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Coloration bleue-violette des extrémités du corps.
Asservissement d’un sujet à une substance ou une activité.
Alimentation par voie gastrique, à l’aide d’une sonde.
Alimentation par toute voie autre que digestive, le plus souvent par voie intraveineuse.
Perte des règles.
Fonte des masses musculaires.
Fonte des masses musculaires.
Surnom donné à l’anorexie mentale.
Diminution des globules rouges dans le sang.
Perte de la sensation de faim. Dans l’anorexie, le patient a perdu l’appétit alors que dans l’anorexie mentale, il lutte contre la faim.
Besoin impérieux de maigrir, sous-tendu par une peur intense de grossir. La personne qui en souffre se voit toujours trop grosse : elle restreint son alimentation de façon à maigrir toujours plus.
Anorexie mentale qui survient avant l’adolescence.
Absence d’énergie.
Fatigue générale.
Excès alimentaire de type boulimie sans comportement compensatoire. C’est un trouble caractéristique du surpoids et de l’obésité. Synonyme de l’hyperphagie.
Éviction ou consommation d’aliments sur des critères irrationnels comme la couleur.
Envie irrésistible de manger sans rapport avec la faim ou la gourmandise. La personne qui en souffre ingère de grandes quantités de nourriture de toutes sortes, souvent dans un temps très court. On parle de « crise » de boulimie. La personne boulimique a recours à des moyens compensatoires pour éviter la prise de poids (jeûne, vomissement, hyperactivité physique, prise de laxatifs…).
Dégradation profonde de l’état général, accompagnée d’une maigreur extrême.
Vomissements provoqués, abus de laxatif, jeûne, hyperactivité physique… en vue de compenser la prise alimentaire.
Consommation en un temps assez court d’une quantité assez importante d’aliments choisis, sans faim réelle, avec une connotation de plaisir, suivi d’un sentiment de perte de contrôle. Il y a honte, dégoût de soi. La crise n’est en général pas suivie de vomissements.
Engagement du patient et des soignants autour d’objectifs.
État pathologique provoqué par l’inadéquation persistante entre les besoins métaboliques de l’organisme et la bio-disponibilité en énergie et/ou protéines et/ou micronutriments.
Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders. Classification médicale permettant de diagnostiquer les troubles mentaux.
Processus permanent d’alternance de prises et de pertes de poids.
Ingestion répétitive, sans y penser, de petites quantités d’aliments choisis en dehors des repas.
Consommation en un temps assez long, par petites quantités répétées, d’aliments choisis, sans sensation de faim et avec une connotation de plaisir très modérée.
Prise importante et compulsive de nourriture sans comportements compensatoires (vomissement, laxatifs, hyperactivité physique…) avec sentiment de perte de contrôle.
Forme particulière d’hyperphagie durant laquelle le malade se réveille pour manger sous un mode compulsif ou boulimique.
Gonflement de glandes situées sous les oreilles.
Taux de calcium dans le sang trop bas.
Taux de sucre dans le sang trop bas.
Taux de potassium dans le sang trop bas.
Taux de phosphore dans le sang trop bas.
Tension artérielle trop basse.
Température du corps inférieure à la normale.
Indice de Masse Corporelle. Poids (en kg) divisé par le carré de la taille.
Pilosité archaïque sous forme d’un mince duvet sur les joues, les bras et le haut du dos.
Etat pathologique causé par la déficience ou l’excès d’un ou plusieurs nutriments.
Trouble du comportement alimentaire se caractérisant par des régurgitations et remastications des aliments.
Surnom donné à la boulimie.
Inflammation de l’œsophage.
Comportement obsessionnel vis-à-vis du choix de la nourriture. Astreinte à des règles d’hygiène alimentaire très strictes et obsession de l’alimentation saine.
Fragilisation progressive du tissu osseux due à une diminution de sa densité.
Ostéopénie sévère aboutissant à un risque accru de fracture.
Personne présentant un problème de gestion des émotions, une impulsivité, une image de soi instable conduisant fréquemment à des conduites autodestructrices.
Trouble du comportement alimentaire caractérisé par l’ingestion durable (plus d’un mois) de substances non nutritives (terre, craie, sable, papier…).
Besoin impérieux de boire beaucoup (3 litres ou plus par jour).
Mouvement qui prône l’anorexie comme un mode de vie.
Mouvement qui prône la boulimie comme un mode de vie.
Démarche visant à analyser les raisons et mécanismes des souffrances, des processus mentaux ou des comportements humains.
Régime dont la consommation calorique est inférieure aux besoins.
Réaction de l’organisme à une situation conflictuelle, ingérable ou angoissante. Cette réaction est physique (tremblements, palpitations, sueurs froides…) et mentale (vertige, malaise…).
Trouble de l’humeur caractérisé par des épisodes alternant euphorie et dépression.
Thérapie visant à modifier les schémas de pensées automatiques irrationnelles.
Thérapie jouant sur deux registres complémentaires : le comportement et la cognition, c’est-à-dire les processus de pensée.
Thérapie visant à remplacer des comportements pathologiques par d’autres plus adaptés.
Pratique qui privilégie l’approche par le corps pour atteindre quantité de domaines psychiques. Ainsi sont abordés les domaines des sensations, du désir, du plaisir, de l’expression, du relationnel…
Trouble Obsessionnel Compulsif. Conduites répétitives irrépressibles.
Traitement de la maladie par des substances chimiques.
Anorexie, amaigrissement, aménorrhée.
Difficultés intellectuelles : troubles de l’attention, de la concentration, de la vigilance, de la mémoire ; difficultés à organiser les tâches, à prendre des décisions, à s’exprimer ; difficultés d’abstraction…
Perturbation du taux de sels minéraux dans l’organisme (calcium, potassium…).