Bonjour,
Je m'appelle Ophelie, j'ai 21 ans je suis étudiante. Depuis 2ans j'ai développé une nouvelle "relation" avec la nourriture.
J'ai plusieurs fase les moments où je mange à être complètement gavée avoir mal au ventre et ça dans en un temps très rapide. Ensuite ça me dégoûte complètement je vais partir faire du sport à ne plus en pouvoir. Je ne vomis jamais.
L'autre fase est le moment où je vais rien vouloir manger ou des tomates ou pomme mais pas plus de 3 par jour en pensant que la sensation de faim va disparaitre si je bois de l'eau ou pense à autre chose.
J'ai commencé à être comme ça à la suite d'un divorce très compliqué je pensais être juste dans de la tristesse que je comblait par la nourriture mais il y a donc plusieurs jour voir semaine que j'ai commencé à m'inquiéter car les crises ou je mange tout ce qui me vient très rapidement sont de plus en plus fréquentes. J'ai donc vu un médecin qui m'a conseillé de voir un psychologue. J'avoue être complètement dépassé et n'ose pas faire appel à des spécialistes..
Nouvelle arrivée
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- MorganAlix
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- Enregistré le : 31 mai 2018, 10:03
Re: Nouvelle arrivée
Bonjour Ophélie,
Si je puis me permettre, n'hésite pas à prendre rendez-vous avec le psy qu'on t'a conseillé. Les professionnels sont formés pour nous aider à surmonter nos difficultés. C'est effectivement très effrayant de se confier à un inconnu, au début, mais on passe vite cette gêne, et la parole, une fois libérée, s'écoule de plus en plus facilement.
Un psy n'est pas une personne miracle, mais son rôle est d'être là simplement, d'écouter que tu as à dire. Si le courant ne passe pas avec le premier psy, il ne faut pas abandonner, et chercher quelqu'un d'autre. Les psy sont des individus, et on n'a pas toujours tout de suite un bon "feeling" avec tout le monde.
J'ai vu beaucoup de psy (psychiatres et psychologues), et pour être honnête je n'en ai connu aucun que j'aimais vraiment voir. Pourtant, chaque séance a participé à ma guérison (qui est encore en cours). C'est très progressif comme processus. Et la personne qui agit réellement, c'est toi-même. Le psy est donc juste un appui pour que tu puisses faire face à ton mal-être. C'est pour cela que même lorsque la personne ne me plaisait pas plus que ça, je sais que cela à tout de même été utile. D'ailleurs peut-être que fondamentalement, on en peut pas "aimer" son psy, puisque la parole libère beaucoup d'émotions, souvent éprouvantes. Je ne sais pas.
En tout cas, n'hésite pas à accepter de l'aide.
Bon courage et peut-être à bientôt,
Morgane.
Si je puis me permettre, n'hésite pas à prendre rendez-vous avec le psy qu'on t'a conseillé. Les professionnels sont formés pour nous aider à surmonter nos difficultés. C'est effectivement très effrayant de se confier à un inconnu, au début, mais on passe vite cette gêne, et la parole, une fois libérée, s'écoule de plus en plus facilement.
Un psy n'est pas une personne miracle, mais son rôle est d'être là simplement, d'écouter que tu as à dire. Si le courant ne passe pas avec le premier psy, il ne faut pas abandonner, et chercher quelqu'un d'autre. Les psy sont des individus, et on n'a pas toujours tout de suite un bon "feeling" avec tout le monde.
J'ai vu beaucoup de psy (psychiatres et psychologues), et pour être honnête je n'en ai connu aucun que j'aimais vraiment voir. Pourtant, chaque séance a participé à ma guérison (qui est encore en cours). C'est très progressif comme processus. Et la personne qui agit réellement, c'est toi-même. Le psy est donc juste un appui pour que tu puisses faire face à ton mal-être. C'est pour cela que même lorsque la personne ne me plaisait pas plus que ça, je sais que cela à tout de même été utile. D'ailleurs peut-être que fondamentalement, on en peut pas "aimer" son psy, puisque la parole libère beaucoup d'émotions, souvent éprouvantes. Je ne sais pas.
En tout cas, n'hésite pas à accepter de l'aide.
Bon courage et peut-être à bientôt,
Morgane.