estomac est complètement détraqué et cela affecte mes intestins. Les insomnies n'apportent rien de bon non plus etc. Le fait de voir mon reflet dans ma glace et de réaliser le déchet que je deviens...c'est une souffrance pour moi-même moralement. Je suis perdue et je ne sais plus quoi faire.
La souffrance morale, elle est à l'intérieur...la honte, la colère, la douleur, la culpabilité...Très souvent, j'ai le sentiment de ne rien accomplir de bien dans ma vie professionnelle, personnelle. Un vide énorme s'installe parce que je ne suis pas heureuse. Et je finis par vomir ma Vie. Je finis par me sentir encore plus sale, encore plus honteuse, coupable, mal dans ma peau...Je me regarde dans la glace...je vois mon visage déformé...Les yeux éclatés, rouges, gonflés...je me trouve immonde...
La souffrance morale, elle est à l'intérieur...la honte, la colère, la douleur, la culpabilité...Très souvent, j'ai le sentiment de ne rien accomplir de bien dans ma vie professionnelle, personnelle. Un vide énorme s'installe parce que je ne suis pas heureuse. Et je finis par vomir ma Vie. Je finis par me sentir encore plus sale, encore plus honteuse, coupable, mal dans ma peau...Je me regarde dans la glace...je vois mon visage déformé...Les yeux éclatés, rouges, gonflés...je me trouve immonde...
la souffrance
je pense que la souffrance c'est se rendre compte qu'on a gâché sa vie pendant des années à cause de cette maladie; et c'est prendre conscience qu'on aurait pu faire autre chose pendant ces 15années au lieu de manger et se faire vomir, j'aurai pu être heureuse tout simplement . j'aurai pu vivre, être amoureuse, apprécier la présence de mes proches, de mes parents, de mes frères . C'est aussi prendre conscience à quel point on a pu faire souffrir ceux qui nous aiment. C'est voir les yeux mouillés de son père ou de sa mère quand ils nous parlent de ces années passées, et qu'ils me voyaient petit à petit dépérir.
Mais cette souffrance peut être salutaire car à présent qu e j e vais mieux j'ai envie d'être heureuse, j'ai envie d'être amoureuse, j'ai envie de voir plus souvent mes parents, mes amis, j'ai envie d'acheter des fringues... bref j'ai envie de faire toutes ces choses que j e n'ai pas fait durant au moins 15ans ;
Alors j epeux dire: merci souffrance: tu m'as fait prendre conscience qu'on a qu'une vie et il faut essayer de la vivre à fond et aimer ceux qui nous entourent.
bisou à tous et à toutes
Mais cette souffrance peut être salutaire car à présent qu e j e vais mieux j'ai envie d'être heureuse, j'ai envie d'être amoureuse, j'ai envie de voir plus souvent mes parents, mes amis, j'ai envie d'acheter des fringues... bref j'ai envie de faire toutes ces choses que j e n'ai pas fait durant au moins 15ans ;
Alors j epeux dire: merci souffrance: tu m'as fait prendre conscience qu'on a qu'une vie et il faut essayer de la vivre à fond et aimer ceux qui nous entourent.
bisou à tous et à toutes

- Anorchidea
- Enfinien émérite
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j'ai l'impression d'avoir besoin de souffrir pour vivre...on me prend pour sucidaire mais ce n'et pas mourir que je veux, c'est souffrir. Il ya une sacrée difference entre vouloir y mettre un terme, et l'entretenir pour qu'elle ne s'arrete jamais...j'ai l'impression de vivre a travers elle...
J'ai l'impression d'entrtenir ma douleur, de la ressasser, de la rever, de la palper, tout le temps.
Je voudrai guérir et en meme temps le bonheur me fait tellement peur, la vie sans la maladie, c'est étrange.
J'ai l'impression d'entrtenir ma douleur, de la ressasser, de la rever, de la palper, tout le temps.
Je voudrai guérir et en meme temps le bonheur me fait tellement peur, la vie sans la maladie, c'est étrange.
- perseverance
- Enfinien éprouvé
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Ben oui, si on enlève la souffrance, il reste le vide. Et la peur du vide, c'est quelque chose !ynoulia a écrit :j'ai l'impression d'avoir besoin de souffrir pour vivre...
j'ai l'impression de vivre a travers elle...
[/quote]Je voudrai guérir et en meme temps le bonheur me fait tellement peur, la vie sans la maladie, c'est étrange.[/quote]
Etrange mais terriblement banal. Le bonheur, ça se construit. Vivre sans la maladie, ça veut dire prendre son courage à deux mains et construire son bonheur. Et là, c'est l'angoisse de la page blanche : c'est quoi, mon bonheur ?
Ben c'est là que tout commence.
Je dirai par besoin de remplir ce vide en nous...par besoin de le remplir d'affection...j'ai accepté de souffrir puisque je voulais être acceptée, aimée, appreciée. Et pour avoir cette impression, j'ai accepté ce que je n'aurai jamais dû afin de préserver la présence de ces personnes.
Me sentant salie, ne m'acceptant, j'estimai être une moins que rien et ne pas méritée mieux...je devais endurer pour être aimée. Je devais démontrer une forte personnalité pour être élogiée.
Par peur d'aimer, j'ai souffert parce que j'ai accepté de souffrir, j'ai souffert de ma solitude.
Tout mon corps, tout mon être à souffert...et j'ai contribué à cette souffrance parce que tout en moi devait refléter la perfection, le contrôle de mon corps, de la Vie des autres, de ma Vie.
Me sentant salie, ne m'acceptant, j'estimai être une moins que rien et ne pas méritée mieux...je devais endurer pour être aimée. Je devais démontrer une forte personnalité pour être élogiée.
Par peur d'aimer, j'ai souffert parce que j'ai accepté de souffrir, j'ai souffert de ma solitude.
Tout mon corps, tout mon être à souffert...et j'ai contribué à cette souffrance parce que tout en moi devait refléter la perfection, le contrôle de mon corps, de la Vie des autres, de ma Vie.
- Anorchidea
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- Anorchidea
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C'est joli ca... ca m'a fait un ptit pincement au coeur... Petite, o me disait que c'etait les faibles qui pleuraient et qu'il ne fallait jamais montrer ces emotions... Maintenant, j'ai honte de pleurer, de souffrir et que ca se voit... je veux pas qu'on le voit... Quand une larme s'echappe malgre mes efforts, je m'arrnge pour que ca na-e se voit pas, j'invente n'importe quoi... Mon plus gros fardeau est de cacher cette souffrance ala conLa souffrance, c'est pas de pleurer, c'est de s'interdire de pleurer.
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