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Petite_etoile
- Enfinien éprouvé
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kilou
- Douce brebis têtue de 1ère classe
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merci Angee, tu as mon adresse n'hésite pas!
pour quoi que ce soit!
petite étoile,
je ne peux que sourire, c'est génial, merci :)
je te lis, mais ces jours ci les mots qui sortent n'ont pas la possibilité d'aider vraiment quelqu'un. parfois un silence est plus constructif ou à défaut apaisant...
j'essaie de puiser un peu d'énergie ce matin, sinon ça va pas aller ce soir ;) et ensuite c'est parti pour 4jours!
tendrement
pour quoi que ce soit!
petite étoile,
je ne peux que sourire, c'est génial, merci :)
je te lis, mais ces jours ci les mots qui sortent n'ont pas la possibilité d'aider vraiment quelqu'un. parfois un silence est plus constructif ou à défaut apaisant...
j'essaie de puiser un peu d'énergie ce matin, sinon ça va pas aller ce soir ;) et ensuite c'est parti pour 4jours!
tendrement
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kilou
- Douce brebis têtue de 1ère classe
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- Enregistré le : 08 mai 2003, 00:00
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merci les miss,
petite pause chez une têtue pendant 4 jours, un peu assombrie par une nouvelle délicate. "c'est la vie" m'a t'on dit...
je remercie les personnes qui m'ont attrapées à la sortie du train mercredi, elles se reconnaitront en tps voulu :).
je vs embrasse tendrement mais pas trop de mot.
tendrement
petite pause chez une têtue pendant 4 jours, un peu assombrie par une nouvelle délicate. "c'est la vie" m'a t'on dit...
je remercie les personnes qui m'ont attrapées à la sortie du train mercredi, elles se reconnaitront en tps voulu :).
je vs embrasse tendrement mais pas trop de mot.
tendrement
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Ellaile
- la 'tite Toulousaine Matinette
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- Enregistré le : 31 mars 2004, 00:00
- Localisation : la ville, rose ?
Une fille têtue
Halima n’avait qu’une peur, c’était d’épouser cet homme qu’on voulait lui imposer et qu’elle trouvait très laid. Elle s’en plaignait à ses amies du village et plus la date du mariage approchait, plus elle réfléchissait à une manière de s’y soustraire. Tomberait-elle malade ? S’enfuirait-elle un matin quand le soleil serait à peine levé ? Implorerait-elle la clémence de sa grand-mère qui l’avait élevée et qui pourrait comprendre son refus ?
Il fallait en tous cas trouver d’urgence une solution !
Un jour où elle étalait sa résolution devant ses compagnes, un serpent génie qui passait derrière la case où se tenaient les jeunes filles, surprit ces propos. Il comprit qu’il avait là une bonne occasion de jeter un mauvais sort à un de ces humains qu’il trouvait entêtés et stupides. Voilà donc notre serpent-génie transformé en un beau jeune homme qui vint demander la jeune Halima en mariage.
La jeune fille, folle de joie, trouva tout de suite ce beau prétendant à son goût. Elle n’eut pas de mal à convaincre son père de l’accepter pour gendre, en insistant sur la beauté et les richesses que prétendait avoir le nouveau venu.
Mais sa grand-mère était elle-même sorcière : elle savait se méfier des occasions trop belles que savent provoquer les génies pour éprouver la race des hommes ordinaires. Elle fit donc à sa petite fille des recommandations pleines de sagesse et lui conseilla de ne pas se fier aux apparences. Mais devant son entêtement, elle dut se contenter de lui donner une recette pour avoir la preuve qu’en épousant le beau jeune homme, elle épousait un humain et non un génie.
Pile du mil pour en faire une boule, dit-elle à Halima. Si cette boule, la première que tu auras faite, ne se brise pas, c’est une personne normale que tu vas épouser ; sinon, sache que c’est un génie qui est venu te provoquer.
Halima fit ce que proposait la grand-mère. Elle mit tout son cœur à piler le mil, jusque tard dans la nuit pour réaliser une boule qui ne se briserait pas. Mais, hélas, malgré tous ses soins, la boule se brisa. Très tôt le matin, ne voulant pas céder à ce coup du sort, elle se remit à l’ouvrage, fit tout ce qu’elle put pour réussir cette fois : la boule de mil ne se brisa pas. Alors, toute joyeuse, Halima vint la montrer à sa grand-mère.
Tu vois, grand-mère, la boule ne s’est pas brisée. Je peux donc épouser celui que j’aime en toute tranquillité.
Ma fille, dit la grand-mère qui connaissait bien le cœur humain et savait déjouer ses ruses, je t’ai entendu piler tard dans la nuit et puis, je te l’ai encore entendu faire très tôt ce matin ; la première boule était la seule qui vaille ; tu as donc triché, dit la grand-mère à sa petite fille pour qui elle craignait désormais le pire. Mais Halima était rayonnante et c’est dans l’allégresse générale qu’on célébra le mariage. Il y eut repas abondants, viandes et riz à volonté. Après une journée de festivités, on accompagna les jeunes mariés jusque derrière le village, en dansant au son des musiques les plus joyeuses.
A l’orée de la forêt, le jeune marié demanda aux gens du cortège de rentrer au village. Il conduisit ensuite Halima, la jeune épousée jusque dans une grotte où elle entra sans crainte. Mais, tout à coup, dans le clair-obscur des lieux, elle vit, effrayée, son beau mari se métamorphoser : ses jambes, ses bras et sa poitrine se réunissaient en une longue torsade écaillée, son regard devenait noir, froid et perçant tandis que son beau visage n’était plus qu’une gueule où deux crocs acérés laissaient passer une langue fourchue qui déjà la menaçait. Halima, prise de panique, voulut s’enfuir mais le génie-serpent l’entoura bien vite de ses anneaux visqueux, il la frôla de sa langue, lui insuffla son venin et la pauvre jeune fille fut, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, transformée en cheval dans un gémissement plaintif.
Un berger peuhl qui passait par là avec son troupeau et avait vu le couple pénétrer dans la grotte, entendit la plainte d’Halima. Du fourré où il était caché, il vit un magnifique cheval s’élancer hors de l’anfractuosité de la roche, suivi de près par un énorme serpent aux anneaux d’écaille colorés. Prudemment, quand les deux animaux se furent éloignés, le berger pénétra dans le creux obscur de la roche. Quand ses yeux se furent accoutumés à l’ombre, il comprit vite, en voyant les lieux vides de toute présence humaine qu’Halima avait été victime d’un horrible maléfice. Il courut avertir les habitants du village. Mais il était trop tard : la jeune fille entêtée n’était plus qu’une cavale sauvage que nul ne revit jamais et qui, sans doute, hante encore les confins de la brousse.
Voilà ce qui arrive aux enfants têtus qui veulent toujours satisfaire leurs rêves impossibles.
Halima n’avait qu’une peur, c’était d’épouser cet homme qu’on voulait lui imposer et qu’elle trouvait très laid. Elle s’en plaignait à ses amies du village et plus la date du mariage approchait, plus elle réfléchissait à une manière de s’y soustraire. Tomberait-elle malade ? S’enfuirait-elle un matin quand le soleil serait à peine levé ? Implorerait-elle la clémence de sa grand-mère qui l’avait élevée et qui pourrait comprendre son refus ?
Il fallait en tous cas trouver d’urgence une solution !
Un jour où elle étalait sa résolution devant ses compagnes, un serpent génie qui passait derrière la case où se tenaient les jeunes filles, surprit ces propos. Il comprit qu’il avait là une bonne occasion de jeter un mauvais sort à un de ces humains qu’il trouvait entêtés et stupides. Voilà donc notre serpent-génie transformé en un beau jeune homme qui vint demander la jeune Halima en mariage.
La jeune fille, folle de joie, trouva tout de suite ce beau prétendant à son goût. Elle n’eut pas de mal à convaincre son père de l’accepter pour gendre, en insistant sur la beauté et les richesses que prétendait avoir le nouveau venu.
Mais sa grand-mère était elle-même sorcière : elle savait se méfier des occasions trop belles que savent provoquer les génies pour éprouver la race des hommes ordinaires. Elle fit donc à sa petite fille des recommandations pleines de sagesse et lui conseilla de ne pas se fier aux apparences. Mais devant son entêtement, elle dut se contenter de lui donner une recette pour avoir la preuve qu’en épousant le beau jeune homme, elle épousait un humain et non un génie.
Pile du mil pour en faire une boule, dit-elle à Halima. Si cette boule, la première que tu auras faite, ne se brise pas, c’est une personne normale que tu vas épouser ; sinon, sache que c’est un génie qui est venu te provoquer.
Halima fit ce que proposait la grand-mère. Elle mit tout son cœur à piler le mil, jusque tard dans la nuit pour réaliser une boule qui ne se briserait pas. Mais, hélas, malgré tous ses soins, la boule se brisa. Très tôt le matin, ne voulant pas céder à ce coup du sort, elle se remit à l’ouvrage, fit tout ce qu’elle put pour réussir cette fois : la boule de mil ne se brisa pas. Alors, toute joyeuse, Halima vint la montrer à sa grand-mère.
Tu vois, grand-mère, la boule ne s’est pas brisée. Je peux donc épouser celui que j’aime en toute tranquillité.
Ma fille, dit la grand-mère qui connaissait bien le cœur humain et savait déjouer ses ruses, je t’ai entendu piler tard dans la nuit et puis, je te l’ai encore entendu faire très tôt ce matin ; la première boule était la seule qui vaille ; tu as donc triché, dit la grand-mère à sa petite fille pour qui elle craignait désormais le pire. Mais Halima était rayonnante et c’est dans l’allégresse générale qu’on célébra le mariage. Il y eut repas abondants, viandes et riz à volonté. Après une journée de festivités, on accompagna les jeunes mariés jusque derrière le village, en dansant au son des musiques les plus joyeuses.
A l’orée de la forêt, le jeune marié demanda aux gens du cortège de rentrer au village. Il conduisit ensuite Halima, la jeune épousée jusque dans une grotte où elle entra sans crainte. Mais, tout à coup, dans le clair-obscur des lieux, elle vit, effrayée, son beau mari se métamorphoser : ses jambes, ses bras et sa poitrine se réunissaient en une longue torsade écaillée, son regard devenait noir, froid et perçant tandis que son beau visage n’était plus qu’une gueule où deux crocs acérés laissaient passer une langue fourchue qui déjà la menaçait. Halima, prise de panique, voulut s’enfuir mais le génie-serpent l’entoura bien vite de ses anneaux visqueux, il la frôla de sa langue, lui insuffla son venin et la pauvre jeune fille fut, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, transformée en cheval dans un gémissement plaintif.
Un berger peuhl qui passait par là avec son troupeau et avait vu le couple pénétrer dans la grotte, entendit la plainte d’Halima. Du fourré où il était caché, il vit un magnifique cheval s’élancer hors de l’anfractuosité de la roche, suivi de près par un énorme serpent aux anneaux d’écaille colorés. Prudemment, quand les deux animaux se furent éloignés, le berger pénétra dans le creux obscur de la roche. Quand ses yeux se furent accoutumés à l’ombre, il comprit vite, en voyant les lieux vides de toute présence humaine qu’Halima avait été victime d’un horrible maléfice. Il courut avertir les habitants du village. Mais il était trop tard : la jeune fille entêtée n’était plus qu’une cavale sauvage que nul ne revit jamais et qui, sans doute, hante encore les confins de la brousse.
Voilà ce qui arrive aux enfants têtus qui veulent toujours satisfaire leurs rêves impossibles.
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kilou
- Douce brebis têtue de 1ère classe
- Messages : 2079
- Enregistré le : 08 mai 2003, 00:00
- Localisation : Près du Mont Blanc et si loin...
- Contact :
Adeline,
je sais que tu es là, mais il y a des moments où des pensées nous submergent, des souvenirs en l'occurence, tu sais bien, comme je te l'ai dit, que je réagis souvent quelques heures après les nouvelles, c'est ce qui s'est passé hier...
ça se reflètte sur le physique et sur le moral...
je me suis tue mais ce matin le corps a lâché, tout simplement, incapable de me relever, juste attendre et pleurer, juste de la honte par rapport à ma famille à mon oncle, pas de mot, juste se remettre un sourire sur le visage, sourire... mais c trop dur...
il me manque quand même, et je n'y serais pas...
j'ai mal; mais ça c'est à moi de le gérer!
tendrement
(laurence, pas vmt des efforts, pour ce que j'avale dur de le vomir, hormis si je crache mes trippes!)
je sais que tu es là, mais il y a des moments où des pensées nous submergent, des souvenirs en l'occurence, tu sais bien, comme je te l'ai dit, que je réagis souvent quelques heures après les nouvelles, c'est ce qui s'est passé hier...
ça se reflètte sur le physique et sur le moral...
je me suis tue mais ce matin le corps a lâché, tout simplement, incapable de me relever, juste attendre et pleurer, juste de la honte par rapport à ma famille à mon oncle, pas de mot, juste se remettre un sourire sur le visage, sourire... mais c trop dur...
il me manque quand même, et je n'y serais pas...
j'ai mal; mais ça c'est à moi de le gérer!
tendrement
(laurence, pas vmt des efforts, pour ce que j'avale dur de le vomir, hormis si je crache mes trippes!)
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kilou
- Douce brebis têtue de 1ère classe
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tout d'abord merci pour mon titre, la brebis n'a plus qu'à chercher comment retourner la pareille!
ensuite merci les miss, le courage fait défaut par moment, je sais le semer, quant à le récolter il faudrait un coup de pied au c** pour que je m'y mette et il serait temps!
Laurence,
je pense fort à toi, ne lâche pas et si tu as besoin d'aide appèle s'il te plait, je reste là, même si les 800km sont entre nous ça ne change rien!
Adeline,
tu connais mon point de vue, ce n'est pas facile pour moi de te voir ainsi mais que dire? je ne jouerais pas au disque rayé car ce n'est qu'aller ds le sens de la maladie et je me l'interdis, alors sois toi et ne cherche pas plus loin, le reste c'est mon problème, à moi aussi de gérer, la fatigue aide à moins rester bloquée dessus.
je ne suis pas d'une grande aide mais j'ai un peu de mal effectivement, je ne souhaite pas m'étaler spécialement.
Rose,
j'ai été ravie, conquise et touchée...
tendrement
(têtue apparemment :) )
ensuite merci les miss, le courage fait défaut par moment, je sais le semer, quant à le récolter il faudrait un coup de pied au c** pour que je m'y mette et il serait temps!
Laurence,
je pense fort à toi, ne lâche pas et si tu as besoin d'aide appèle s'il te plait, je reste là, même si les 800km sont entre nous ça ne change rien!
Adeline,
tu connais mon point de vue, ce n'est pas facile pour moi de te voir ainsi mais que dire? je ne jouerais pas au disque rayé car ce n'est qu'aller ds le sens de la maladie et je me l'interdis, alors sois toi et ne cherche pas plus loin, le reste c'est mon problème, à moi aussi de gérer, la fatigue aide à moins rester bloquée dessus.
je ne suis pas d'une grande aide mais j'ai un peu de mal effectivement, je ne souhaite pas m'étaler spécialement.
Rose,
j'ai été ravie, conquise et touchée...
tendrement
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kilou
- Douce brebis têtue de 1ère classe
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dernier message sur le net, du moins directement!
je repars demain, dans mes montagnes, épauler quelques membres de ma famille, réfléchir aussi à certains problèmes...
sab,
mon neveu déborde d'énergie et de vie. je risque de le revoir très prochainement et du haut de ses trois ans il me donne à sa manière et sans le vouloir/savoir de sacrés coups de pieds juste pour ne pas m'enliser, pour que je n'oublie pas qu'il est là!
je pense fort à toi!
Angee,
la maladie n'est pas la vie, manger/vomir ça ne permet pas d'être heureux(se), ça ne permet pas de se construire, ça ne permet pas de respirer, d'être, d'exister, de rire et d'en profiter, de faire sourire les gens!
ça fait mourir, pleurer, hurler, peur... et c'est pas la vie, peut être faut-il alors se tourner de l'autre côté et alors les couleurs, les sons, les odeurs varient, deviennent plus attrayantes, plus agréables..
ta santé est en jeu, personne ne la gèrera pour toi, pas moi, pas ton médecin, pas ta famille, pas pierre...toi!
entendras-tu ou non, ce n'est pas l'unique fois que je te le dis, ce sera peut être la dernière fois pour un petit moment, on a toutes notre combat, mais chacun est différent...
tendrement
Laurence,
je suis passée par ton post, je laisse ici encore un regard sincère, tendre et encourageant! mais juste là! toujours là!
n'hésite pas à appeler!
tendrement
petipiou,
j'ai été conquise par cet élan de vie qui ressort de tes paroles, de tes regards, de tes sourires. que dire au fond, je sais ce que tu penses, je pense le partager, je ne peux que sourire en repensant à cet aprèm, que dire à part continuer, malgré des douleurs, malgré des questions en suspens, chacunes des suites pas toujours faciles mais pourtant la vie reste là, cahotique parfois mais avec un brin de chaleur souvent!
reste à le voir ou plutôt à accepter de le voir, ce que tu fais, sacré pas!
chapeau bas!
moi je suis bien contente de t'avoir connue!
tendrement!
maintenant je file, quelques semaines? mois? je n'en sais pas plus que vous! chacun son chemin également, peut être que ça peut aussi faire du bien de retomber les deux pieds (pattes?) dans un monde de vivants réels (pas sur le net surtt), de gens qui ont leurs soucis de tous les jours, plus graves parfois, ça en ft partie!
c'est pas un choix mais ce n'est pas non plus un calvaire, au fond les compromis aident à faire passer tout ça!
reste des réponses en suspends, des questions plus précises et des pressions plus présentes mais jamais dans le mauvais sens!
je ne vous oublie pas, ceux qui ont mon adresse n'ont pas à hésiter, pareil pour le téléphone, c'est avec plaisir que je vous entends ou lis en "vrai"!
bien tendrement, n'oubliez pas votre vie, elle n'est pas dans la maladie, vous souffrez mais la vie ne fait pas souffrir, elle fait rêver, sourire, et rire mais parfois les masques sont trop forts, les filtres trop noircis et vous tournés du mauvais côté...
accepter ou pas, là ce n'est plus de mon ressort!
à vous de voir!
tendrement (le dernier pr la route)
une brebis qui s'éloigne un peu!
je repars demain, dans mes montagnes, épauler quelques membres de ma famille, réfléchir aussi à certains problèmes...
sab,
mon neveu déborde d'énergie et de vie. je risque de le revoir très prochainement et du haut de ses trois ans il me donne à sa manière et sans le vouloir/savoir de sacrés coups de pieds juste pour ne pas m'enliser, pour que je n'oublie pas qu'il est là!
je pense fort à toi!
Angee,
la maladie n'est pas la vie, manger/vomir ça ne permet pas d'être heureux(se), ça ne permet pas de se construire, ça ne permet pas de respirer, d'être, d'exister, de rire et d'en profiter, de faire sourire les gens!
ça fait mourir, pleurer, hurler, peur... et c'est pas la vie, peut être faut-il alors se tourner de l'autre côté et alors les couleurs, les sons, les odeurs varient, deviennent plus attrayantes, plus agréables..
ta santé est en jeu, personne ne la gèrera pour toi, pas moi, pas ton médecin, pas ta famille, pas pierre...toi!
entendras-tu ou non, ce n'est pas l'unique fois que je te le dis, ce sera peut être la dernière fois pour un petit moment, on a toutes notre combat, mais chacun est différent...
tendrement
Laurence,
je suis passée par ton post, je laisse ici encore un regard sincère, tendre et encourageant! mais juste là! toujours là!
n'hésite pas à appeler!
tendrement
petipiou,
j'ai été conquise par cet élan de vie qui ressort de tes paroles, de tes regards, de tes sourires. que dire au fond, je sais ce que tu penses, je pense le partager, je ne peux que sourire en repensant à cet aprèm, que dire à part continuer, malgré des douleurs, malgré des questions en suspens, chacunes des suites pas toujours faciles mais pourtant la vie reste là, cahotique parfois mais avec un brin de chaleur souvent!
reste à le voir ou plutôt à accepter de le voir, ce que tu fais, sacré pas!
chapeau bas!
moi je suis bien contente de t'avoir connue!
tendrement!
maintenant je file, quelques semaines? mois? je n'en sais pas plus que vous! chacun son chemin également, peut être que ça peut aussi faire du bien de retomber les deux pieds (pattes?) dans un monde de vivants réels (pas sur le net surtt), de gens qui ont leurs soucis de tous les jours, plus graves parfois, ça en ft partie!
c'est pas un choix mais ce n'est pas non plus un calvaire, au fond les compromis aident à faire passer tout ça!
reste des réponses en suspends, des questions plus précises et des pressions plus présentes mais jamais dans le mauvais sens!
je ne vous oublie pas, ceux qui ont mon adresse n'ont pas à hésiter, pareil pour le téléphone, c'est avec plaisir que je vous entends ou lis en "vrai"!
bien tendrement, n'oubliez pas votre vie, elle n'est pas dans la maladie, vous souffrez mais la vie ne fait pas souffrir, elle fait rêver, sourire, et rire mais parfois les masques sont trop forts, les filtres trop noircis et vous tournés du mauvais côté...
accepter ou pas, là ce n'est plus de mon ressort!
à vous de voir!
tendrement (le dernier pr la route)
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adeline
- Vénérable enfinien
- Messages : 2937
- Enregistré le : 11 mars 2003, 01:00
- Localisation : Les pieds dans mon appart de Paris, la tête au théâtre
Je tourne l'écran pour pas qu'elle voit ce que j'écris tout de suite. Lol pas compliquée adeline déjà.
Bon que voulais je dire... bcp de choses... mais je sais pas par où commencer...
J'ai passé 4 jours avec une personne formidable. J'avais peur de te rencontrer peur d'être déçue mais non. Même plutôt surprise en mieux. Ca m'a vraiment fait plaisir de passer ces 4 jours jours avec toi. Je ne regrette rien (mis à part mes dérapages) Je suis fière de certaines choses que tu as pu faire ce week end. Des choses auxquelles tu as pu resister sans être trop sur les nerfs et me taper dessus lol.
Tu vas me manquer... j'vais me retrouver toute seule snifffff. En tout cas je ne regrette pas mon CADEAU (et qui dit cadeau dit tu ne me dois rien) et ne regrette pas avoir osé ce pas de passer du virtuel au réél de cette façon (mine de rien j'avoue j'avais un peu la trouille d'accueillir quelqu'un chez moi comme ça que j'avais jamais vu auparavant et de plus pdt 4 jours)
Merci aussi pour cetaines choses que tu as pu dire et qui je pense m'ont faites avancer.
Bref pour résumer tout ça MERCI ma douce edelweiss.
adeline
Bon que voulais je dire... bcp de choses... mais je sais pas par où commencer...
J'ai passé 4 jours avec une personne formidable. J'avais peur de te rencontrer peur d'être déçue mais non. Même plutôt surprise en mieux. Ca m'a vraiment fait plaisir de passer ces 4 jours jours avec toi. Je ne regrette rien (mis à part mes dérapages) Je suis fière de certaines choses que tu as pu faire ce week end. Des choses auxquelles tu as pu resister sans être trop sur les nerfs et me taper dessus lol.
Tu vas me manquer... j'vais me retrouver toute seule snifffff. En tout cas je ne regrette pas mon CADEAU (et qui dit cadeau dit tu ne me dois rien) et ne regrette pas avoir osé ce pas de passer du virtuel au réél de cette façon (mine de rien j'avoue j'avais un peu la trouille d'accueillir quelqu'un chez moi comme ça que j'avais jamais vu auparavant et de plus pdt 4 jours)
Merci aussi pour cetaines choses que tu as pu dire et qui je pense m'ont faites avancer.
Bref pour résumer tout ça MERCI ma douce edelweiss.
adeline
