oui c à moi de le construire, je le fais je crois depuis quelques temps ms très maladroitement, en fait je croyais je pense pdt ttes ces années que ce cocon c'était la maladie;.. sauf que ça c'est un cercueil...
et puis autr de moi g vu les gens fuir, on ne vit pas avec une odeur de maladie ds le nez, c vital pr continuer soi même à progresser...
un jr on m'a mis en clinique, de force, j'avais beau les haïr, les détester au plus haut point ils m'ont amené et st partis...
7mois st passés, à haïr tt le mde au début, moi en premier, me détruisant jusqu'à ma limite... le coup de poing a été mis par le médecin... g mis 7mois à engranger ts les outils, puis je suis sortie et me suis redétruite...je croyais sauf que j'évoluais qd même, je construisais peu à peu mon cocon... mais refusais de le voir...
depuis 3semaines/1mois, je veux le voir, y croire alors je mets tte ma hargne à construire ce cocon, avec tt ce que g appris pdt 7 mois, avec tt ce que g appris pdt 21ans aussi...
auj je me sers de tt, des critiques et des compliments, de mon enfance et de maintenant, de mes projets...
mon erreur à moi c d'avoir voulu guérir comme ma mère entendait la guérison, guérir pr plaire...
auj j'apprends ts les jrs, ça plait pas tjs, ms moi ça me construit...
votre fille va aussi y passer, le jr où elle prendra conscience que détruite ou pas son avenir sera qd même là, que des choses à assumer on en aura tjs, mais qu'il n'y a qu'elle qui décidera de lâcher cette prison pr oser faire un pas "chez elle"...
c faisable mais il faut accepter de vivre sans carapace , sans cette identité de malade qui rassure parce qu'on sait qu'ainsi on est excusé...
tendrement

qui s'égare là :)