je ne sais plus ou j'en suis ! dois je continuer a essayer d'entamer le dialogue sur ce sujet sachant que ma fille ne veut pas en parler avec moi ? dois je si je la surprend entrain de vomir (ma fille est ano vomiss)lui faire la remarque quitte a provoquer un conflit inevitable ou faire semblant de ne pas l'avoir vu ?dois je me cacher quand je pleure et continuer a etre souriante alors que dedans j'explose ou dois je laisser mes sentiments sortir meme devant elle meme si elle culpablilise ?
oui mais si elle culpabislise ne va t'elle pas aggraver son moral et de la recommencer a se faire vomir ? croyez vous que de voir ses parents si desempares peut provoquer un declic pour entaper une guerison ? dois je continuer a essayer de lui dire que on est a l'ecoute quand elle veut , toujours plusieurs fois par semaine ou le message est passé une fois il n'y a pas besoin de rabacher cela tout le temps et de remettre le probleme sur le tapis , d'en reparler et de la mettre encore une fois mal a l'aise ? dois je surveiller et la laisser la moins seule possible a la maison pour eviter qu'elle puisse le faire et peut etre cela provoquera t'il a force comme un drogué, un sevrage qui au debut sera dur mais tout doucement en ayant moins la possiblilité elle en viendra a ne plus le faire , quel a été pour vous le declic ? comment est il venue ? commeent je peux lui donner ce declic moi de mon cote en tant que mere , vous qui etes a sa place , comment aimeriez vous etre aidé meme si je sais personne n'est pareil et réagi d ela meme façon ? comment a part la therapie avec un psy qui pour l'instant n'est pas envisageable pour elle , moi je peux par quelques manieres que ce soit l'aider a lui donner envie d'arreter ? et surtout vous jeunes filles chez vos parents comment prefereriez vous etre aidé si vous etes comme dans le cas de ma fille a savoir que, nous , parents nous sommes maintenant au courant et depuis peu des vomissements repetitifs de notre fille ?
comment aider son enfant a vouloir guerir
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il n'est pas évident de vous répondre, chaque cas est different 
ce qui est délicat c'est que même au plus profond de la maladie, même quand tout l'entourage tente de faire comprendre qu'on a besoin d'aide, on se rend pas compte vraiment de notre état.
votre fille surement se rend bien compte qu'elle a un problème avec la nourriture, mais elle n'a surement pas conscience que c'est une maladie, et dangereux pour sa santé, pendant longtemps on pense souvent à tort que ca ira mieux demain.
pour ce qui est du "déclic", il n'y a pas de recette miracle, et cela peut prendre des années. il vous faudrait comprendre (je sais que ce n'est pas évident) le pourquoi de ses tca, afin de l'aider au mieux.
tenter de ne pas faire du forcing au niveau de la nourriture, il vaut mieux qu'elle mange peu et le garde, plutot que manger plus et vomir.
essayez de lui préparer ce qu'elle aime, ce dont elle aurait envie.
est elle suivi par un psy?
j'aimerais vous aidez, mais il n'est vraiment pas évident de conseiller; on réagis tous différement.
courages à vous.
ce qui est délicat c'est que même au plus profond de la maladie, même quand tout l'entourage tente de faire comprendre qu'on a besoin d'aide, on se rend pas compte vraiment de notre état.
votre fille surement se rend bien compte qu'elle a un problème avec la nourriture, mais elle n'a surement pas conscience que c'est une maladie, et dangereux pour sa santé, pendant longtemps on pense souvent à tort que ca ira mieux demain.
pour ce qui est du "déclic", il n'y a pas de recette miracle, et cela peut prendre des années. il vous faudrait comprendre (je sais que ce n'est pas évident) le pourquoi de ses tca, afin de l'aider au mieux.
tenter de ne pas faire du forcing au niveau de la nourriture, il vaut mieux qu'elle mange peu et le garde, plutot que manger plus et vomir.
essayez de lui préparer ce qu'elle aime, ce dont elle aurait envie.
est elle suivi par un psy?
j'aimerais vous aidez, mais il n'est vraiment pas évident de conseiller; on réagis tous différement.
courages à vous.
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vulcane
- Enfinien aguerri
- Messages : 558
- Enregistré le : 10 mai 2005, 00:00
- Localisation : Auvergne, ex Marseillaise
Soyiez vous, ne vous demandez pas, que dois je dire, faire ...
Ne pas faire comme si de rien n'était, comme si vous ne voyiez pas ses problèmes.
Parlez lui de vos peurs, de vos recherches sur les TCA, de Enfine, demandez lui ce que vous pourriez faire pour l'aider.
Avez vous la possiblilié de vous faire aider, vous ou d'aller à un groupe de parole ?
car les parents sont démunis, ont besoin d'être aidés, pour pouvoir modifier leurs relations avec leur enfant et les aider au mieux.
Elle est dans le déni, pour l'instant.
Avec le recul, j'aurais aimé qu'à 17 ans mes parents me traînent de force chez un psy, un généraliste, cela m'aurait permis d'être prise en charge plus tôt, d'éviter les hospitalisations et de trainer ce boulet, si longtemps.
Pour ma part, pas de déclic, le temps, avancer à mon rythme, l'aide de professionnel bien sûr.
... et la vie au bout.
Ne pas faire comme si de rien n'était, comme si vous ne voyiez pas ses problèmes.
Parlez lui de vos peurs, de vos recherches sur les TCA, de Enfine, demandez lui ce que vous pourriez faire pour l'aider.
Avez vous la possiblilié de vous faire aider, vous ou d'aller à un groupe de parole ?
car les parents sont démunis, ont besoin d'être aidés, pour pouvoir modifier leurs relations avec leur enfant et les aider au mieux.
Elle est dans le déni, pour l'instant.
Avec le recul, j'aurais aimé qu'à 17 ans mes parents me traînent de force chez un psy, un généraliste, cela m'aurait permis d'être prise en charge plus tôt, d'éviter les hospitalisations et de trainer ce boulet, si longtemps.
Pour ma part, pas de déclic, le temps, avancer à mon rythme, l'aide de professionnel bien sûr.
... et la vie au bout.
Moi mes parents n'ont pas voulu voir qu'il s'agissait d'une maladie, il pensait qu'il s'agissait plutôt de caprices au départ.
Je suis déscendue aux enfers sans que personne ne s'en rendent compte... Ou alors ils fermaient les yeux et il n'y a rien de pire...
Car si en apprence nous rejetons toute forme d'aide, je n'ai jamais connu une telle solitude qu'à cette période.
Mes parents étaient incapable de parler de mes prblm d'ano, la seule phrase à ce sujet, récurrante, était "tu as vu comme tu es maigre, tu as encore rien mangé fait un effort", si seulement c'était si simple!!!!
D'autant que le t'es tooute maigre tombait une fois sur deux dans une période où je me sentais mieux, et il n'y avait rien de pire pour perdre de nouveau ce début de toute petite petite étincelle de confiance en moi.
Montrez à votre fille que vous l'aimez, que vous faites des efforts pour essayer de la comprendre, ne la harcelez pas à table. Essayez de déterminez ce qu'elle garde, s'il ya des trucs vomis systématiquement, souvent d'autres choses le sont pas ou peu souvent. Ne l'observez pas à table, on culpabilise à chaque bouchée et se sentir observée n'arrange pas les choses. Sans la surveiller, soyez-là le plus souvent possible, sans la fliquer pour autant. Moi ça m'a tjrs freiné un peu quand il y avait du monde autour... après on est pas toute pareille.
Vous dites que votre fille n'est pas prête pour le psy, vous savez je crois pas qu'on le soit vraiment un jour, et puis ce n'est pas dit qu'elle soit plus ouverte à consulter un jour!
moi j'ai pas vu de psy quand j'étais malade, je voyais ma généraliste chaque semaine qui s'occupait beaucoup de moi, et c'est elle qui m'a aidé le plus à m'en sortir je crois. Je vois maintenant une psy qui m'aide à comprendre pourquoi tout ça et je regrette de ne pas avoir entrepris ce travail avec elle plus tôt.
Vous pourriez peut'-être essayer de proposer à votre fille d'y aller uhne fois en promettant de ne pas insister pour l'y rammener si elle ne veut plus après. Elle se sentira sans doute moins coincée et aura peut-^tre d'elle même au final envie de continuer. parce que qu'est-ce que c'est bon de pouvoir se défouler pdt sa consult, sans être juger par la personne en face!! Après il faut que la psy soit compétente, si vous parveniez à convaincre votre fille d'y aller, vous pouvez même rencontrer le spécialiste seul avant de l'y ammener.
je crois que pour guérir il n'y a malheureusement pas de déclic, l'envie de guérir et la clé, et personne ne peut lui ammener.
soyez-là c'est déjà bcp...
Courage!!!!
Je suis déscendue aux enfers sans que personne ne s'en rendent compte... Ou alors ils fermaient les yeux et il n'y a rien de pire...
Car si en apprence nous rejetons toute forme d'aide, je n'ai jamais connu une telle solitude qu'à cette période.
Mes parents étaient incapable de parler de mes prblm d'ano, la seule phrase à ce sujet, récurrante, était "tu as vu comme tu es maigre, tu as encore rien mangé fait un effort", si seulement c'était si simple!!!!
D'autant que le t'es tooute maigre tombait une fois sur deux dans une période où je me sentais mieux, et il n'y avait rien de pire pour perdre de nouveau ce début de toute petite petite étincelle de confiance en moi.
Montrez à votre fille que vous l'aimez, que vous faites des efforts pour essayer de la comprendre, ne la harcelez pas à table. Essayez de déterminez ce qu'elle garde, s'il ya des trucs vomis systématiquement, souvent d'autres choses le sont pas ou peu souvent. Ne l'observez pas à table, on culpabilise à chaque bouchée et se sentir observée n'arrange pas les choses. Sans la surveiller, soyez-là le plus souvent possible, sans la fliquer pour autant. Moi ça m'a tjrs freiné un peu quand il y avait du monde autour... après on est pas toute pareille.
Vous dites que votre fille n'est pas prête pour le psy, vous savez je crois pas qu'on le soit vraiment un jour, et puis ce n'est pas dit qu'elle soit plus ouverte à consulter un jour!
moi j'ai pas vu de psy quand j'étais malade, je voyais ma généraliste chaque semaine qui s'occupait beaucoup de moi, et c'est elle qui m'a aidé le plus à m'en sortir je crois. Je vois maintenant une psy qui m'aide à comprendre pourquoi tout ça et je regrette de ne pas avoir entrepris ce travail avec elle plus tôt.
Vous pourriez peut'-être essayer de proposer à votre fille d'y aller uhne fois en promettant de ne pas insister pour l'y rammener si elle ne veut plus après. Elle se sentira sans doute moins coincée et aura peut-^tre d'elle même au final envie de continuer. parce que qu'est-ce que c'est bon de pouvoir se défouler pdt sa consult, sans être juger par la personne en face!! Après il faut que la psy soit compétente, si vous parveniez à convaincre votre fille d'y aller, vous pouvez même rencontrer le spécialiste seul avant de l'y ammener.
je crois que pour guérir il n'y a malheureusement pas de déclic, l'envie de guérir et la clé, et personne ne peut lui ammener.
soyez-là c'est déjà bcp...
Courage!!!!
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crevette
- Petit enfinien
- Messages : 16
- Enregistré le : 08 juin 2004, 00:00
- Localisation : yvelines (78)
bonjour,
je suis d'accord avec vulcane, je crois que si on s'écoutait on irai jamais voir un psy.
Pour ma part mes parents ont rien vu et même quand ils s'en sont rendu compte on en a pas parlé. c'est vrai sur le coup je l'aurai surement mal pris mais avec le recul ça m'aurai peut-être permit de m'en sortir mieux.
Car maintenant j'ai 31 ans et je suis touours plus ou moins dedans. je suis en analyse depuis seulement 2 ans alors que j'ai 12 ans d'ano. Avant je me voilais la face la psy non mais ma gynéco a force d'insisté elle m'a convaincu et puis cela faisait 2 ans que nous essayons d'avoir un enfant.
Maintenant au bout de 4 ans d'essai j'ai un fils de 4 mois et pour lui je continu à me battre car je pensais que le fait d'avoir grossit pour être enceinte allait tout guérir mais non!! désolée de mes disgréssion perso, enfin tout ça pour dire parler lui et essayer de la convaincre d'aller se faire aider.
je suis d'accord avec vulcane, je crois que si on s'écoutait on irai jamais voir un psy.
Pour ma part mes parents ont rien vu et même quand ils s'en sont rendu compte on en a pas parlé. c'est vrai sur le coup je l'aurai surement mal pris mais avec le recul ça m'aurai peut-être permit de m'en sortir mieux.
Car maintenant j'ai 31 ans et je suis touours plus ou moins dedans. je suis en analyse depuis seulement 2 ans alors que j'ai 12 ans d'ano. Avant je me voilais la face la psy non mais ma gynéco a force d'insisté elle m'a convaincu et puis cela faisait 2 ans que nous essayons d'avoir un enfant.
Maintenant au bout de 4 ans d'essai j'ai un fils de 4 mois et pour lui je continu à me battre car je pensais que le fait d'avoir grossit pour être enceinte allait tout guérir mais non!! désolée de mes disgréssion perso, enfin tout ça pour dire parler lui et essayer de la convaincre d'aller se faire aider.
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crevette
- Petit enfinien
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bonjour,
je suis d'accord avec vulcane, je crois que si on s'écoutait on irai jamais voir un psy.
Pour ma part mes parents ont rien vu et même quand ils s'en sont rendu compte on en a pas parlé. c'est vrai sur le coup je l'aurai surement mal pris mais avec le recul ça m'aurai peut-être permit de m'en sortir mieux.
Car maintenant j'ai 31 ans et je suis touours plus ou moins dedans. je suis en analyse depuis seulement 2 ans alors que j'ai 12 ans d'ano. Avant je me voilais la face la psy non mais ma gynéco a force d'insisté elle m'a convaincu et puis cela faisait 2 ans que nous essayons d'avoir un enfant.
Maintenant au bout de 4 ans d'essai j'ai un fils de 4 mois et pour lui je continu à me battre car je pensais que le fait d'avoir grossit pour être enceinte allait tout guérir mais non!! désolée de mes disgréssion perso, enfin tout ça pour dire parler lui et essayer de la convaincre d'aller se faire aider.
je suis d'accord avec vulcane, je crois que si on s'écoutait on irai jamais voir un psy.
Pour ma part mes parents ont rien vu et même quand ils s'en sont rendu compte on en a pas parlé. c'est vrai sur le coup je l'aurai surement mal pris mais avec le recul ça m'aurai peut-être permit de m'en sortir mieux.
Car maintenant j'ai 31 ans et je suis touours plus ou moins dedans. je suis en analyse depuis seulement 2 ans alors que j'ai 12 ans d'ano. Avant je me voilais la face la psy non mais ma gynéco a force d'insisté elle m'a convaincu et puis cela faisait 2 ans que nous essayons d'avoir un enfant.
Maintenant au bout de 4 ans d'essai j'ai un fils de 4 mois et pour lui je continu à me battre car je pensais que le fait d'avoir grossit pour être enceinte allait tout guérir mais non!! désolée de mes disgréssion perso, enfin tout ça pour dire parler lui et essayer de la convaincre d'aller se faire aider.
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Elodie
- Modératrice trash
- Messages : 2605
- Enregistré le : 28 mars 2003, 01:00
- Localisation : Au boulot !
Bonjour et félicitations pour votre démarche.
Se remettre en question et chercher des solutions, c'est le premier pas pour trouver des réponses.
Comment va votre fille ? Quel âge a-t-elle ? Son poids est-il inquiétant (ne mettez pas sa taille et son poids, nous essayons d'éviter les compétitions morbides qui peuvent s'en suivre) ? A-t-elle fait un check-up récemment (poids, tension, rythme cardiaque, prise de sang...) ?
Il faut évaluer son état physique et son état psychologique.
Quoi qu'il en soit, en tant que parent, vous avez l'obligation de veiller à sa santé et même si elle ne souhaite pas voir un psy, son attitude prouve qu'il est nécessaire qu'elle consulte afin de mettre en mots ce qu'elle exprime par son corps et son rapport à la nourriture.
Plus ces maladies sont prises tôt, moins leur durée est longue. Il faut donc rapidement mettre quelque chose en place.
Et il n'est effectivement pas inutile de penser à être suivie également de votre côté pour montrer à votre fille que vous désirez qu'elle guérisse et que la psychothérapie ne vous fait pas peur et pour être épaulée parce que les parents souffrent énormément dans ce type d'épreuves.
Le papa de votre fille est-il présent ? A-t-il sa place dans son éducation ? Ou, à défaut, un beau-père...
Ce qu'il ne faut JAMAIS oublier, c'est que par sa maladie, elle communique. Il va maintenant falloir qu'elle comprenne que les mots sont plus efficaces pour se faire comprendre.
Bon courage à vous et votre fille car la route est parfois longue...
Elodie.
Se remettre en question et chercher des solutions, c'est le premier pas pour trouver des réponses.
Comment va votre fille ? Quel âge a-t-elle ? Son poids est-il inquiétant (ne mettez pas sa taille et son poids, nous essayons d'éviter les compétitions morbides qui peuvent s'en suivre) ? A-t-elle fait un check-up récemment (poids, tension, rythme cardiaque, prise de sang...) ?
Il faut évaluer son état physique et son état psychologique.
Quoi qu'il en soit, en tant que parent, vous avez l'obligation de veiller à sa santé et même si elle ne souhaite pas voir un psy, son attitude prouve qu'il est nécessaire qu'elle consulte afin de mettre en mots ce qu'elle exprime par son corps et son rapport à la nourriture.
Plus ces maladies sont prises tôt, moins leur durée est longue. Il faut donc rapidement mettre quelque chose en place.
Et il n'est effectivement pas inutile de penser à être suivie également de votre côté pour montrer à votre fille que vous désirez qu'elle guérisse et que la psychothérapie ne vous fait pas peur et pour être épaulée parce que les parents souffrent énormément dans ce type d'épreuves.
Le papa de votre fille est-il présent ? A-t-il sa place dans son éducation ? Ou, à défaut, un beau-père...
Ce qu'il ne faut JAMAIS oublier, c'est que par sa maladie, elle communique. Il va maintenant falloir qu'elle comprenne que les mots sont plus efficaces pour se faire comprendre.
Bon courage à vous et votre fille car la route est parfois longue...
Elodie.
